Qu’on se le dise : à France Soir, nous donnons à voir, à savoir.
EDITO : En relançant FranceSoir, titre historique et belle endormie de la presse française, nous avions modestement l’ambition de remettre le lecteur au centre des priorités.
Sans intérêt supérieur, ni pression marketing, mais avec une recherche permanente de la vérité; certes armés de moyens plus modestes qu’à la grande époque de ce titre, il y a une quarantaine d’années, qui tirait à plusieurs millions d’exemplaires, mais avec la volonté chevillée au corps de « faire société » avec nos outils. De donner à comprendre et de ne jamais crier avec les loups. C’est ce que nous avons fait, car nous y croyions, avec notre enquête sur l’étude de The Lancet qui remettait en cause le protocole du professeur Raoult à base d’hydroxychloroquine. Loin d’être des adeptes inconditionnels du professeur marseillais, nous avons simplement tenté de vérifier à la source ce qu’avançait la revue médicale britannique le 22 mai dernier. Le B.a.-ba des règles journalistiques, que la plupart des médias nationaux, si prompts à donner des leçons n’ont pas su, ou pas voulu faire. Une étude qui avait tout de même conduit la France à mettre fin à l’utilisation de cette molécule pour lutter contre le Covid-19 à l’hôpital et l’OMS à suspendre de manière temporaire un essai clinique. Derrière cette bataille idéologique sur possibles fond d’intérêt marchands, nous avons donc interviewé l’auteur de l’article polémique, Mandeep Merha. À ce jour, nous sommes encore les seuls en France à l’avoir fait.
Recouper ses sources, vérifier l’information, des fondamentaux que nous avons appliqués. Ce n’est pas fanfaronner que de le dire, simplement affirmer que FranceSoir applique cette méthode systématiquement en média collaboratif. Nous avons tenté de nous donner le temps de la réflexion et le recul de la pensée pour essayer d’éclairer car c’est une question de santé publique.
Une question surtout de salut public citoyen.
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