Contre la dictature "anti-sanitaire" : voilà ce que devrait être une dictature réellement "sanitaire"

Auteur(s)
Dr Jean-Michel Dariosecq, pour FranceSoir
Publié le 09 août 2021 - 12:42
Mis à jour le 10 août 2021 - 14:51
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Et si on changeait de diktats ?
FS

NDLR : cette tribune est écrite suite à une analyse observationnelle. L'analyse représente une forme d'inversion du principe de précaution et doit être prise au second degré.

TRIBUNE - Ceci est une opinion personnelle, qui se résume en trois points :

1 - Nous subissons une dictature anti-sanitaire tueuse et surtout de plus en plus totalitaire.
2 - Les oppositions traditionnelles se sont couchées, la Résistance non violente est impuissante et la violence désordonnée est nuisible, inutile voire contre-productive.
3 - Seule une dictature sanitaire, s'appuyant sur des forces de l'ordre redevenues républicaines, serait à même de nous sortir de ce marasme.
 
Le constat : nous subissons actuellement une dictature anti-sanitaire.
 
Nous avons expliqué dans un précédent article comment une "Collusion Covid" réunissant des intérêts convergents (donc sans nécessiter de réunions) a réussi à occulter la réalité de l'infection à Sars-CoV-2 (sa morbidité limitée et ciblée, sa facilité de surveillance et de traitement, son immunité collective naturelle), pour lui substituer un récit officiel catastrophiste, permettant ensuite de justifier des décisions parfaitement anti-sanitaires.
 
La population a ainsi dû subir l'occultation de la prévention, le retard de la prise en charge médicale, l'interdiction des traitements précoces, l'imposition de mesures coercitives délétères, et pour finir l'injonction de recevoir au plus mauvais moment (en pleine épidémie) le plus mauvais type de produit immunogène (réplicatif, toxique par lui-même, ne présentant qu'une seule cible et induisant des anticorps facilitants).
 
Parallèlement, sur les traces de la Chine, la technologie renforce une société de surveillance et de contrôle de plus en plus totalitaire, encore refusée par certains mais plébiscitée par une masse fascinée par le "Progrès".
 
Plusieurs hypothèses tentent d'expliquer cette stratégie innovante mondialisée, qui nie et annule tout ce que la médecine a élaboré depuis des millénaires, à commencer par le principe de "ne pas nuire" :
 
1 - L'hypothèse de l'incompétence et de la lourdeur bureaucratique doit être éliminée, car les décideurs ont accès à tous les experts qu'ils peuvent souhaiter ; s'ils ont décidé de n'écouter que ceux qui ont le plus de liens d'intérêt avec l'industrie et de ne même pas consulter les autres, c'est par une volonté politique parfaitement consciente.
 
2- L'hypothèse de la dépopulation mondiale programmée (élimination de ceux que les transhumanistes considèrent comme "inutiles") paraît logique, puisque le remplacement du travail humain poursuit sa progression (mécanisation, puis automatisation, maintenant intelligence artificielle) et que l'idée fait son chemin que les ressources naturelles ne sont pas infinies ; mais s'opposeront à ce projet les exploiteurs qui n'ont pas oublié la "baisse tendancielle du taux de profit" consécutive au remplacement du travail vivant par du travail mort ; et les faibles morbidité et mortalité liées au Sars-CoV-2 n'en font pas une arme de destruction "massive" ; il pourrait donc s'agir de réduire uniquement la population occidentale vieillissante, avant de lui substituer une population culturellement plus soumise.
 
3- L'hypothèse la plus fréquemment évoquée est celle d'une (désormais banale) corruption des institutions publiques par l'industrie pharmaceutique, ici celle qui a breveté depuis 20 ans plusieurs coronavirus OGM, les tests géniques (PCR) qui les dépistent et des produits injectables contenant le gène de leur protéine la plus toxique ; il est notable que malgré tout le potentiel scientifique et industriel français, les pouvoirs publics n'ont pas soutenu la recherche et le développement de vaccins "traditionnels" (protéine recombinante ou mieux encore virus entier inactivé) dont l'efficacité et la sécurité ne peuvent être que supérieures à celles des produits aujourd'hui promus/imposés (choix qui pousse en 2021 une entreprise française à se délocaliser en Grande-Bretagne pour y développer un vaccin à virus entier inactivé) ; à ces premiers bénéficiaires, s'ajoute l'industrie pharmaceutique qui exploite des médicaments (nouveaux donc très lucratifs) contre les maladies auto-immunes, puisque certaines peuvent être déclenchées ou réactivées par les inoculations géniques expérimentales promues/imposées.
 
4- L'hypothèse de la collusion des institutions publiques avec les multinationales dites GAFAM (toutes US), qui corollairement à la destruction des entreprises locales, ont capté les nouveaux marchés crées par l'obligation des relations "sans contact" et du tout "télé" (télé-travail, télé- commerce, télé-divertissement, télé-enseignement, télé-médecine, télé-réunions, télé-votes, etc.). Ce double projet d'intermédiation numérique de tous les échanges et de concentration capitalistique (les plus gros avalent les plus petits) n'est absolument pas un complot secret puisqu'il est vanté par ses thuriféraires à longueur d'articles, de livres et d'émissions télévisées.
 
5- L'hypothèse de la "stratégie du choc" avant une "grande réinitialisation", n'élimine pas les précédentes mais s'y ajoute solidement ; l'Histoire du Capitalisme montre en effet qu'il lui faut périodiquement "que tout change pour que rien ne change", généralement au moyen d'une grande destruction de capital (matériel et humain) ; la dette mondiale accumulée depuis un demi-siècle, et non-remboursable, pourrait être arrivée au stade de son annulation (au moins partielle), qui ruinera définitivement les plus pauvres et risque alors de déclencher leur colère ; quel meilleur bouc- émissaire alors, qu'un virus invisible, ubiquitaire et changeant ? Quel meilleur rideau de fumée pour la démolition économique contrôlée en cours, qu'une "pandémie" dont on vient juste de modifier la définition ?
 
6- L'hypothèse de la pure méchanceté (qualifiée parfois de "satanique") d'une bande de psychopathes et sociopathes, placés partout dans le monde au pouvoir apparent par le pouvoir profond pour défendre ses intérêts "quoi qu'il en coûte", est loin d'être fantaisiste. Reste à voir jusqu'où les peuples vont accepter de subir ce sadisme.
 
7- Enfin l'hypothèse d'une expérimentation parallèle, consistant à stimuler des nanoparticules d'oxyde de graphène (injectées en même temps que les nanoparticules d'ARN de Spike) par les ondes électromagnétiques à très hautes fréquences émises par les antennes 5G ; au risque de traçage (auquel la population s'est habituée avec les smartphones) pourrait s'ajouter un risque de toxicité biologique (par l'activation du graphène à proximité des cellules).
 
Il est difficile d'attribuer un coefficient de pondération à chacune de ces hypothèses. Mais il importe surtout de les garder toutes à l'esprit et de s'attendre au pire dans chacune d'elles.
 
Quoi qu'il en soit, en additionnant déjà les retards de prise en charge, les refus de traitement (contre l'infection à Sars-CoV-2 et contre d'autres pathologies), les incitations à l'euthanasie et maintenant l'injection forcée de produits toxiques, on peut s'attendre dans les années à venir à une morbidité et une mortalité qui vont dépasser celles liées au virus lui-même (ce d'autant qu'il évolue naturellement vers moins de virulence). Et cela non seulement chez des personnes très âgées ou déjà malades mais désormais chez des enfants et adultes jeunes dont le risque COVID était nul.
 
La Résistance :
 
1/ La Résistance doit d'abord identifier les forces qui font tenir cette dictature anti-sanitaire. Nous avons décrit 3 virus mortels pour une société :
- Au sommet : un virus qui ressemble à de la corruption, mais est en réalité de la complicité et de la collusion de classe entre tous les pouvoirs : financier, industriel, politique, médiatique, judiciaire, administratif, technique (ici médical). Or une société est vivable non pas lorsque ces pouvoirs disparaissent (ce que croient les adolescents) mais lorsqu'ils se contre-balancent les uns les autres. Quand au contraire ils sont tous "en marche" main dans la main dans la même direction, qu'ils ont tous le même "projet", alors le système est devenu totalitaire.
- Au milieu : le virus de la rigidité bureaucratique, pour qui la seule préoccupation est que les flacons (comme les trains il y a 80 ans) "arrivent à l'heure", en aucun cas ce qu'ils contiennent. Des exécutants disciplinés, dotés d'une seule moelle épinière pour appliquer les ordres sont aussi le signe d'une société totalitaire.
- En bas : le virus de la soumission à l'autorité est endémique mais touche auourd'hui la société française (notamment ses jeunes adultes, pourtant non concernés par l'infection à Sars-CoV-2) jusqu'au stade inquiétant du suicide collectif.
 
2/ Mais il faut distinguer nos ennemis de nos simples adversaires :
- Au sommet, les initiateurs et organisateurs de la dictature anti-sanitaire sont les ennemis de l'Humanité toute entière et l'on peut espérer qu'ils comparaîtront un jour devant un tribunal pour crime organisé contre l'Humanité. Mais l'urgence est d'abord de les empêcher de continuer de nuire, c'est à dire de continuer à interdire les traitements et la prophylaxie, à imposer des mesures coercitives délétères et à imposer les injections les plus toxiques et les moins efficaces possible.
- Au milieu, les collaborateurs sont parfois sincères dans leur croyance dans le Récit Officiel, même si certains ont aussi été rémunérés pour collaborer avec plus d'entrain : combien de millions d'euros ont ainsi été distribués aux médecins et pharmaciens ayant pratiqué des tests totalement inutiles chez des personnes en bonne santé et des injections expérimentales dont l'utilité et l'inocuité restent à démontrer (et qui pourraient être requalifiées en tentative d'empoisonnement) ? On connaît déjà la suite de la carrière de ces profiteurs de guerre : à la dernière minute, ils tourneront sans états d'âme avec le vent, et la bouche en coeur, proposeront immédiatement leurs services pour les vrais traitements et les vrais vaccins.
- En bas : la masse est terrorisée depuis le printemps 2020, en permanence, à répétition, par des annonces toujours plus catastrophistes les unes que les autres, qui sidèrent le cerveau rationnel, paralysent toute réflexion et poussent à se jeter aveuglément du haut de la falaise pour conjurer la mort promise. Ces personnes-là méritent toute notre compassion, surtout les victimes (précoces ou tardives) de l'arme biologique qu'est la protéine Spike "augmentée".
 
3/ Aujourd'hui donc, face au projet covidiste, une Résistance existe, diffuse, touchant différentes strates de la société malgré les tentatives de division (notamment entre injectés et non injectés). Des points de convergence s'amorcent, notamment sur la santé des enfants (ni malades ni disséminateurs du Sars-CoV-2) ou sur le droit du travail. Mais cette Résistance manque pour l'instant de "leadership" :
- Les gentils pacifistes bienveillants sont sympathiques, dévouées pour ouvrir des yeux de leurs concitoyens, mais incompétents en matière de conduite d'une "guerre" ; car la non-violence d'un Ghandi peut certes être efficace, mais à condition qu'un seuil de participants soit atteint et surtout que le véritable ennemi soit identifié ; or si des soldats qui défilent dans les rues sont un ennemi évident, les actionnaires de Big Pharma et des GAFAM sont totalement invisibles ; et les fanatiques de technologies dangereuses qui ont déjà tué et mutilé par milliers dans le Tiers-Monde, sont inlassablement présentés par les media comme des "philantropes".
- Les politiciens des oppositions contrôlées de tous bords, sans doute après avoir compris l'ampleur du projet totalitaire, se sont couchés en choeur et ont symboliquement voté les pleins pouvoirs au petit maréchal en réclamant davantage de mesures coercitives puis davantage de vaccins géniques ; il n'y a rien à attendre d'eux. Et les politiciens de l'opposition marginale n'ont pas la carrure nécessaire (n'est pas De Gaulle celui qui le cite à répétition...).
- Quant à la violence désordonnée, celle prônée par des groupuscules d'adolescents (mentaux) de tous âges (physiques) et parfois mise en oeuvre par des agents provocateurs stipendiés, elle est facile à diaboliser par les médias complices, totalement inutile et même contre-productive pour défendre une cause, et hautement nuisible pour ceux qui la subissent. Si l'Élysée est un jour pris d'assaut par une foule saccageuse, soyons certains que l'opération sera en réalité organisée par un pouvoir dissimulé (éventuellement étranger), qui a simplement décidé de changer le locataire avant la fin du bail.
 
Pour une dictature sanitaire :
 
Devant le constat d'une dictature anti-sanitaire dévastatrice sur tous les plans (sanitaire, social, économique, culturel) et d'une Résistance pour l'instant faible, il reste la question majeure des Forces de l'Ordre civiles (police) et militaires (armée).
 
À qui le pouvoir a offert en 2019 un triptyque supposé agréable "nasser-gazer-éborgner" et en juillet 2021 l'exemption des injections d'ARN de Spike (on tape plus fort sans paralysie faciale ni myocardite, et l'on est ensuite reconnaissant au pouvoir d'y avoir échappé).
 
Mais tous les policiers ne sont pas satisfaits de leur situation (conditions de travail et missions) et tous les militaires ne se réjouissent pas d'une guerre civile sciemment préparée comme dérivatif à la révolte verticale, quand sera déclenchée la grande banqueroute réinitialisatrice.
 
Ainsi, lorsque les soi-disant "oppositions" politiques, syndicales, médiatiques et académiques se sont définitivement couchées, il semble ne rester que les Forces de l'Ordre pour défendre le peuple. A condition bien sûr qu'elles soient animées d'un désir de rétablir l'Ordre Républicain et non de sauvegarder une tyranie au service du business transnational.
 
Sans préjuger ici des mesures de sécurité publique et de réorientation économique, une vraie dictature sanitaire devrait pour commencer prendre les mesures sanitaires suivantes, dont l'objectif prioritaire n'est pas l'innovation lucrative mais le soin utilisant tout ce qui est déjà disponible :
 
1 - Imposer une prévention des carences alimentaires en facteurs immunostimulants (vitamine C, vitamine D, zinc), par des recommandations (et un remboursement intégral) de supplémentations, notamment pour les populations les plus fragiles, les moins exposées au soleil ou dont la mélanine fait obstacle à son action ; jusqu'à la mise en place progressive d'une adjonction de vitamine D3 dans des aliments industriels (comme cela se pratique dans les pays à faible exposition solaire).
 
2- Inciter à une prise en charge médicale rapide, dès les premiers symptômes de pathologie respiratoire ou digestive, par les médecins de première ligne (généralistes) habitués à cette symptomatologie et dont il faut garantir la liberté de prescrire (y compris hors AMM, comme cela se pratique couramment).
 
3- Instaurer immédiatement, sous la supervision de spécialistes ayant acquis depuis le printemps 2020 une expérience de ces traitements sur des milliers de patients, des RTU (Recommandation Temporaire d'Utilisation), première étape vers une extension d'AMM pour des Traitements Ambulatoires Précoces Probabilistes (TAPP) de quelques jours, utilisant des médicaments éprouvés, dont les posologies, contre-indications et précautions d'emploi sont archi-connues des généralistes.
 
4- Instaurer parallèlement des protocoles de suivi ambulatoire à domicile afin de surveiller l'émergence de complications (hypoxie, inflammation, coagulation) et d'intervenir rapidement avant leur aggravation (supplémentation en oxygène à domicile, anti-inflammatoires en phase d'orage cytokinique, anti-aggrégants plaquettaires et anticoagulants adaptés).
 
5- Recommander l'isolement à domicile des seuls malades (réaction spontanée) et au contraire abolir les mesures coercitives envers la population générale (masques, confinements, jauges, couvre-feux, passeports discriminants), écartées depuis des siècles parce que nuisibles à la santé physique, psychique, sociale et économique et risquant de limiter (heureusement peu) la circulation du virus parmi la population jeune en bonne santé, donc la construction de l'Immunité Collective Naturelle (ICN). Il n'est bien sûr pas question d'empêcher les personnes en bonne santé qui le souhaitent de se cloîtrer chez elles ou de porter un (ou deux) masques partout où elles en ont envie (y compris seules dans leur voiture).
 
6- Dérembourser et interdire les tests diagnostics de l'infection à Sars-CoV-2 de tous types (PCR, antigènes, sérologies) sans ordonnance médicale, en particulier chez des personnes non malades ("porteurs sains"). Ces tests (ainsi que le séquençage viral) doivent être réservés aux malades, à des fins de surveillance épidémiologique, de recherche ou de nécessité d'un diagnostic différentiel. Par ailleurs, conformément aux bonnes pratiques, aucun test PCR ne doit être rendu sans l'indication du nombre de cycles d'amplification (CT) ayant atteint la positivité, de même qu'aucune sérologie ne doit être rendue sans l'indication de sa dilution.
 
7- Proposer fermement une prophylaxie spécifique (ivermectine en une prise orale par mois), totalement anodine mais sous surveillance médicale, par exemple du 1 er octobre au 1 er mai, aux personnes les plus fragiles (très âgées), les plus malades (diabétiques, obèses, cancéreux, immuno-déprimés) et les plus carencées ; et sur la base du volontariat, aux personnels soignants en contact avec ces malades.
 
8- Proposer une vaccination également volontaire, pour des populations très ciblées, administrée impérativement en-dehors des périodes épidémiques, avec des vaccins à virus inactivés (sans risques), entiers (poly-épitopiques) et même multi-souches (comme pour la grippe). Le rapport coût/bénéfice de cette intervention devra être comparé à celui de la précédente (chimioprophylaxie hivernale). La recherche d'anticorps facilitants devra faire partie de la surveillance post-vaccinale dans le cadre de protocoles de recherche nationaux indépendants de l'industrie puis d'une éventuelle ATU (Autorisation Temporaire d'Utilisation).
9- Une année après la mise en place des mesures ci-dessus, une évaluation sera faite de l'évolution de l'infection à Sars-CoV-2. Si celle-ci n'a pas été réduite au point que le bilan de toutes les infections respiratoires n'est pas revenu à la moyenne des 10 années précédentes (après ajustement sur la pyramide des âges), le gouvernement de la dictature sanitaire reconnaîtra son erreur et démissionnera. 
 
Conclusion :
On connaît l'aphorisme : « La dictature c'est "Ferme ta gueule !", la démocratie, c'est "Cause toujours ! "». Or la dictature anti-sanitaire actuelle, qui unit la cupidité sans limite du capitalisme privé et la violence brutale de l'État autoritaire, et qui nous impose aujourd'hui des mesures délétères (mais lucratives) "pour notre bien", a apparemment réussi une synthèse : "Cause toujours ET ferme ta gueule !".
 
Il est plus que temps que dans un sursaut vital, le peuple, nécessairement épaulé par des forces de l'ordre redevenues républicaines, impose aux dictateurs à tous les étages (affairiste, médiatique, politique, policier, administratif, académique...) le seul impératif nécessaire : "Taisez-vous définitivement et laissez-nous vivre !".
 
Même si, comme le Dr Rieux, nous savons « ce que cette foule en joie ignorait, et qu’on peut lire dans les livres, que le bacille de la peste ne meurt ni ne disparaît jamais, qu’il peut rester pendant des dizaines d’années endormi dans les meubles et le linge, qu’il attend patiemment dans les chambres, les caves, les malles, les mouchoirs et les paperasses, et que, peut-être, le jour viendrait où, pour le malheur et l’enseignement des hommes, la peste réveillerait ses rats et les enverrait mourir dans une cité heureuse ». (Albert Camus, La Peste, 1 947).

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