Le 25 mars 2025, une onde de choc a traversé les États-Unis : le Sénat, par 53 voix contre 47, a confirmé la nomination du Dr Jay Bhattacharya comme directeur des National Institutes of Health (NIH). Enfin, une lueur d’espoir dans un système de santé publique gangréné par des décennies de dogmatisme et d’absurdité bureaucratique ! Cette décision n’est pas juste un changement de tête au sommet d’une institution aux 48 milliards de dollars de budget ; c’est une révolution, un retour à une science qui place le patient – et non la maladie – au cœur de ses priorités. Aux USA, la vraie science reprend sa place, et le « monde d’avant » – cet enfer technocratique où l’humain était sacrifié sur l’autel des pathologies – est enfin sur le point de s’effondrer.
Qui est Jay Bhattacharya ? Un homme contre le système
Jay Bhattacharya, médecin et économiste de la santé à Stanford, n’est pas un bureaucrate en costume gris. C’est un combattant, un esprit libre qui a osé défier l’establishment médical quand celui-ci s’est perdu dans une obsession maladive pour la maladie elle-même, oubliant les vies qu’elle était censée protéger. Avec son doctorat en économie et sa formation médicale, il a toujours vu plus loin que les courbes épidémiques : il a compris que la santé, c’est aussi l’éducation des enfants, la stabilité mentale des familles, la survie des petites entreprises. Contrairement à Francis Collins, son prédécesseur, cet apôtre d’une santé publique autoritaire qui ne jurait que par le contrôle et les confinements, Bhattacharya incarne un paradigme où le patient n’est plus un pion dans une guerre contre les microbes, mais un être humain à préserver dans sa globalité.
Le « monde d’avant » : une machine à broyer l’humain et créer des malades
Avant Bhattacharya, le NIH et la santé publique américaine étaient prisonniers d’une logique perverse. On soignait les chiffres, pas les gens. Les confinements aveugles, les vaccins imposés sans discernement, les recherches financées par Big Pharma : tout était orienté vers la glorification de la maladie, transformée en divinité à combattre à tout prix, même au détriment des plus faibles. Les enfants privés d’école, les vieux laissés seuls à crever dans des mouroirs, les travailleurs jetés à la rue – voilà le bilan du règne de Collins et de ses acolytes. La Great Barrington Declaration, portée par Bhattacharya en 2020 avec Kulldorff et Gupta, a été une gifle à ce système : protéger les vulnérables, oui, mais libérer les autres pour vivre, pas pour survivre. Taxé de « fringe scientist » par les pontes du NIH, Bhattacharya a eu le tort d’avoir raison trop tôt. Aujourd’hui, près d’un million de signataires plus tard, cette déclaration est un cri de victoire contre un establishment qui préférait les courbes aux cœurs qui battent.
France-Soir : la voix de la résistance française
En France, un seul média a eu le cran de tendre le micro à Bhattacharya : France-Soir. Pendant que les chaînes mainstream ressassaient la propagande du « monde d’avant », France-Soir donnait la parole à ceux qui, comme lui, Malone, Kennedy Jr., Ron Johnson ou Kulldorff, osaient dire la vérité. Dans ses interviews, Bhattacharya n’a pas mâché ses mots : « la confiance dans la santé publique est au plus bas niveau que j’aie jamais vu », a-t-il martelé. Il a fustigé une liberté d’expression piétinée, « Elle n’a jamais été aussi importante et en danger », dénoncé la propagande Covid révélée par les rapports du HHS, et raconté son calvaire à Stanford, où la liberté académique a été assassinée par les censeurs du consensus : « la liberté académique est morte » disait-il à France-Soir.
Une audition sous haute tension au Sénat : le triomphe de la science
Le 5 mars 2025, lors de son audition au Sénat, Bhattacharya a planté le drapeau de la révolte. Face aux sénateurs, il a promis une science débarrassée des chaînes du politiquement correct : « le débat et la contradiction sont l'essence même de la science », a-t-il lancé, soutenu par Robert F. Kennedy Jr., son allié au HHS. Finies les recherches absurdes sur le gain de fonction, finis les financements opaques aux copains de Big Pharma. Le NIH, sous sa férule, redeviendra une maison pour les patients, pas un laboratoire pour les maladies. Les démocrates, coincés dans leur nostalgie du « monde d’avant », ont bien tenté de le salir, mais la vérité l’a emporté.
Une nomination historique et des défis titanesques
Le 25 mars, sa confirmation a sonné comme un coup de tonnerre. Sur X, les réactions pleuvent : « Une victoire pour la liberté ! » clame @zauberberg188; « La science respire enfin », renchérit @laguiloute.
Évidemment, les dinosaures du vieux système hurlent au scandale, terrifiés à l’idée de perdre leur pouvoir. Mais qu’ils tremblent : Bhattacharya arrive avec un scalpel pour trancher dans le vif des dérives pharmaceutiques, un sujet que Laurent Mucchielli a si bien disséqué comme analysé dans cet article « La délinquance pharmaceutique sous le scalpel ». Face aux coupes budgétaires de Trump et à une population qui ne croit plus en rien, son défi sera colossal. Mais il a déjà prouvé qu’il pouvait tenir tête aux géants.
En France, sa nomination a été saluée par le Pr. Christian Perronne ainsi que par le Pr. Didier Raoult comme une décision de lucidité du Sénat amériain.
Les semaines à venir : un NIH pour le peuple
Dans les prochaines semaines, attendez-vous à du concret : des financements pour les jeunes chercheurs, pas pour les barons installés ; une guerre contre les maladies chroniques, pas contre des chimères virales ; et une transparence totale sur les turpitudes du NIH passé. Avec Kennedy Jr. au HHS, c’est le duo de la renaissance : « Make America Healthy Again » n’est pas un slogan, c’est une mission. Le patient, cet oublié du « monde d’avant », va enfin reprendre sa place. La maladie ? Qu’elle retourne dans l’ombre – elle n’est plus la star.
Bhattacharya au NIH, c’est la science qui renaît, la victoire de l’humain sur la machine. Le vent tourne, et il souffle fort.