Contre intox : le massacre de l’avenir de notre jeunesse ne sauve pas les vieux
TRIBUNE : Sauvons notre jeunesse, exigeons la Liberté pour tous.
A la veille de rencontres familiales et discussions intergénérationnelles, ne tombons pas dans le piège de l’affaire Dreyfus, et de déchirements terribles au pied du sapin.
Tentons de convaincre que le dilemme, qui serait de sauver deux vieux de 80 ans en privant les jeunes de vie normale, de fêtes, compétitions, théâtre, matchs en tant qu’acteur ou spectateur, de cours de fac dans des conditions normales, est une arnaque, une manipulation honteuse de la jeunesse de notre pays, qui est son avenir.
Aucune des mesures liberticides qui plombent la vie de tous pour RIEN ne servent à quoi que ce soit, si ce n’est laisser se dérouler avec soumission orwellienne le scénario des banques et gouvernements affidés via l’OMS et le conseil international qui guide les décisions de nos dirigeants[1].
Répétons ce que nous écrivions ici même en août 2020 dans notre lettre aux jeunes de babyboomers.[2] En préambule plus que jamais d’actualité face à la propagande honteuse des médias inféodés :
« Chers « jeunes » de la génération de nos enfants et petits-enfants
Sachez avant tout que rien n’importe plus à nos âges que votre bonheur et vos conditions de vie les meilleurs possibles, cent mille fois plus qu’un risque potentiel de mourir d’un virus déjà HS (risque 0, 05 % pour les plus de 75 ans sans maladie associée, soit moins que de rouler en voiture).
Nous avons vécu plus ou moins bien selon les cas, mais de toute façon notre avenir est derrière nous et pour la plupart des gens « ordinaires », nos proches, nos amis, c’est l’évidence, c’est l’avenir de nos enfants qui importe contrairement à ce que veulent vous faire croire les médias.
Nous pensons pouvoir parler pour la grande partie des retraités, la majorité dite silencieuse, celle à laquelle le pouvoir ne prête pas attention, sauf pour lui faire les poches de temps à autre. »
Les forts en gueule soixante huitards attardés ne nous représentent pas[3]
Les quelques épouvantables soixante huitards, parfois pédophiles célèbres qui hantent les plateaux, journalistes hors d’âge, commentateurs artistes ratés ou autres, qui veulent vous culpabiliser et vous stigmatiser, ne représentent en rien notre génération, mais des individus carriéristes qui ont pris le pouvoir après 68 et ne l’ont jamais lâché au mépris d’hommes et femmes de qualité de la même génération moins arrivistes, laissés de côté.
Ils racontent ce que le pouvoir veut qu’ils racontent, et en ce moment faire peur pour imposer un vaccin extraordinairement peu testé, mais tellement rentable. Alors s’il faut vous faire croire que vous êtes responsables, pas de problème. Aucune empathie. Un autre monde.
Non, les jeunes ne sont pas responsables des covid des adultes âgés, ni du manque organisé de lits de réanimation ou de médecine interne, choix des gouvernements qui continuent actuellement à fermer des lits. Ils ne les contaminent pas et d’autre part il existe de nombreux traitements efficaces en phase précoce qui évitent les décès chez les patients qui ne sont pas en fin de vie par d’autres pathologies.
C’est le gouvernement qui interdit d’utiliser les traitements efficaces, c’est le gouvernement qui conseille aux médecins d’injecter du Rivotril qui va les faire mourir par asphyxie au lieu de les soigner tout simplement comme depuis Hippocrate.
Depuis le début du confinement le gouvernement et les médias répètent en boucle « le confinement est indispensable pour sauver les vieux », et n’hésitent pas à mentir pour culpabiliser les enfants et les jeunes : « regardez cette petite fille qui a embrassé sa grand-mère et qui est responsable de sa mort en réanimation » pub épouvantable orchestrée en Europe.[4]
Le confinement n’a pas sauvé de vieux, mais en a tué beaucoup. Les enfants et les adolescents ne transmettent pas la maladie et les mesures sanitaires gâchent inutilement leur avenir et en poussent même certains au suicide.
Arrêtons de sacrifier la jeunesse par des mesures sanitaires inutiles qui obèrent gravement son avenir tout en aggravant la mortalité de nos aïeux.
Bilan sanitaire de la politique sanitaire chez les enfants et adolescents
Les enfants et adolescents ont beaucoup moins à craindre du Covid19 que de la grippe saisonnière. D’après Santé Publique France, le covid19 a tué 3 enfants de moins de 15 ans (dont au moins deux souffraient d’autres maladies graves) contre 7 à 10 morts de grippe durant chacune des 3 dernières années. Mais ils sont gravement victimes des mesures prétendument sanitaires.
Le premier confinement leur a fait perdre inutilement 3 mois d’enseignement et plus de 10% des scolaires ont décroché, certains définitivement.
L’intérêt même de l’école est remis en cause par le Premier Ministre lorsqu’il suggère aux parents de ne pas envoyer à l’école les jeudi et vendredi d’avant noël. Il devrait méditer les dommages permanents causés par les fermetures d’écoles[5], calculés par l’agence statistique norvégienne : « chaque semaine d’enseignement en classe refusée aux élèves, freine les chances de vie et réduit de façon permanente le potentiel futur de revenus ».
Le confinement et les mesures sanitaires empêchent l’apprentissage des relations sociales normales
La maltraitance sanitaire des jeunes commence dès la naissance ; elle touche le nouveau-né et le nourrisson car le port du masque par les adultes perturbe gravement les relations mère enfant et l’apprentissage du langage oral et de la mimique. Il faut lire les commentaires désespérés des nurses de ces petits qui comprennent vite la catastrophe qu’elles engendrent involontairement.
Elle se poursuit à la maternelle où les jeunes enfants peinent à reconnaître les voix et les visages de leurs encadrants et de leurs voisins et ne peuvent plus analyser leurs réactions émotionnelles. Impossible d’apprendre à parler, à chanter, à observer en privant le petit de l’essentiel des armes pour entrer dans la vie. Aggravé encore quand certains parents croyant bien faire mais formatés covidiens continuent ce cirque à la maison. Les cris au secours des orthophonistes décrivent parfaitement les maux que nous laissons engendrer en se soumettant à ces mesures délirantes, sans aucune raison sanitaire.[6]
« Au sein de nos cabinets, dans notre pratique, parmi les témoignages que nous récoltons depuis cette date, nous constatons que le port du masque par les enfants a déjà de nombreuses répercussions. Au vu de notre expertise sur le développement de l’enfant et particulièrement sur de développement de son langage, il est évident que d’autres effets sont à venir, inscrits dans les acquis des enfants soumis à cette mesure alors qu’ils sont dans une « fenêtre d’acquisition » qui s’ouvre pour un temps et se referme par la suite.
Ces conséquences, une fois visibles, seront nécessairement irrémédiables. Alarmés par cette situation, nous proposons ici notre regard d’orthophonistes sur le port du masque par l’enfant en milieu scolaire. Il représente un risque majeur pour son développement alors que le bénéfice est loin de faire consensus. »
Elle s’aggrave en primaire avec l’odieuse obligation du port du masque par les enfants et de distanciation sociale qui brident l’enseignement, les jeux, et les amitiés pourtant si importants dans la socialisation. Certains enseignants se plaignent de « ne pas reconnaitre » leurs élèves et craquent parfois brutalement en leur demandant de se dévoiler afin de faire connaissance après deux mois de mystère insupportable et injustifié. Bravo à ces résistants. Des parents craquent jusqu’à retirer leur enfant de l’école et s’en faire retirer la garde par ladite justice pour un enfant de huit ans[7], alors que l’inefficacité des masques est démontrée depuis longtemps pour la population générale et récemment par une étude randomisée danoise[8].
Les enfants ne contaminent pas
Rappelons sans se lasser que les enfants de 0 à 19 ans ne contaminent pas, ni les autres enfants, ni les adultes. De très nombreuses revues internationales de toute provenance l’ont démontré (lire les articles children- covid sur PUBMED)[9]. Seuls les médias aux ordres des milliardaires au pouvoir via nos gouvernants continuent à imposer l’idée des contaminations par les enfants. Les syndicats d’enseignants et quelques médecins incultes ou /et enrichis entonnent la chanson mensongère et soutiennent la propagande éhontée du petit qui contaminerait sa grand-mère mourante quelques jours plus tard. Honte mensongère et perte de liberté, car même si c’était vrai, qu’eut choisi la grand-mère ? Qu’est-ce que la vie ?
L’intoxication sur un faux risque pour vacciner tout le monde
L’explication la plus rationnelle à ce chantage du risque via les jeunes est la volonté absolue de leur imposer les vaccins OGM qui ont dû mal à convaincre. Effectivement, tous ont à peu près compris que le covid ne tue pas les jeunes et encore moins les enfants. Alors comment convaincre les parents de vacciner leur progéniture s’il n’y a aucun risque ni pour eux, ni pour leurs familles. Le dr Marty autrefois grand défenseur de liberté des médecins voudrait quasiment nous emprisonner si nous refusons le vaccin. Quelle folie stalinienne ? Qu’a-t-il fait, de quoi veut-il se protéger ?[10]
Certains enfants, dans leur discours formaté à l’école par certains directeurs et enseignants et la radio matinale dans la voiture, surprennent et désespèrent leurs parents par leur soumission aux directives gouvernementales. Le plus grave au-delà des problèmes de confort, d’infection, d’oreilles écartées est bien là, l’apprentissage précoce de l’obéissance aux ordres d’en haut aussi débiles soient-ils. Une armée de petits chinois en formation qu’on nous cite en exemple depuis début 2020. Le projet du passeport social chinois tente -t-il les français ? Leur a -t-on demandé leur avis ? Une belle idée de référendum en tous cas.
Là est le plus tragique, on n’apprend plus à débattre d’idées divergentes et respectables, mais on vise au consensus, et celui qui ne sera pas tout à fait d’accord apprendra à se taire, à se terrer, à se cacher.
La maltraitance se poursuit en secondaire
Le confinement leur a imposé une promiscuité permanente souvent mal supportée avec les parents à l’âge du début d’émancipation et d’importance majeure de relations avec les adolescents du même âge. Depuis la rentrée, les masques et la distanciation perturbent sans raison les cours, les jeux et les premières relations sentimentales essentielles à l’adolescence.
Les activités périscolaires et extra-scolaires qui leur permettaient d’enrichir leur vie sociale et affective, et de créer des liens avec leurs amis, et des adultes autres que leurs parents, n’ont pas repris, ou dans des conditions médiocres.
Surtout comme pour les plus jeunes, le conditionnement à la soumission volontaire est tragique. Gare à celui qui dans sa classe met en cause le port du masque ou et le confinement. Il sera regardé de loin avec suspicion comme individu dangereux ou malade. Et même à domicile, ils évitent le sujet de peur de ne pas être d’accord avec les autres membres de la famille. La pensée unique s’impose comme une obligation voire comme une évidence confortable.
La meilleure illustration de ce désir de formatage est la suppression de nombreuses heures de cours de français et de la si symbolique et majeure classe de philosophie dans lesquelles on était censé apprendre à réfléchir, à poser le pour et le contre, à diverger du voisin sans pour autant le considérer comme débile, ennemi, ou complotiste.
Le processus n’est pas d’aujourd’hui mais s’est accéléré, grandement facilité par les confinements et les soi-disant mesures sanitaires. L’enseignement en visioconférence, le rêve des dirigeants, contrôle de masse des cours enregistrés et dépistage facile des profs un tant soit peu innovants, voire opposants au pédagogisme destructeur imposé depuis la loi Haby sous Giscard et très aggravé depuis Jospin. La désinstruction nationale décrite avec soin par le professeur de philosophie René Chiche dans son livre[11] montre bien le saccage de l’école de la république, et la disparition des hussards noirs au cours de ces cinquante dernières années. La suppression de la classe de philosophie en est le point d’orgue tragique.
Les ados sportifs et les artistes victimes de la politique sanitaire
Le confinement a brisé les espoirs de nombreux futurs grands sportifs avec l’interruption des entraînements et des compétitions en même temps qu’ils auront ruiné et conduit à la faillite de nombreux clubs de toutes spécialités, comme les poney-clubs ou les clubs de foot ou de petites salles de sport etc.
Les mois de folie sanitaire ont détruit les efforts de plusieurs années d’entraînement et il n’est pas certain qu’en redoublant d’efforts ils puissent retrouver leur niveau d’avant, ni les groupes « élite » par exemple, dépendant de l’âge qu’ils auront dépassé entretemps. La France ne va pas briller dans les compétitions où nos jeunes affronteront des asiatiques et des africains qui ont échappé au confinement.
Natation, équitation, sports d’équipe, judo, ski et autres sports alpins ne devraient pas rapporter beaucoup de médailles lors des prochains jeux olympiques.
Il en est de même pour les choristes, les danseuses, les orchestres car la culture n’a pas été jugée essentielle par nos dirigeants. Seule consolation, les concerts spontanés dans les supermarchés par des artistes en manque de public qui font découvrir aux acheteurs de légumes, les joies, les sensations des grands airs d’opéra.
L’indifférence trop répandue pour ce qui n’est pas son souci personnel ou/et immédiat s’est reflété dans le peu d’échos pour les pétitions tentant de faire prendre conscience des drames des enfants aux autorités[12] [13], mais aussi aux lecteurs, tant pour la reprise si capitale de l’école en mai 2020, SANS MESURE LIBERTICIDE inutile, puisque les enfants ne contaminent ni adultes ni enfants et ne font jamais de formes graves (sauf trois immunodéprimés en un an).
Le confinement responsable de dépressions et de suicides des adolescents
Contrairement aux enfants plus jeunes, les adolescents passent plus de temps avec ceux de leur âge qu’avec leur famille et ces contacts sont indispensables à leur développement psychologique harmonieux, pour développer leur empathie et leur personnalité propre.
Le confinement et les autres mesures prétendument sanitaires s’opposent donc frontalement aux besoins des adolescents. Les psychiatres avaient mis en garde dès le début du premier confinement sur les effets pervers de l’enfermement, et tout particulièrement des adolescents. La perte de contact avec leurs amis et la confrontation avec une maladie inconnue transformée en Peste par la propagande du gouvernement et des médias est source d’angoisse et de dépression à un niveau inédit.
Dès le premier confinement les psychiatres appelaient au secours [14] (« le confinement n’est pas anodin au niveau psychologique (…), certains vont ressentir une impression de vide »et évoquaient « l’angoisse du confinement »).
De plus Les psychologues ne sont pas considérés comme des personnels de santé. Pas de masques délivrés en pharmacie. Les patients n’ont plus de séances depuis le début du confinement. Et ne peuvent pas reprendre leur thérapie car on ne délivre pas de masques aux professionnels, ni aux parents, tout en leur disant que c’est obligatoire. On ne peut pas en acheter non plus car les pharmaciens très surveillés et les psychologues ne sont pas considérés comme soignants.
Néanmoins comme ordres et contre-ordres, la dissonance cognitive organisée, ont varié, les psychologues ont pu maintenir un contact virtuel par Skype, pour les malades les plus à risque, comme les autistes par exemple. Télétravail gratuit au moins les premières semaines et n’ayant rien de commun avec un contact direct. Et l’on redécouvrit que l’homme est un animal social qui a besoin de toucher, d’être touché etc.
Dès la mi-juin une vague de malades a déferlé dans les services psychiatriques. « Aujourd'hui comme hier, on a eu 23 passages. En temps normal, on en a 7 ou 8 » et le mouvement s’est amplifié depuis lors.
Et nous écrivions en août 2020 que la vague de l’automne serait psychiatrique.[15] Ce le fut même si ce fut tu et probablement coté « covid ».
Le 24 septembre, lors de la table ronde de la commission d’enquête, la pédopsychiatre M Touati-Pellegrin a déclaré « le confinement et le déconfinement ont été sources de décompensation ou d’aggravation des troubles psychiatriques des enfants, des adolescents et de leurs parents ». De fait le nombre des urgences psychiatriques des adolescents a augmenté de 30% et leur gravité s’est accrue avec une augmentation nette des suicides.
Pauline Chaste, chef du service de pédopsychiatrie de l’hôpital Necker déclarait[16] : « Cinq patients de moins de 15 ans étaient hospitalisés début novembre à la suite d’une défenestration, alors que cela concerne habituellement un adolescent par mois ».
A Rennes S Tordjman, chef du pôle hospitalo-universitaire de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent précise :« les crises suicidaires ont plus que doublé du 1er au 15 novembre, par rapport à la même période de 2019, avec 10 TS et 22 idées suicidaires, contre 3 TS et 10 idées suicidaires en 2019. »
Le confinement risque donc de hisser en 2020 le suicide au premier rang des causes de décès chez les jeunes.
Ces complications sont d’autant plus scandaleuses que les enfants et adolescents ne contaminent personne
Au début de l’épidémie on croyait que le covid19 se propageait comme la grippe en passant par les enfants. Mais toutes les études épidémiologiques sérieuses, faites au début de l’épidémie (lorsque la faible prévalence du covid19 permettait de remonter avec certitude la piste des contaminations) ont prouvé qu’il n’en était rien. Les enfants ne contaminent personne, ni les autres enfants, ni les adultes. Et lorsqu’ils sont contaminés par un adulte ils font des formes peu ou pas symptomatiques, sans gravité.
Rappelons une nouvelle fois les études principales occultées par les médias et les commentateurs serviles.
Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.
– L’étude de l’Inserm [17] est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie. Et l’infection apportée de Singapour par un adulte est restée cantonné aux occupants du chalet.
– L’étude de l’institut Pasteur[18] sur les écoles primaires de Crépy en Valois, a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.
– L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »
– Aux Pays-Bas[19], les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3% de tous les patients déclarés avec COVID-19, bien qu’ils représentent 20,7% de la population. Seulement 0,6% des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans et Il n’y a pas de cas d’enfants décédés du COVID-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et les résultats préliminaires ont montré que rien n’indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.
– En Irlande [20], avant la fermeture des écoles aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants and 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).
– En Australie [21], 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel. Australian National Centre for Immunisation Research and Surveillance
– En Suisse (30) : sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9%). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).
-En Finlande[22] un enfant de 12ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune
-En Grèce [23] l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.
-A Singapour, deux écoles primaires and une école secondaire ont constaté des covid19 infantiles Aucun des 34 contacts identifiés des écoles primaires ne s’est révélé positif. Parmi les 77 contacts de l’école secondaire 8 ont développé des symptômes grippaux mais aucun d’entre eux n’a été testé positif.
Le lobby de la peur[24], pour imposer des vaccins et des traitements inefficaces mais très couteux comme le Remdesevir (aujourd’hui condamné à l’oubli), n’a pas d’études épidémiologiques sérieuses à présenter. Il n’exhibe que des études virologiques ou des études basées sur des tests affirmant que les enfants ont parfois une charge virale élevée et que lorsqu’ils sont symptomatiques ils excréteraient autant que les adultes et donc qu’ils seraient susceptibles d’être contaminants. Des supputations pas de preuves ! il rajoute comme argument une tribune exprimant la foi des médecins du groupe stop postillons qui n’apporte là encore aucune étude épidémiologique à l’appui de leur croyance.
Restons factuels. Toutes les études épidémiologiques publiées concluent que l’enfant ne contamine personne. Les suédois qui n’ont jamais fermé leurs écoles confirment qu’ils n’ont pas observé de propagation de l’épidémie par leurs établissements scolaires et pleurent moins de morts attribuées au covid19 que les pays qui ont confiné à l’aveugle.
La fermeture des écoles puis les mesures sanitaires que nos gouvernants leur imposent constituent une mise en danger des enfants et adolescents, certains en sont déjà morts et de très nombreux d’entre eux auront des séquelles à vie. Les plus résilients auront connu des difficultés supplémentaires injustifiées. Ces mesures sont de plus inutiles, scientifiquement infondées et ne sauvent pas les vieux.
EN CONCLUSION
À n’en pas douter l’histoire va s’éclaircir, car ruiner le monde par des confinements injustifiés, mortifères, priver les citoyens de liberté par une arme magique inventée par des fraudeurs, acceptée par l’OMS et les gouvernements ne saura longtemps laisser « confiner » les vraies raisons du désastre et ses responsables.
Même l’OMS recule sur la validité des tests PCR mises en cause par de nombreuses plaintes internationales. Les plaintes internationales se multiplient contre les responsables de l’utilisation des tests PCR et de la foi qu’ils leur accordent encore pour imposer au peuple des mesures mortifères sans queue ni tête. Le gouvernement français ne pourra faire longtemps la sourde oreille sur l’imposture des tests PCR ni sur l’interdiction des traitements précoces autorisés dans de plus ne plus de pays y compris voisins.
Le vaccin OGM est lui aussi soumis à plainte pénale depuis le 16 décembre (reaction19fr). Le monde se réveille enfin.
VOUS, LES JEUNES, N’ETES POUR RIEN RESPONSABLES DANS CE CHAOS SEULEMENT DES VICTIMES
MAIS VOTRE SOUMISSION EST DOMMAGEABLE
OUVREZ LES YEUX, LIBEREZ-VOUS, CHANTEZ, DANSEZ, ETUDIEZ, AIMEZ !
SOYEZ LIBRES DANS VOTRE PRATIQUE ET SURTOUT DANS VOS TETES
JOYEUX NOEL ET MEILLEURE ANNEE
[1] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont
[2] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/lettre-ouverte-la-jeunesse-par-des-babyboomer
[3] Ceux qui vous maltraitent sont le petit clan qui sature les tv : ne les écoutez pas !
Nous ne faisons évidemment pas partie du petit clan de polémistes, ou éditorialistes qui se relaient depuis 40 ans, parlant entre notre nom, sans notre assentiment. Un seul exemple, lorsque l’affaire Matzneff a enfin éclaté, ces mêmes pseudo journalistes ont tenté de faire croire que la pédophilie affichée par Cohn-Bendit, (qui a toujours table ouverte sur les plateaux TV), représentait l’air du temps des années 80. Non, son avis et celui de ses amis ne reflétaient que ce milieu pervers de l’entre soi qui tient les rênes du pouvoir et des médias (la même chose) depuis les années Mitterrand (1981) et même déjà Giscard (1974). Nous étions farouchement opposés à la pédophilie et à toutes les maltraitances imposées aux enfants (trafics) mais prêchions pour bon nombre dans le désert.
[4] Comme le document « panic Paper » secret du gouvernement allemand et ayant fuité en témoigne
[5] COVID-19-EPIDEMIEN : Kunnskap, situasjon, prognose, risiko og respons i Norge etter uke 18 Folkehelseinstituttet, 5. mai 2020 (en norvégien) https://www.fhi.no/contentassets/c9e459cd7cc24991810a0d28d7803bd0/notat-om-risiko-og-respons-2020-05-05.pdf
[6] Mise au cachot d’une parole en construction : Orthophonistes pour des enfants démasqués - REINFOCOVID
[7] Qui se bat pour elle ?
[8] Henning Bundgaard, Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers A Randomized Controlled Trial Ann Intern Med
. 2020 Nov 18 ; M20-6817. Doi : 10.7326/M20-6817 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33205991/ .
[9] https://www.nexus.fr/actualite/analyse/enfants-covid-19-gerard-delepine/
[10] Grâce au Herr doktor Marty, on va piquouzer tout le monde ! - Riposte Laïque Riposte Laïque (ripostelaique.com)
[11] R Chiche La désinstruction nationale livre Edition Obadia novembre 2019
[12] Pétition pour la reprise des écoles le 11 mai sans mesures liberticides inutiles et pétition pour la reprise du sport dans des conditions normales par exemple
[13] La fermeture des écoles : facteur d'aggravation des conséquences ...
https://www.francesoir.fr/.../la-fermeture-des-ecoles-facteur-daggravation-des -consequences-negatives-du
[14] La santé mentale : « un coup de tonnerre dans un ciel bleu » in Covid19 et confinement aveugle, combien de morts évitables ? – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) dès mai 2020 (références dans article source)
Impactée pour 20 ans ou plus d’après les psychiatres et pédopsychiatres qui appellent au secours de ce confinement inique, depuis son début, dans un silence assourdissant, absents des grands médias. Le retentissement psychologique des mesures de confinement pourrait être très important. Une enquête réalisée entre le 23 et le 25 mars par BVA pour le compte de Santé publique France auprès de 2 000 personnes : « a révélé que 27 % des répondants se trouvent dans un état d’anxiété. Un chiffre « à comparer aux 13,5 % mesurés hors période épidémique » lors du Baromètre santé 2017.]
[15] La vague psychiatrique déjà rude ne sera pas en cloche ! (Francesoir.fr)
[16] P Santi Hausse des tentatives de suicide chez les mineurs : dans les hôpitaux, des pédopsychiatres inquiets mais prudents Le Monde 26/11/2020 https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/11/26/hausse-des-tentatives-de-suicide-chez-les-mineurs-dans-les-hopitaux-des-pedopsychiatres-inquiets-mais-prudents_6061214_3244.html
[17] Danis K, Epaulard O, Bénet T, Gaymard A, Campoy S, Bothelo-Nevers E, et al. Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020. Clinical Infectious Diseases. 2020.
[18] Arnaud Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort st asudy in an area of high transmission medRxiv preprint doi : https://doi.org/10.1101/2020.06.25.2014017
[19] Rapports de patients COVID-19 reçus des services municipaux de santé publique (GGD) aux Pays-Bas study in an area of high transmission medRxiv preprint doi : https://doi.org/10.1101/2020.06.25.2014017
[20] Heavey L, Casey G, Kelly C, Kelly D, McDarby G. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending School in Ireland, 2020. Euro Surveillance : bulletin Europeen sur les maladies transmissibles = European communicable disease bulletin. 2020 May ;25(21).
[21] (NCIRS). COVID-19 in schools – the experience in NSW [Internet]. Sydney : NCIRS ; 2020. Available from : http://ncirs.org.au/sites/default/files/2020-.
[22] Dub T, Erra E, Hagberg L, Sarvikivi E, Virta C, Jarvinen A, et al. Transmission of SARS-CoV-2 following exposure in school settings : experience from two Helsinki area exposure incidents. MedRxiv. 2020 :2020.07.20.20156018
[23] Helena C. Maltezou Transmission dynamics of SARS-CoV-2 within families with children in Greece : à study of 23 clusters
[24] MARC DURIN-VALOIS Contagiosité des enfants : un dossier explosif pour le gouvernement 17 OCT. 2020 Médiapart
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