Gaz, électricités, péages : les prix qui augmentent au 1er février
C’est un peu une tradition en début de chaque mois : certains tarifs augmentent. Gaz, électricité, péages autoroutiers… Découvrez les hausses à prendre en compte pour votre budget à compter de ce mois de février.
Parmi les hausses à prévoir en ce début février : celles des tarifs de l’électricité, et notamment des tarifs bleus. La Commission de régulation de l’énergie a en effet recommandé de prendre en compte, dans les tarifs, les perturbations liées aux « opérations de maintenance du parc nucléaire, ou encore la recrudescence des impayés ». Les tarifs vont donc augmenter de 1,6% pour les particuliers et de 2,6% pour les professionnels.
Hausse du gaz et notamment pour le gaz de chauffage
Autre augmentation en vue, celle des tarifs du gaz : 0,9% pour les clients qui utilisent le gaz pour la cuisson, 2,1% pour ceux qui ont un double usage (eau-chaude + cuisson) et 3,7% pour les foyers qui se chauffent au gaz. En cause : une vague de froid exceptionnelle en Asie de l’Est, qui entraîne une hausse des prix du gaz sur les marchés internationaux. Les pays européens doivent donc puiser dans leurs stocks de gaz naturel.
A lire aussi : Comment bien choisir un abonnement au gaz ?
Les tarifs des péages d’autoroute en hausse
Autre hausse à attendre : celle des péages autoroutiers. Une augmentation liée à l’inflation et nécessaire pour financer les chantiers entrepris par les sociétés d’autoroute. En moyenne, attendez-vous à une augmentation de 0,44% pour les véhicules de classe 1.
Le chômage partiel en baisse pour certains secteurs
L’indemnisation du chômage partiel va en revanche baisser, sauf pour les salariés des secteurs dits « protégés » (tourisme, sport, culture, transport et événementiel) : fixée à 84% de la rémunération nette, elle va passer à 72% et son plafond sera limité à 4,5 fois le SMIC. Le reste à charge pour l’employeur va donc passer de 15 à 40%.
À LIRE AUSSI
L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.
Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.
Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.
Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.