Un nouveau plan Marshall
EDITO - Ce n'est certainement pas le lieutenant-colonel John « Hannibal » Smith, de la série télévisée « l'Agence tous risques », qui a conçu le plan qui se déroule sous nos yeux actuellement, sans que nous puissions trop réagir, et encore moins inverser le cours des choses. Quoi que ?
Le plan en question, un projet de déconstruction ou de destruction de l'Europe occidentale, de ceux qui arrangeraient substantiellement les intérêts économiques et politiques des États-Unis d‘une manière général, et des grands trusts américains en particulier, ceux du bâtiment, des travaux publics, de l’alimentaire, et de l’armement, bref le complexe militaro industriel. Celui considéré comme le preneur d’otage de nombres de nos libertés fondamentales, agissant dans l’ombre depuis bien longtemps déjà, pour orienter le plan et influencer tout ce qu’il y a à influencer - du politique aux médias, en passant par les législateurs, peu d’espaces leur échappent. On a vu les analyses de Michael Shellenberger, Matt Taibi, Andrew Lowenthal sur la censure qu’a pu exercer le complexe militaro industriel menant à la marginalisation des scientifiques, ceux qui allaient à l’encontre des intérêts du complexe – à l’image de Jay Bhattacharya de Stanford, ou Martin Kulldorff, les épidémiologistes fondateurs de la Great Barrington Declaration, qui se sont élevés contre les confinements, en faveur des traitements précoces et contre la vaccination covid. Martin Kulldorff a d’ailleurs perdu son poste de professeur de l’Université de Harvard « pour avoir mis en avant son immunité supérieure acquise lors d’une infection covid et qu’il était risqué de le vacciner sans des études appropriées d’efficacité et de sécurité sur des patients ayant son type de déficit immunitaire ».
I am no longer a professor of medicine at @Harvard. Here is the story of my Harvard experience until I was fired for clinging to the truth.https://t.co/zSOQlNJTY2
— Martin Kulldorff (@MartinKulldorff) March 11, 2024
En France ce furent le Pr Raoult et le Pr Perronne qui firent les frais de ces attaques, tout comme France-Soir du côté des médias. Les marginaliser, les tuer socialement, les faire disparaître, tel en était le maître mot.
C'est en tout cas mon point de vue, et il est partagé par nombre d'observateurs avisés, qui comme vous, lecteurs, ne sont guère enclins à prendre pour argent comptant, les affirmations péremptoires des médias mainstream. Ce que j’ai appelé les vrais mensonges et fausses vérités : les nouveaux standards de la propagande, ceux que l’on retrouve de la crise sanitaire, au conflit russo ukrainien, et qui s’invitent dans la vie de tous les jours. Une vie transposée dans un métaverse ou le mensonge a pris l’habit de la vérité, avec ses injonctions paradoxales et inversions accusatoires, en guise d’accessoires. En 2022 nous nous interrogions sur le risque de terrorisme dans le métaverse. Mais c’était sans compter sur la réalité virtuelle, que l’IA puisse être utilisée comme un outil de contrôle – et c’est bien ce que l’on a vu sur Google, YouTube et autres réseaux sociaux avec une vérité acceptée, alors même que les scientifiques émérites exprimaient le contraire.
Voici quelques éléments factuels à propos de mon point de vue. Et en quoi consiste, ce que je pense être le plan des grands trusts, celui qu’ils ont prévu d'imposer aux peuples Européens. La solution « optimale » pour ne pas dire finale à des problèmes économiques, démographiques et sociologiques, qui ont été générés par 50 ans de cette gestion de l'Union européenne, qui se voulait justement faire en sorte que ces problèmes aux conséquences quasi irréversibles, deviennent totalement insolubles à un terme qui, hélas pour nous, est désormais atteint.
Un nouveau plan Marshall, le bis repetita d'après-guerre, et avec ses quelques dizaines de morts voire plus, parmi la population: une reconstruction matérielle de l'Europe à nos frais, après que cette Europe fut détruite par les guerres économiques et psychologiques contre le virus, pour finir en guerre militaire, « l'O.T.A.N. contre la Russie », cette guerre pour laquelle Guibord Macron s'en va-t-en-guerre semble faire tout son possible sans l’aval du Parlement.
Et il est bien aidé à cela, (celui que certains psychiatres ont diagnostiqué psychopathe amoral, et dont l’état de santé interpelle plus d’un observateur, qui auront noté l’absence de bulletin de santé du président depuis son covid en décembre 2020), par notre Gouvernement, Gabriel Attal en tête, par les médias, et autres consorts. En Europe, c’est par Ursula Von der Leyen, que l’aide arrive, même si toutefois les objectifs de nos deux compères semblent quelque peu divergents. Enfin et surtout, par ceux qui font la pluie et le beau temps aux États-Unis, et qui décident qui doit être à la Maison-Blanche... et quand.
Officiellement, Donald Trump est un homme opposé à la guerre. Il est d'ailleurs le seul Président des États-Unis n'ayant déclenché aucune guerre durant son mandat. Ainsi, pour que les États-Unis puissent apporter durablement à l'Ukraine l'aide financière et matérielle nécessaire à sa guerre l’opposant à la Russie, il était indispensable que Donald Trump soit remplacé, dès 2020, par une « marionnette », Joe Biden, officiellement 100% en faveur de ce conflit.
En toile de fond, une gigantesque mascarade, orchestrée sur plus d'une décennie, avec pour objectif premier la chute de l’Europe des peuples, ainsi qu’une réduction de l’importance de son rôle, et potentiellement de sa population originelle. Pour les survivants, rien d’autre que le placement dans un système politique, économique, social et culturel, autoritaire et revendiqué, imposé, au motif d’une sécurité garantie. Garantie pour qui ? certainement pas celle de la population.
Si les puissants se souciaient un tant soit peu de la sécurité de la population, ils n'empoisonneraient pas les gens, avec une nourriture impropre à la consommation, cause principale des maladies dont nous souffrons, de plus, ils ne forceraient pas les peuples à s'entre-tuer en masse à la guerre, et enfin, ils n'imposeraient pas aux gens des « vaccins » qu'ils refusent tant pour eux-mêmes que pour leur progéniture, des injections hautement responsables de pathologies en tous genres dont, bizarrement, toutes les "peuplades" non-vaccinées ne sont pas affectées.
Une des raisons pour lesquelles, aux États-Unis, dans la prétendue course à l'investiture républicaine, Nikki Haley vient de jeter l'éponge, laissant la place à l'autre candidat : Donald Trump. Un D. Trump auquel s’oppose de plus en plus le candidat indépendant Robert Kennedy Jr, notamment sur la corruption et l’opération Warp Speed qui a mené à la mise sur le marché ces “vaccins”anti covid dont le bénéfice est en faveur de l’industrie et les risques, pour les injectés.
“… Les marionnettistes en chef ont compris que le moment est arrivé pour les États-Unis de décrocher, d'abandonner l'Ukraine. De passer la main aux va-t-en-guerre européens, ces dirigeants à la solde du nouvel ordre mondial, qui ont pour mission d’achever le travail.
Après deux ans de sacrifices financiers et humains, imposés au peuple, par des dirigeants européens aux ordres d'une forme de “Kommandantur”, l'Europe est à genoux. Et ce nouvel ordre mondial paraît déjà bien en place. Mais ce serait sans compter sur les acteurs tels que l’Inde, la Chine..., ces BRICS à l’influence massive sur le monde, qui pourraient réserver quelques surprises aux stratèges mondialistes qui pensent avoir anticipé et maîtrisé leur grande mutation.
Si les trois rois « mages » (1) que sont les États-Unis, la Russie et la Chine, semblent pouvoir se partager le “gâteau”, d’autres convives indociles, pourraient bien s’inviter au banquet et jouer les “trouble-fêtes.”
Le plan suit son cours... sans accroc… cela reste à voir. Qui vivra verra.
(1) Vu que ce sont eux qui auraient tout prévu.
À LIRE AUSSI
L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.
Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.
Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.
Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.