Vaccin Pfizer : chronique d'un fléau annoncé
Vaccination, désinformation et extorsion de consentement
Si vous ne faites pas vacciner pour vous, faites-le pour les autres…. Est-ce bien vrai ? L'injection d ARN messager à visée immunogène, serait-elle une baguette magique face au SARS-CoV2 qui est un virus ARN ? Rien dans la littérature, ni dans les faits ne semble le démontrer. Selon l'ANSM, pendant la semaine du 26 février au 4 mars, 1528 effets secondaires ont été déclarés officiellement en France après injection du vaccin PFIZER-BioNtech, parmi lesquels 24% ont été considérés comme graves, soit près d'une personne sur 4. Depuis le début de la vaccination, 8487 effets secondaires ont été enregistrés pour ce même vaccin, dont 22% sont évalués comme graves. Nombre de personnes vaccinées depuis le 31 décembre 2020 avec PFIZER-BioNtech : plus de 4 566 000, ce qui fait environ 0,19% des personnes vaccinées victimes d'effets secondaires, et 0,04% victimes d'effets secondaires graves (dont 251 personnes décédées). Cela commence à faire beaucoup tout de même. Penchons-nous sur la cohorte des victimes collatérales des vaccins et lève l’omerta.
A la guerre comme à la guerre
Rappel des faits : lors du discours d’investiture de la crise, le président de notre République nous l’a annoncé à six reprises : « nous sommes en guerre » ! Un an plus tard, la liste des morts identifiés covid s’est allongée ; liste à laquelle nous pouvons désormais rajouter les victimes collatérales des vaccins censés protéger les populations du virus. 46 décès dans une maison de retraite en Espagne, 23 morts de plus de 85 ans en Norvège, 10 de plus de 79 ans en Allemagne, un médecin d’une cinquantaine d’années mort aux USA tout aussi mystérieusement que d’autres personnes censées être en bonne santé avant l’injection, de nombreuses personnes incapables de reprendre leurs activités professionnelles. Si vous avez prêté l’oreille, vous aurez très certainement eu vent des conséquences délétères du « vaccin » Pfizer dès ses premières administrations fin 2020. Nous nous sommess penchés sur le rapport confidentiel fourni par ce fabricant à la FDA en décembre dernier. Et sur l’actualité récente dont les chiffres semblent confirmer ce que ce rapport prédisait en filigrane…
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Quand un labo vend en toute connaissance de cause et de marché
Premier coup bas, à la lecture de l'étude réalisée par Pfizer sur une cohorte de 44 000 personnes en deux mois, il fallait dès le départ repérer ce qui n’y était pas dit : nulle part, les effets secondaires à moyen et à long terme ne sont étudiés ! Évidemment puisque le temps manquait… De plus, ce fameux rapport ne donne aucune donnée sur la diminution de la contagiosité. Nous avons donc à l’heure actuelle un ratio de 11,1 chocs anaphylactiques par million de vaccinés (ce qui est environ dix fois plus que pour le vaccin contre la grippe), et de 2,8% d'effets secondaires dans les cinq premiers jours selon le CDC (Center for Diagnostic Disease) provoqués par ce type de vaccination !
Pour ce qui est du mécanisme de ce vaccin ce sont des voix anciennement salariées par le labo qui se lèvent. Parmi elles, Mickeal Yeadon, ancien directeur de recherche chez Pfizer et médecin, lance l’alarme: spike qui est la cible de l’injection immunogène nous amène à faire des anticorps contre cette dernière; or celle-ci ressemble à une molécule naturelle de notre corps appelée la syncytine qui sert normalement à la placentation… Ainsi, des troubles de stérilité pourraient émerger puisque les anticorps fabriqués par notre organisme contre spike pourrait reconnaître la syncytine et aboutir à sa destruction. Selon Mikael Yeadon, cette potentielle reconnaissance de la syncytine par les anticorps fabriqués suite à l’injection vaccinale pourrait entraîner des troubles de la fertilité ! Alléchant…
Attendez, ce n’est pas fini ; on ne sait pas si cette « thérapie génique » appelée à tort « vaccin » ne comporte pas un risque d’intégration de l’ARNm vaccinal dans le matériel ADN du sujet. Il pourrait être transmissible génétiquement d’une génération à l’autre; si cette intégration se produisait dans les cellules germinales. Pourtant c’est l’objection principale, dont le professeur Peronne ainsi que la généticienne Alexandra Henrion-Caude, ont parlé très clairement dès le départ. Face à cela, le rapport ne comporte que des formules vagues, telles que « nous n’avons pas eu le temps d’évaluer les risques à long terme, étant donnée la période courte de l’essai du vaccin ». La solution serait donc, d’après le laboratoire, de les autoriser à faire la vaccination de masse, et advienne que devra en terme de conséquences à plus ou moins long terme… Ceci m’évoque tristement les expériences faites lors de la Seconde guerre mondiale dont le procès de Nuremberg a fait émerger le « code de Nuremberg » qui est considéré comme le premier texte international de référence sur l'éthique de l'expérimentation humaine, et du consentement éclairé ; mais dont le chercheur Robert Barker dit qu’il a très peu d'effet sur la communauté médicale qui ne se sent guère concernée. Selon ce dernier : « Nuremberg apparait comme "un code bon pour les barbares" mais pas pour les nations civilisées ».
Bien sûr, l’utilité d’une vaccination de masse pour une épidémie qui statistiquement tue aussi peu de gens - rappelons-le, 0,05 % - n’est pas du tout discutée : à la guerre comme à la guerre ; la logique de marché fait loi !
Quand l’absence totale de recul fait de la vaccination une campagne d’essai vaccinal de stade 3 à l’échelle planétaire aux risques et périls des cobayes
Deuxième uppercut, le rapport révélait aussi quelque chose qui dès le départ n’était clairement pas rassurant. Nulle part n’y était précisé que des maladies causées par la vaccination ne se développeraient pas une fois que l’immunité baisserait. Ainsi, les morceaux de vaccins ayant été introduit dans le génome du sujet lui-même pourraient avoir l’effet d’une bombe à retardement. Car comment savoir si l’on va fabriquer la bonne quantité de "spike" après vaccination ? Nulle part le laboratoire Pfizer n’a affirmé qu’il maîtrisait totalement la dose d’ARNm. Que se passera t-il si l’organisme en fabrique trop, par exemple ; dans le cas où la machine se dérègle ? On n’en sait rien ; dans ce tour de passe-passe, on joue donc avec le feu… C’est ce qui était sous entendu, et tristement l’actualité parle d’elle même…
La deuxième dose de vaccination interrompue après le décès de 46 pensionnaires dans une maison de retraite du sud de l’Espagne. Une hécatombe qui pour autant s’annonçait en filigrane dès le départ de la campagne au travers des cas suivants : mort du médecin Grégory Michael qui, alors qu’il était en bonne santé à vu, suite à la vaccination, une hémorragie d’abord mineure le conduire aux urgences du centre médical de Mount Sinaï pour y décéder 16 jours plus tard, début janvier… Il y a aussi le décès inexpliqué d’une infirmière portugaise deux jours après sa vaccination fin décembre. Ou encore le décès d’un volontaire brésilien qui est mort après avoir participé aux tests du vaccin contre le Covid-19 élaboré par l'université d'Oxford. La victime a été identifiée par plusieurs médias brésiliens comme un médecin de 28 ans, décédé des suites de complications liées au virus. Bon cette fois-ci, nous étions sur le vaccin Astra-Zénaca. Mais de toute façon et jusqu’à nouvel ordre les pays (14 européens dont la France; mais aussi la Thaïlande et le Congo) les uns après les autres suspendent son utilisation. Faut-il penser que le vaccin Pfizer est quant à lui plus sur? Au vu des faits, et de l’aveu même du labo, cela laisse à désirer.
Toujours dans ce fameux rapport, il est précisé que « l’étude des effets du vaccin sur des personnes immuno-déprimées n’est pas précise en l’absence de sujets identifiés comme tels dans l’étude ». Tel que nous l’a expliqué Louis Fouché lors du grand entretien qu’il a offert au magazine Nexus dans le numéro 132, la particularité des patients HIV est que le virus du HIV possède une rétrotranscriptase et une intégrase qui sont les 2 enzymes-clés permettant l’intégration d’ARN dans un génome. C’est d’ailleurs ce que fait le virus du VIH qui s’intègre dans le génome du malade. En conséquence, les patients atteints de VIH auront peut-être au sein d’une même cellule l’ARNm vaccinal et les deux enzymes permettant d’intégrer cet ARNm dans leur génome. La probabilité que cela se produise est faible mais ne peut pas être complètement exclue ! D’ailleurs Pfizer a testé son vaccin sur des sujets VIH dont l’infection est maîtrisée ; et qui donc ne produise plus ces 2 enzymes clés. Mais que se passera-t-il chez les patients ayant le VIH sans le savoir ?
Pour ce qui est de l’aspect expérimental de cette thérapie génique, nous renvoyons par ailleurs nos lecteurs au nombre croissant d’étude corrélant une explosion du nombre de covid positif dans les pays ayant pratiqué en masse la vaccination. En Israël, la vaccination a commencé le 20 décembre et a été suivie d’une augmentation de 400% des contaminations ! Pour ce qui est de l’Angleterre, un groupe de chercheurs indépendants à étudié la sur-concentration de virus dans les gouttelettes nasales des personnes vaccinées en s’interrogeant sur une corrélation possible avec la mutation du virus survenue suite à la campagne de vaccination à l’échelle nationale (Nexus numéro 133). Toutes ces données semant le doute on peut donc parler tel que le dénonce la généticienne Alexandra Henrion-Caude d’un « vaccin génique expérimental » ! Tel que l’a répèté le médecin Louis Fouché lors d’un entretien filmé avec la chaîne Nexus: « Rappelons-le, nous sommes en phase 3 pour toutes les personnes pour lesquelles l’efficacité du vaccin n’est pas prouvée, notamment les personnes de plus de 75 ans… Il faut bien comprendre que ce vaccin n’a reçu qu’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle. Cela signifie que le laboratoire Pfizer n’a pas encore complètement fini les études de sécurité et d’efficacité qui ne se finiront qu’en 2023 ! Et si vous vous faites vacciner vous ferez partie des cobayes, seulement personne n’est renseigné de cette façon lors de son consentement… A méditer. » Autre point: « l’essai n’a pas démontré à ce jour une baisse des hospitalisations ». On en reste pantois.
Quand la vaste définition de l’immuno-dépression fait courir un risque encore plus grand qu’on ne l’imagine
Troisième coup bas, outre tpus ces dysfonctionnements, et tel que le précise le docteur Jacques Vigne interrogé pour France Soir, se pose en filigrane le problème de la définition de l’immuno-dépréssion qui n’est pas toujours bien claire. L’affaiblissement du système immunitaire n’est pas facile à déceler: « plus évidente lors d’HIV, diabète ou cancer diagnostiqué; ceci étant la plupart du temps, les signes cliniques de la maladie semblent bénins et courants. Il peut s’agir d’otites, de diarrhées, d’infections pulmonaires ou encore de mycoses ». Quand on voit les effets de cette thérapie sur les personnes âgées, et plus jeunes diagnostiquées en bonne santé on peut redouter le pire si elle était propagée à l’ensemble de la population…
Rappelons que dès début décembre, on a vu des sujets faire des chocs anaphylactiques lors de la campagne de vaccination lancée en Angleterre auprès des soignants et des personnes âgées. Dès le premier jour, au moins deux Britanniques ont développé, mercredi 9 décembre, une forte réaction allergique après avoir reçu une injection du nouveau vaccin de Pfizer. Dans la foulée, l’Agence britannique de régulation du médicament a publié une mise en garde, déconseillant aux personnes ayant des antécédents de crises allergiques aiguës de se faire vacciner. D’après le site Allergy UK, une personne sur 1 000 risque de subir un choc anaphylactique après avoir été exposé à un allergène auquel elle est sensible. Ce type de crise « affecte le système cardiovasculaire, respiratoire, gastrique et entraîne des éruptions cutanées graves. La pression sanguine peut baisser et la personne peut avoir des difficultés à respirer ». C’est ce qui explique qu’une circulaire française a indiqué aux Hepad de se fournir en l’Adrénaline, à injecter en cas de choc anaphylactique. Rappelons pour les populations actives aux USA fin décembre une étude dénombrait 3150 vaccinés sur 113 000 “incapables d’effectuer leurs activités quotidiennes normales” suite au vaccin anti-covid ; ce qui est l’un des critères scientifiques de la définition des effets indésirables du stade 3.
Rappelons-le, du côté des bataillons français, moins d’une semaine après ses premières administrations en France, l’autre formule miracle qu’est le vaccin d’AstraZeneca a suscité « surprise » voire « inquiétude ». Réservé aux professionnels de santé et du médico-social de moins de 65 ans, le produit du groupe anglo-suédois a fait l’objet de 149 déclarations de pharmacovigilance en cinq jours. Au bout d’une semaine, les hôpitaux de Brest et de Morlaix ont décidé d’interrompre la vaccination suite à une campagne qui a obligé 20 à 25 % des soignants à se mettre en arrêt de travail. Précisons que ces populations ont elle été soumises au vaccin Astra-Zénaca qui ne fonctionne pas par ARN messager mais par une chimère génétique qui introduit le vaccin selon "un vecteur viral", c’est-à-dire qu’il prend comme support un autre virus, en l'occurrence un adénovirus commun chez le chimpanzé. Ce dernier a été affaibli et génétiquement modifié pour empêcher le nouveau coronavirus de se répliquer dans l'organisme humain. La manière qu'il a de délivrer du matériel génétique dans les cellules, leur ordonnant d'attaquer le Covid-19, a été présenté comme un « cheval de Troie », et un autre artefact tout aussi nouveau et novateur que le vaccin à ARN messager; on est au top… Ce vaccin d'AstraZeneca n’était dès le départ pas recommandé en France pour les plus de 65 ans, faute de données actuellement disponibles sur son efficacité dans cette classe d'âge. Nous y sommes quand même allés, avec la multitude de morts désormais identifiés. Où est le principe de précaution? Jusqu’ou ira-t-on ?
Dépôt de plainte à la Cour pénale internationale pour violation du code de Nuremberg
Le week-end dernier, une plainte de l’organisation « People of Truth » a été déposée auprès du Tribunal de La Haye par les avocats Ruth Makhachovsky et Aryeh Suchowolski concernant des violations du Code de Nuremberg du gouvernement israélien et d’autres parties. Or, si la plainte déposée la semaine dernière devant la Cour pénale internationale a été reçue, elle reste dans l’attente d’une décision de recevabilité. Elle est maintenant en attente d’une décision. L’avocate Ruth Makhchowolski a déclaré le 5 mars dernier à Israel News que « dans le même temps, la plainte sera également déposée devant le tribunal de Nuremberg, avec l’avocat allemand Reiner Fullmich. Lundi, la plainte sera déposée à la Haute Cour par Aryeh Suchowolski en Israël, concernant la violation du Code de Nuremberg ». L’avocate a ajouté six jours plus tard : « L’expérience que Pfizer mène dans l’État d’Israël a été menée en violation du Code de Nuremberg, qui appartient au droit pénal international et est sous la juridiction du tribunal de La Haye. Nous attendons maintenant une décision ». Comprenez bien : cette plainte est recevable, puisqu’il n’y a aucun consentement éclairé. Dans cette guerre d’un genre nouveaun, les populations ne savent pas qu’elles sont l’objet du stade 3 de l’évaluation du vaccin.
Vacciné tous les quatre mois, avec un port de masque à perpétuité !
Quatrième coup déjà annoncé avant de monter sur le ring: toujours selon les dires de l’étude Pfizer, avec les deux mois de recul qu’ils avaient lors de la publication, les chiffres semblaient démontrer une efficacité du vaccin, ou plutôt de la thérapie génique : dans le groupe qui avait reçu les deux injections à trois semaines d’intervalle, il n’y avait que 18 cas d’infection, alors que dans l’autre il en avait 169. La question reste entière de savoir si cette immunité donnée par le vaccin persisterait plus de trois ou quatre mois ? Par conséquent, ceci laisse sous-entendre que cette vaccination de masse devrait être faite tous les quatre mois ! Avec le coût considérable que cela implique. Le laboratoire suppose que si le vaccin est efficace pour réduire les symptômes, il le sera aussi pour réduire les séquelles, mais il n’en est pas sûr ! Pourtant, ce sujet est central, on a par exemple remarqué que chez les patients traités pour le covid qui allaien apparemment mieux, 60 % avaient des lésions sur le coeur dite lésions de myocardite.
Au passage deux derniers point flous : selon l’étude, 10 % des sujets vaccinés attrapent quand même la maladie. En outre le cas des asymptomatiques (porteur du virus sans même s'en rendre compte) est non négligeable : est-ce-que le vaccin les prévient ? S’il ne prévient pas, est-ce que ces cas a-symptomatiques seront contagieux, autant que s’ils n’avaient pas eu le vaccin auparavant ? Tout cela n’est pas clair et peut mener à ce que des gens vaccinés soient convaincus de ne pas être contagieux et du coup ne respectent pas les gestes barrières et contaminent pour de bon les autres. C’est ce qu’on appelle une « fausse sécurité »; qui implique tel que le sous-entend ce rapport de continuer le port du masque et le respect de la distanciation sociale. La bonne blague ! C’est ce qui fait dire à Louis Fouché dans l’interview precedement citée que « comme avec le masque on mêle la psychose de l’un à la psychose de l’autre… C’est un retour du refoulé, qui n’a aucune valeur scientifique. Puisque la personne vaccinée ou masquée serait protégée de ceux qui ne le seraient pas ».
Au mépris de l’éthique et du bon sens, jusqu’où irons-nous ?
Toujours en forme ? Voici le petit résumé du champ de bataille : dans l’état actuel des choses, nous voyons donc une partie des vaccinés tomber comme des mouches et un labo qui selon sa propre analyse ne confirme pas l’utilité concrète de sa thérapie ! Laboratoire Pfizer, qui en 2009, fut contraint de payer une amende de 2,3 milliards de dollars pour pratiques frauduleuses de communication sur 13 médicaments, pour falsification de données, publicité mensongère et commissions occultes ! Même labo qui, comme l’actualité nous le démontre, vient de repousser ses livraisons de deux mois.
Afin d’inviter nos lecteurs à mieux se positionne, nous rappelons au passage que début janvier Alain Fischer, le président du Conseil d'orientation de la stratégie vaccinale, a prévenu qu'elle allait «bouger en fonction de la situation épidémique», notamment à cause des «nouveaux variants». «Peut-être un jour faudra-t-il vacciner les enfants», a-t-il déclaré, expliquant que la Grande-Bretagne étudiait le taux d'infection chez les jeunes. «Si […] les enfants transmettent le virus, la question se posera». Puisqu’une campagne de test vient d’être annoncée à l’échelon national à hauteur de un million d’enfants nous lançons l’alarme!!! Et vous joignons un avenant à fournir aux établissements scolaires, si vous ne souhaitez pas que cette campagne de test massif, contribue par une épidémie de cas positifs mais néanmoins non malades ; puis à la mise en oeuvre d’une telle stratégie vaccinale dont les effets ont déjà démontré une catastrophe annoncée. Depuis, dernier uppecut, le 9 mars, l’Académie nationale de médecine décrète que la vaccination doit devenir obligatoire pour les soignants. La bataille risque donc d’être féroce. Conscients de cette guerre, nous vous offrons en lien la primeur d’un travail d’un groupe d’avocats pénalistes qui, revue de droit et revue de presse à l’appui, offre des clefs qui vous permettront en toute légalité de refuser tout traitement, au motif que cette obligation, ou contrainte « vaccinale », est en violation totale avec l’éthique médicale et les droits fondamentaux nationaux et internationaux. [voir annexe]
Suite et fin : tempête de cytokine, qui veut être le cobaye?
Toujours d’attaque ? On résume… Tel que le dit en filigrane ce rapport et tels que nous le démontrent les faits d’actualité sans cesse concordants : en-dehors de perpétuer la politique du port du masque et de distanciation sociale, d’engrosser Big Pharma, de créer des troubles physiques pouvant entraîner la mort, ainsi qu'une modification de l’ADN transmissible aux générations futures, quel est l’intérêt de la thérapie vaccinale par modification génique ? Nous en perdons notre latin et renvoyons notre lecteur aux travaux de Dolores Cahill, immunologue de l’Institut Conway, qui lance un cri désespéré. Citant un article de 2012 publié chez PLOS One (revue scientifique) qui indique que la vaccination, conduit à une immuno-pathologie pulmonaire lorsqu’elle est adressée au coronavirus, et qui particulièrement faite sur les animaux a engendré des décès… Cette dernière craint donc la mise en place d’une telle stratégie vaccinale chez l’homme, puisque le risque mortel avec l’administration d’une vaccination à ARN messager pour de tels virus serait augmenté. « Si le message visant la protéine Spike s’intègre dans nos cellules , il sera exposé aux cellules immunitaires lorsque le virus meurt. Dans un deuxième temps il pourrait y avoir une montée en puissance de ce phénomène au travers de la multiplication d’anticorps. Le phénomène s’appelle tempête de cytokines, ou super amorçage immunitaire, car la réponse immunitaire naturelle est contournée; et le corps réagit à une information qui ne devrait pas être là. Le risque serait que votre corps devenu un OGM exprime la protéine virale de façon indéfinie sans plus jamais s’en débarrasser ». Alors qu’aucune vaccination dans les épidémies de virus ARN n’a jamais endigué une épidémie… Qui a envie d’essayer ? Pour ma part j’avoue très sincèrement jeter l’éponge, et penser à nourrir et défendre ma santé ; bien avant l’idée folle de tomber malade et d’entrer en guerre…
Caroline Escartefigues est psychologue clinicienne, et travaille à Hossegor au moyen de l’art thérapie, de l’EMDR et d’autres approches psycho-énergétiques.
Elle soutient son action de guérison par un travail journalistique et est l'auteur du Petit livre du silence et de la paix intérieure (Larousse, 2018).
De l'obligation ou de la contrainte vaccinale : lire ou télécharger en version PDF
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