Dès 2020, il était possible de "sauver énormément de malades"… en suivant les conseils du ministre !

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Le Collectif citoyen, pour FranceSoir
Publié le 09 mars 2022 - 16:05
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TRIBUNE - Garanti 100% sans hydroxychloroquine ni ivermectine ?

Le covid-19 est une maladie qui se présente d’abord selon une phase d’infection virale, qui peut évoluer vers une phase inflammatoire potentiellement délétère.

Le 15 février 2022, le docteur Gérald Kierzek déclarait à l’antenne de Sud Radio [1] [2] : 

« …on donne de l’oxygène, on donne de la cortisone, on donne des anticoagulants et on donne éventuellement des antibiotiques. Et ces quatre médicaments permettaient dès le deuxième semestre 2020 de sauver énormément de malades !».

Avec une telle déclaration, on est en droit de se demander comment la France a pu connaître en février 2022 un nombre de décès quotidiens similaire à celui de la fin de l’année 2020 [2b], alors qu’une très grande majorité de la population est « vaccinée » et que le variant Omicron circulant majoritairement a la réputation d’être plus bénin (chez les non « vaccinés » pour le moins [2c]).

De même, le nombre de patients hospitalisés en France en unités de soins intensifs était similaire en février 2022 et en novembre 2020 [2d], alors qu’une très grande majorité de la population est « vaccinée » et que le variant Omicron circulant majoritairement a la réputation d’être plus bénin. Que penser de la réputation des « vaccins » à limiter les formes graves ?

La prise en charge « précoce » (?) rappelée par le docteur Gérald Kierzek est clairement présentée comme une prise en charge hospitalière, car elle s’appuie sur un « scanner avec injection » qui n’est pas accessible rapidement pour les médecins de ville.

Il est très inconvenant d’aborder dans la plupart des médias la prise en charge ambulatoire du covid-19 en médecine de ville. Toutefois, le 19 mars 2021, le docteur Gérald Kierzek osait encore rappeler [3] :

« Cela fait quasiment un an que les médecins généralistes - d’ailleurs certains se sont retrouvés au conseil de l’ordre, [par exemple] Jean Jaques Erbstein, notamment dans l’est, qui a même écrit un bouquin en disant on laissera pas mourir nos patients [3b]- [traitaient en mettant] des anticoagulants, des antibiotiques…Bien sûr qu’il y a un traitement, un traitement précoce ! […] On va vous soigner ! […] Il y a des traitements : l’oxygène, la dexaméthasone, les anticoagulants et les antibiotiques s’il faut. Et ces traitements là il faut les donner précocement ! […] Il faut que les gens viennent se faire soigner ! ».

En effet, dès la première vague de mars 2020, le docteur Jean-Jacques Erbstein informait sur la prise en charge ambulatoire du covid-19 qu’il pratiquait. Des articles de presse du 11 avril 2020 [4], 13 avril 2020 (interview du docteur Denis Gastaldi) [5] et du 15 avril 2020 [6] en font écho. Cette approche thérapeutique est basée sur l’azithromycine (antibiotique macrolide), le zinc, un anti-inflammatoire antileukotriène et un anticoagulant [7].

Rappelons que dès le 31 mars 2020, à partir des connaissances déjà établies de la maladie, le médecin généraliste Pierre-Jacques Raybaud mettait en ligne une proposition thérapeutique ambulatoire contre le covid-19 combinant une trithérapie, en cas d’aggravation, à base de doxycycline, de corticoïdes (après J7) et d’anticoagulants [7] [8]. Il préconisait de connaitre le niveau des D-Dimères, dès les premiers signes d’aggravation, car on savait déjà que, dans cette maladie, on constatait « une élévation des D-dimères, marqueur majeur de la formation de thrombose, dans les formes bénignes ou débutantes et une très forte élévation dans les formes graves avec détresse respiratoire » [8].

L’usage des antibiotiques, des anti-inflammatoires et des anticoagulants est pourtant chose courante en médecine de ville. De plus, dès le mois d’avril 2020, la Voix du Nord n’indiquait-elle pas que le docteur Jean-Paul Delgrange avait réussi à traiter des patients à domicile grâce à l’oxygénothérapie ? [8b] [8c]

Néanmoins, le nombre de patients covid-19 à l’hôpital en février 2022 était encore au plus haut [2c], alors qu’une très grande majorité de la population est « vaccinée » et que le variant Omicron circulant majoritairement a la réputation d’être plus bénin. Que penser de la réputation des « vaccins » à limiter les formes graves ? Que penser de la prise en charge ambulatoire des patients covid ?

Sur cette inconvenante approche thérapeutique ambulatoire de la phase (pré)inflammatoire avec risques thrombotiques (phlébite, embolie pulmonaire…), le docteur Laurent Montesino s’exclamait le 12 décembre 2021 sur la chaîne TV Liberté[9] :

« Il y a des traitements ! À l’hôpital on a des traitements anti-inflammatoires (des corticoïdes), des traitements antiagrégants (aspégic®), des anticoagulants, une antibiothérapie…[…] Ces traitements-là on pourrait tout à fait les faire en ville ! […] Les gens sont à l’abandon et au bout d’un moment ils appellent le 15 […] « mon saturomètre dit 92 % [on leur répond] quand ça descendra au-dessous de 90 % […] vous n’aurez qu’à appeler le SAMU ! ». […] Les médecins traitants pourraient avoir introduit d’autres traitements ! »

Récemment, à de multiples occasions, le docteur Louis Fouché est intervenu sur cette problématique. À la radio RCF le 25 janvier 2022 [10] :

« Il y a une partie tardive de la maladie […]. Le traitement est extrêmement bien codifié, on est tous d’accord […] : l’oxygène […], les corticoïdes […] et les anticoagulants […]. L’ensemble de ces trois traitements, en curatif tardif diminue la morbidité (la gravité de la maladie), diminue le passage à l’hôpital, le passage en réanimation et diminue la mortalité. C’est très important de le faire ! »,

lors d’une interview pour France Soir le 4 février 2022 [11] :

« Les gens ne trouvent pas de médecin pour les soigner. Pourquoi les médecins ne soignent pas aujourd’hui ? Parce que les recommandations pour le moment sont toujours à côté de la plaque par rapport à la réalité de la science ! On est dans une bulle narrative qui n’a rien à voir avec ce que l’on connaît. […] [Les patients ne vont pas à l’hôpital] si on traite les gens en ville ! ».

ou dans l’émission "les Incorrectibles" le 13 février 2022 [12]

« L’azithromycine est le traitement de base de toutes les pneumonies interstitielles…Les traitements on les connaît. Il y en a trois sur lesquels tous les généralistes, tous les médecins sont d’accord : corticoïdes, oxygène et anticoagulants…dans la phase inflammatoire de la maladie, la deuxième partie. […] Pourquoi est-ce qu’aujourd’hui les ARS, la direction générale de la santé, la haute autorité de santé, l’ordre des médecins et une grande partie des généralistes continuent à dire aux gens « paracétamol et bonne chance ! » […]. C’est un scandale ! Tout cela on sait le faire ! […] Les généralistes ne savent pas et ne veulent pas savoir, cela leur fait peur. […] deux, trois, quatre, cinq jours avant l’arrivée de la gravité [de la maladie, on peut] mettre en route les corticoïdes, les anticoagulants et l’oxygène ! Ainsi les gens ne vont jamais à l’hôpital, jamais en réa et ils guérissent ! Il y a des recommandations écrites de la HAS là-dessus ! Elles n’ont jamais été mises en avant par les ARS ! »,

Ces remarques ont également été énoncées par le Pr Philippe Humbert dans l’émission Divizionair du 14 février 2022 [13]

« L’organisation des soins des malades en ville n’a pas été confiée aux médecins généralistes ! […] Au moment où on a su que les malades du covid avaient des thromboses pulmonaires...on n'a pas incité les médecins [généralistes] à mettre les malades sous anticoagulants ! On n’a pas donné de message pour les médecins généralistes disant « occupez-vous de vos malades vous avez la possibilité de les soulager, de contrôler l’oxymétrie, de donner des anticoagulants ». Les malades ont été véritablement abandonnés ! On n’a jamais vu cela pour aucune maladie ! […] C’était assez odieux ! »

Le 7 février 2022, le docteur David Bouillon faisait part de son expérience de soins primaires en Belgique, depuis près de deux ans [14] [15] :

« Il y a un traitement individuel basé sur le diagnostic [auscultation, prise de sang, test antigénique] : antibiotique […], anticoagulants […], oxygène à domicile […], cortisone, anti-inflammatoires…Le traitement est individuel. […] Nous avons pris en charge plus de 20 000 patients en ambulatoire depuis mars 2020, [et réalisé] plus de 6000 prises de sang ! Le risque d’hospitalisation, d’aller en soins intensifs et de décès sont quasiment nuls ! […] Plus une maladie est diagnostiquée très précocement plus on évite les complications ! […] Nous n’avons pas d’hospitalisation quand le traitement est pris dans les 4-5 jours ! Dès les premiers symptômes on fait une prise de sang. [En cas de D-dimères élevés] on met un traitement anticoagulant précocement et on évite les thromboses et les embolies. […] C’est de la médecine ! »

Ces déclarations font écho à un discours d’Olivier Véran, le 18 mars 2021 [16]. On peut lire dans la retranscription des annonces : « 19h37. Traitements contre le Covid. Le ministre de la Santé aborde à son tour les traitements développés contre certains effets du virus.

« Dans certains cas, on pourra vous proposer des traitements. Si vous avez par exemple des troubles respiratoires, on pourra vous proposer de l’oxygène, y compris chez vous. On pourra également vous prescrire des anticoagulants pour éviter les risques de thrombose, ou des antibiotiques pour éviter le risque de pneumonie ».

Comment expliquer que ces traitements à domicile présentés le 18 mars 2021 soient toujours annoncés comme non appliqués près d’un an plus tard ?

Si ces traitements, proposés par le ministre le 18 mars 2021, étaient réellement prescrits en médecine de ville, comment expliquer les statistiques d’hospitalisations que la France connaît encore, alors qu’une très grande majorité de la population est « vaccinée » et que le variant Omicron circulant majoritairement a la réputation d’être plus bénin ?

Sur le site de la Haute Autorité de Santé (HAS), la page concernant la prise en charge ambulatoire dans le cadre de la Covid-19, mise à jour le 3 février 2022, indique que le protocole de prise en charge à domicile des patients requérant une oxygénothérapie date du 9 novembre 2020 [17] :

On peut lire les recommandations suivantes [18] [19] :

Sur ces recommandations, on voit que la prise en charge doit rester « exceptionnelle » et « en lien avec une équipe hospitalière de référence ». Dans ce cadre, l’oxygénothérapie est associée à une anticoagulation prophylactique et des corticoïdes. Toutefois, ces recommandations sont loin de correspondre au discours rassuriste du ministre de la Santé du 18 mars 2021. Elles ont été rédigées en novembre 2020 et n’ont pas été infléchies suite au discours du 18 mars 2021.

Dans la prise en charge des premiers recours (mise en ligne le 26 juin 2020 et mise à jour le 14 janvier 2022) [20] [21] :

L’utilisation des corticoïdes systémiques est contre-indiquée chez les patients ne requérant pas d’oxygénothérapie… Les Français pourront se demander s’il s’agit d’une pratique usuelle…

L’anticoagulation préventive est indiquée chez les patients à risque thrombo-embolique. Quant à l’évaluation de ce risque, sur le site Vidal, on peut lire [22] :

Le dosage des D-dimères ne semble pas être conseillé pour les patients suivis en ambulatoire. Contrairement aux recommandations émises par le docteur Raybaud le 31 mars 2020 et contrairement à la pratique du docteur Bouillon, qui réalise fréquemment des prises de sang. Dès lors on peut se demander si la prescription d’une anticoagulation préventive est fréquente en médecine de ville.

On peut rappeler que la composante inflammatoire du Covid-19 (2019-nCoV) a été décrite dans une publication parue dans The Lancet dès le 24 janvier 2020 [23]. Une étude chinoise montrant l’impact bénéfique de la méthylprednisolone (corticoïde) dans le traitement du Covid-19 a été publiée le 13 mars 2020 dans JAMA Internal Medecine [24]. Aucune proposition d’immunomodulation pour la médecine de ville ne semble avoir émergé alors.

En ce qui concerne la prise en charge précoce, un article a été publié le 9 avril 2021 dans The Lancet Respiratory Medecine [25]. Cet article était disponible en prépublication le 8 février 2021 [26]. Cette étude concerne un corticoïde inhalé (le budésonide). Elle montre que l’utilisation de ce médicament (dans les sept premiers jours suivants l’apparition des symptômes) conduit à une réduction du risque d’hospitalisation (ou de passage aux urgences) de près de 90 % (p = 0,004). Aucune recommandation pour la médecine de ville ne semble avoir suivi ce travail.

Au-delà de leurs propriétés antibiotiques, certaines molécules de cette catégorie ont des propriétés anti-inflammatoires/immunomodulatrices. C’est le cas des macrolides. Louis Fouché a en effet rappelé que l’azithromycine est utilisée dans le traitement des pneumopathies interstitielles. D’ailleurs, sur le site de la HAS, on peut télécharger un document du Centre de Référence des Maladies Respiratoires Rares [27]. Ce document de 2017, indique que les « effets anti-inflammatoires et immunomodulateurs bénéfiques de l’azithromycine ont été rapportés dans les panbronchiolites, puis d’autres maladies pulmonaires chroniques telles que la mucoviscidose, l’asthme, les bronchopneumopathies chroniques obstructives (BPCO) ». Dans la littérature, on trouve de nombreuses publications sur le rôle anti-inflammatoire/immunomodulateur des macrolides dans les infections pulmonaires (quelques articles écrits entre 2006 et 2014 [28] [29] [30] [31] [32] [33]). Dès 2012, on trouvait déjà des revues de la littérature concernant les thérapies par macrolides dans les infections virales respiratoires [33b]. On pouvait lire :

« [Les macrolides] régulent négativement la cascade inflammatoire, atténuent la production excessive de cytokines dans les infections virales et peuvent réduire les exacerbations liées au virus. Sur la base des preuves existantes, les macrolides peuvent être considérés comme une option de traitement prometteuse dans le traitement des infections virales respiratoires. »

En 2015, une étude publiée dans le JAMA établissait que la prescription précoce d’azithromycine permettait de prévenir les maladies graves des voies respiratoires inférieures (généralement caractérisées par la nécessité de recourir à des corticostéroïdes systémiques) [33c].

Depuis des années, la doxycycline est également présentée comme thérapie pour des maladies pulmonaires à caractère inflammatoire [34] [35].

Aucune recommandation pour la médecine de ville s’appuyant sur les propriétés anti-inflammatoires et immunomodulatrices de ces antibiotiques ne semble avoir été émise.

Néanmoins, le 21 octobre 2020, un travail contenant des informations sur les cohortes de patients traités par les docteurs Erbstein et Gastaldi était mis en ligne [36].

Alors que le docteur Gastaldi indique deux hospitalisations et aucun décès parmi 379 patients traités, le docteur Erbstein annonce n'avoir aucune hospitalisation et aucun décès parmi 200 patients. À titre de comparaison, l’application d’un traitement symptomatique avait précédemment conduit à 32 hospitalisations et 12 décès parmi 100 patients.

En novembre 2020, le collectif « Azithro-d’hospitalisations » propose au ministre de la Santé un algorithme de traitement ambulatoire du Covid-19 [37]. Cette approche stratifiée a fait l’objet d’une publication en mai 2021[38]. Elle s’appuie sur le zinc, puis l’usage d’un antibiotique macrolide ou cycline, associé à de l’aspirine ou un anticoagulant et des bronchodilatateurs ainsi que des antibiotiques C3G en cas de surinfection. Le 12 avril 2021, ce collectif s’appuyant sur la bithérapie azithromycine/zinc annonce plus de 5000 patients traités en France et un nombre de décès divisé par 20 [39].

Signalons également qu’en 2010, un travail portant sur les réponses antivirales induites par l’azithromycine dans les cellules épithéliales bronchiques a été publié [40]. Il s’agit d’un travail de l’Imperial College de Londres, qui déboucha en 2015 sur une thèse portant sur les effets antiviraux innés de l'azithromycine et d'autres nouveaux macrolides [41]. Ces effets innés seraient liés à la production d’interférons de type I et III constatée dans l'épithélium des voies respiratoires [42].

Le covid-19 est une maladie pour laquelle parler de prise en charge curative ambulatoire est inconvenant.

Aborder les propriétés antivirales des molécules reviendrait à avancer la prise en charge ambulatoire vers la phase virale précoce. Ce serait fort irrespectueux [39] [43].

Parler de chimioprophylaxie afin de prévenir la maladie et ses formes graves serait définitivement irrévérencieux [44] [45].

Malgré le succès de la prévention et de la prise en charge ambulatoire française, malgré le rappel des traitements ambulatoires possibles par le ministre de la Santé en mars 2021, malgré la certitude que depuis le second semestre 2020 on savait sauver énormément de vies avec quatre classes de médicaments… Pourquoi des soignants sont-ils arrivés à la conclusion que des réseaux de soins ambulatoires tels que « CoviSoins » [45b] ou « Soignez Heureux » [45c] devaient être créés ?

Il y avait déjà des patients covid en France en novembre 2019 [46]. Quels traitements ambulatoires ont été donnés aux patients covid entre novembre 2019 et mars 2020 ? « Paracétamol et bonne chance » ?
 

Références :
[1] https://www.dailymotion.com/video/x87x5ra
[2] https://www.sudradio.fr/bercoff-dans-tous-ses-etats/gerald-kierzek-covid19-problemes-medecine-hopital-livre
[2b] https://ourworldindata.org/covid-deaths
[2c] https://crowdbunker.com/v/g7wJRLLZ
[2d] https://ourworldindata.org/covid-hospitalizations
[3] https://www.youtube.com/watch?v=waTDO1IEgbY
[3b] https://jdheditions.fr/produit/je-ne-pouvais-pas-les-laisser-mourir/
[4] https://www.estrepublicain.fr/sante/2020/04/11/un-medecin-mosellan-constate-l-efficacite-d-un-protocole-a-base-d-azithromycine
[5] https://www.leparisien.fr/societe/sante/coronavirus-trois-medecins-generalistes-pensent-avoir-trouve-un-possible-remede-13-04-2020-8298963.php
[6] https://www.liberation.fr/checknews/2020/04/15/l-antibiotique-azithromycine-est-il-vraiment-efficace-contre-le-covid-comme-l-affirme-cette-publicat_1785212/
[7] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/therapies-vaccin
[8] https://blogs.mediapart.fr/pierre-jacques-raybaud/blog/310320/covid-19-proposition-d-un-nouveau-traitement-et-protocole-par-tritherapie
[8b] https://www.lavoixdunord.fr/745055/article/2020-04-24/marly-jeanne-88-ans-guerie-du-covid-19-grace-l-abnegation-de-son-medecin?&refresh=OK&refresh=OK
[8c] https://www.lavoixdunord.fr/745519/article/2020-04-25/jean-paul-delgrange-medecin-saultain-soigne-des-covid-avec-confiance-et-systeme?&refresh=OK&refresh=OK
[9]https://www.tvlibertes.com/le-samedi-politique-covid-2-heures-de-verite-apres-2-ans-de-mensonges
[10] https://rcf.fr/actualite/3-questions-a-allier-midi?episode=199805
[11] https://www.francesoir.fr/videos-le-defi-de-la-verite/louis-fouche
[12] https://www.gettr.com/streaming/pub07uad93
[13] https://www.youtube.com/watch?v=ZgdYIZfytbc
[14] https://www.sudradio.fr/societe/dr-david-bouillon-la-crise-de-la-covid-19-est-une-crise-politique
[15] https://www.dailymotion.com/video/x87pb8f
[16] https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-vers-un-reconfinement-journee-decisive-pour-lile-de-france-et-les-hauts-de-france-suivez-notre-direct-18-03-2021-DTDOX4P53ZHWJNQKOQKTLQ6IRU.php
[17] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3312268/fr/prise-en-charge-en-ambulatoire-dans-le-cadre-de-la-covid-19
[18] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3215547/fr/prise-en-charge-a-domicile-des-patients-atteints-de-la-covid-19-et-requerant-une-oxygenotherapie
[19] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3216793/fr/prise-en-charge-a-domicile-des-patients-atteints-de-la-covid-19-et-requerant-une-oxygenotherapie
[20] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3190801/fr/prise-en-charge-de-premier-recours-des-patients-atteints-de-covid-19
[21] https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2022-02/reco453_rr_covid_19_premier_recours_20220216_mel.pdf
[22] https://www.vidal.fr/actualites/28426-du-bon-usage-des-d-dimeres-au-temps-de-la-covid-19.html
[23] https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30183-5/fulltext
[24] https://jamanetwork.com/journals/jamainternalmedicine/fullarticle/2763184
[25] https://www.thelancet.com/journals/lanres/article/PIIS2213-2600(21)00160-0/fulltext
[26] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.02.04.21251134v1
[27] https://www.has-sante.fr/jcms/c_2802883/fr/pneumopathies-interstitielles-diffuses-de-l-enfant-pnds
[28] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1365-2710.2006.00708.x
[29] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0163725807002331
[30] https://erj.ersjournals.com/content/33/1/171.long
[31] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0924857907003822
[32] https://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2011/revue-medicale-suisse-280/quelle-est-la-place-de-l-antibiotherapie-prophylactique-par-macrolides-dans-les-bronchiectasies
[33] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0755498214000992?fbclid=IwAR1S2EN3NSAv4lAeXNJAt64loiIzBkWQYxs56WiQ4EcSZJT_8yq_8BFYd4w
[33b] https://www.hindawi.com/journals/mi/2012/649570/
[33c] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2470445
[34] https://journals.lww.com/lungindia/Fulltext/2009/26030/The_role_of_long_term_doxycycline_in_patients_of.6.aspx
[35] https://erj.ersjournals.com/content/49/4/1601102
[36] https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3712423
[37] https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/video-debriefing-de-claude-escarguel-microbiologiste
[38] https://www.scientificarchives.com/article/can-early-home-administration-of-azithromycin-with-zinc-help-prevent-severe-covid-19-disease-progression-and-long-covid
[39] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/libre-et-eclaire-benefice-risque-et-soin
[40] https://erj.ersjournals.com/content/36/3/646
[41] https://spiral.imperial.ac.uk/handle/10044/1/45432
[42] https://academic.oup.com/jac/article/71/10/2767/2388101?login=false
[43] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/therapies-vaccin
[44] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/prophylaxie-du-covid-19-vitamine-d-zinc-plus-efficaces-vaccins
[45] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-19-spike-arn-et-vaccins-et-si-lancait-les-etudes-prealables
[45b] https://covisoins.fr/
[45c] https://www.ah-si.org/soignez-heureux/
[46] https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/coronavirus-un-premier-cas-des-le-mois-de-novembre-en-alsace-1588830642

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