Après une semaine de pause - le gymnase de Phoenix loué pour conduire les opérations étant réservé pour des remises de diplômes - l’audit du comté de Maricopa a repris lundi 24 mai. La presse mainstream continue d’utiliser les outils classiques de la propagande pour amoindrir les effets retentissants que pourraient avoir les résultats de cet audit sur la démocratie américaine ; alors que le Wall Street Journal le qualifie de spectacle mal géré, le Washington Post en rajoute, parlant de pagaille pour discréditer l’action ordonnée par le sénat arizonien. Les chaines TV ne sont pas en reste, mais on sent poindre une réelle inquiétude chez les libéraux comme Rachel Maddow, journaliste vedette sur MSNBC, fervent soutien pendant des mois de la collusion de Trump avec la Russie qui a fait un flop retentissant. Dans un tweet, R. Maddow appelle à stopper cet audit qui, selon elle, n’a qu’un but « servir les supporters de Donald J. Trump, défenseurs d’une conspiration prétendant que les élections ont été truquées ; poursuivre dans cette voie est dangereux car cela risque d’éroder la confiance du public dans la conformité des élections ». Il faut dire que, au fur et à mesure que l’audit avance, le conseil de surveillance des élections d’Arizona est pris en flagrant délit, au minimum de malfaçon et de non-respect des procédures électorales, et possiblement de fraudes ; ces fonctionnaires de l’État ont effacé les bases de données des résultats électoraux, alors que la loi exige de les conserver pendant un an ; il s’en est suivi une passe d’armes entre les sénateurs et ces fonctionnaires. Heureusement, un des experts des systèmes de vote a réussi à recouvrer les données. Du coup, les membres du conseil électoral se raccrochent aux branches en s’exprimant auprès de la presse libérale pour tenter de faire cesser l’action en cours.
L’audit de Maricopa se déroule dans des conditions difficiles
Rappelons qu’il a été provoqué par la pression de patriotes excédés par ces fraudes massives qui ont ébranlé le fondement même de la République américaine. Biden a remporté l’État de l’Arizona avec 10 200 voix, et plus de 2 millions de bulletins sont examinés un à un durant cet audit. Après tout, si les démocrates étaient aussi sûrs que cela de la victoire de leur candidat aux dernières élections présidentielles, qu’ont-ils à craindre d’un tel audit qui devrait confirmer cette victoire ? La réalité est probablement très différente et connue au sein des cercles de pouvoir démocrates, tout comme par certains républicains préoccupés de conserver leur position. La plupart d’entre eux ont très peur des conclusions.
Conduire une telle mission représente une action fastidieuse et qui prend du temps, puisqu’il faut vérifier manuellement la validité de plus de deux millions de bulletins de vote : autrement dit s’assurer que chaque bulletin comptabilisé dans les résultats électoraux est valide, légal et correspond effectivement au vote d’un citoyen vivant, inscrit sur la liste électorale, et résidant dans l’État. Ensuite, il faut analyser tous les journaux des transactions informatiques des 400 machines de vote. Les résultats devraient être rendus publics courant juin.
Cet audit a des conséquences au-delà de l’Arizona : il provoque déjà un effet domino dans les États-clés dont les résultats sont contestés depuis novembre dernier, à savoir la Géorgie, le Michigan, le Nevada, la Pennsylvanie, le Wisconsin.
L’obstruction se resserre au Michigan
L’avocat constitutionnel Matthew DePerno ne se doutait surement pas qu’en saisissant la justice le 23 novembre dernier, pour solliciter un audit judiciaire électoral du comté d’Antrim dans le Michigan, il subirait la vindicte des représentants de l’État des deux partis, tout comme celle de la secrétaire d’État Jocelyn Benson. Responsable de la conduite des élections, celle-ci persiste en affirmant que les élections de 2020 ont été les plus sûres du pays, alors que l’audit d’Antrim a renversé les résultats du comté en faveur de Trump. L’équipe d’experts en charge de l’audit a mis à jour toutes sortes de fraudes au cours de
leur examen : la chef de bureau a reconnu avoir effacé l’historique des événements sur les machines, l’équipe électorale a acheté 17 modems pour connecter les systèmes de vote au réseau intranet de l’État, pratiquement 100% des électeurs de 65 à 80 ans ont voté, des votes d’électeurs non enregistrés sur les listes ont été comptabilisés tout comme des bulletins par correspondance envoyés à partir d’adresses fictives... Le 13 avril dernier, l’avocat a déposé un recours pour auditer huit autres comtés qui utilisent des machines de vote de différents fabricants y compris l’entreprise Dominion. Le juge a refusé sa motion sur des questions de procédure : une manière de gagner du temps ? Mais l’homme est tenace, et après ces expertises judiciaires des résultats d’Antrim, persuadé que ces machines sont connectées à Internet ou ont la capacité de l’être, ce qui les rend piratables à distance. Il confirme ainsi par une autre voie les découvertes de Mike Lindell exposées dans Absolute Proof. En attendant, M. DePerno attaque Jocelyn Benson pour avoir menti au public quant à
l’intégrité des élections.
Les patriotes se réveillent en Pennsylvanie
La Pennsylvanie qui, on s’en souvient, a été le théâtre de manœuvres nocturnes de camions remplis de bulletins de vote dans la nuit du 3 au 4 novembre 2020, pourrait bien être le prochain État obligé de plonger dans ses caisses de bulletins de vote. D’après Peter Navarro, ancien conseiller spécial de Trump au commerce, et auteur d’un rapport très précis sur les fraudes dans les six États clés, rendu public dès le 17 décembre 2020, plus de 600 000 bulletins seraient frauduleux dans cet état. Le vétéran Sean Parnell a annoncé publiquement son intention de se présenter aux primaires républicaines pour le poste de sénateur vacant en 2022. Après avoir perdu aux élections du Congrès en novembre dernier, ce soutien de Donald Trump, ancien capitaine d’infanterie qui a combattu en Afghanistan demande lui aussi qu’un audit judiciaire complet soit mené en Pennsylvanie pour garantir l’intégrité des élections .
L’audit démarre en Géorgie
Vernon Jones, ancien représentant de la Géorgie au Congrès, a quitté le parti démocrate et soutenu le Président Trump dont il a loué les résultats en matière d’économie et de création d’emplois. Cet africain-américain critique publiquement la violence de BLM et d’Antifa, leurs actions terroristes et le double standard appliqué par les démocrates. Le 19 mai, durant une conférence de presse, il a annoncé sa candidature pour le poste de gouverneur et plaidé pour l’intégrité du processus électoral, exigeant un audit judiciaire complet des bulletins de vote. En Géorgie aussi, Joe Biden l’a remporté avec une très courte marge de 11 779 voix, et les preuves de fraudes se sont amoncelées durant ces derniers mois. Dans le comté de Fulton, comté d’Atlanta le plus densément peuplé de l’État, six employés et managers de bureaux de vote courageux ont témoigné sous serment des irrégularités constatées sur plus de 30 000 bulletins : caisses contenant les bulletins de vote livrées avec des scellés sans signature, bulletins de vote par correspondance non pliés alors qu’ils sont envoyés par la poste, sans oublier ceux imprimés sur un papier différent avec une marque identique cochée pour le choix du candidat Biden qui ressemblent fort à des photocopies...
Suzi Voyles est de ceux-là : licenciée à la suite de son témoignage,
elle affirme publiquement « en plus de vingt ans d’expérience, je n’avais jamais constaté autant d’irrégularités et de bulletins qui ressemblent à des faux ; je ne pouvais pas me taire ». Le commentateur radio John Fredericks explique qu’un juge a ordonné l’analyse d’un échantillon de 950 bulletins de vote par correspondance adressés par des militaires, et la conclusion est sans appel : 950 bulletins en ordre séquentiel et tous pour Joe Biden, résultat statistiquement impossible ! Pour Peter Navarro, la Géorgie est le « cloaque » des fraudes électorales. Il estime le nombre de bulletins illégaux à 400 000, soit plus de 50 fois la marge qui a permis d’élire Biden. Là encore les réactions des officiels s’annoncent violentes. Les républicains au pouvoir, le gouverneur Brian Kemp et le secrétaire d’État Brad Raffensperger, n’ont pas démontré leur soutien à Trump. Le Washington Post a même laissé entendre début janvier que le Président avait fait pression pour trouver des fraudes dans le comté de Fulton.
Le média a dû se rétracter le 16 mars, les propos attribués à Trump étant incorrects, mais manifestement, les autorités n’ont aucune envie que l’on poursuive un audit judiciaire complet des élections, surtout après que Raffensberger a conclu un contrat de 106 Millions de dollars avec Dominion en juillet 2019.
Ce sont les citoyens qui doivent continuer de faire pression pour obtenir la vérité sur ces élections. Ces patriotes tiennent à la démocratie et au respect de leur Constitution, de plus en plus malmenée par ceux qui se sont arrogés le pouvoir, les médias qui les couvrent et les Big Tech qui pratiquent désormais une censure systématique de toute opinion contraire ou défavorable : en ce nouvel âge du scientisme, il faut croire aux résultats des élections comme il faut croire aux vaccins. Certains comme Matt DePerno, Mike Lindell, Sidney Powell devenus des héros malgré eux, prennent des coups pour tenter de rétablir le processus démocratique et l’intégrité des élections. Les preuves s’amoncèlent, mais le système en place s’accroche.
Y parviendront-ils ?