"Royal baby 2" : Kate Middleton admise à la maternité, l'accouchement imminent
Le "Royal baby" est en route. Après des semaines d'attente, Kate Middleton est sur le point d'accoucher. La duchesse de Cambridge a été admise ce samedi matin vers 6 heures (7 heures en France) dans l'aile privée du St Mary's Hospital (Londres), où elle s'est rendue en voiture accompagnée de son mari, a précisé le palais princier. Selon Kensington Palace, l'épouse du prince William, était "au premier stade de travail" lorsqu'elle est entrée dans l'hôpital londonien.
La duchesse de Cambridge, qui aurait confectionné une playlist pour faire passer le temps, se trouverait actuellement au 3e étage de la clinique dans la chambre la plus luxueuse, là où elle avait donné naissance à son premier enfant, le 22 juillet 2013. Comme pour la naissance de George, Kate souhaite un accouchement naturel. Pas de péridurale donc, à moins que cela ne soit absolument nécessaire. Pour l'accouchement, elle sera assistée des deux gynécologues de la maison royale, Guy Thorpe-Beeston et Alain Farthing, déjà présent lors de la naissance de son premier enfant.
Alors que la naissance du Royal baby est très attendue depuis une dizaine de jours, de nombreux journalistes ainsi que des fans du couple princier se sont précipités devant la maternité à l'annonce de son admission. Certains y campaient même depuis plusieurs jours.
Mais en ce jour si particulier, c'est sur Twitter qu'il faut avoir les yeux rivés. Le duc et la duchesse, qui ont dit ne pas connaître le sexe du bébé, annonceront la naissance de la petite sœur ou du petit frère du prince George sur les réseaux sociaux. Les journalistes seront informés par le service de presse de la famille royale par mail et quelques minutes plus tard, l'annonce officielle sera faite sur le compte Twitter @KensingtonRoyal. Le sexe et le poids du bébé seront ainsi indiqués ainsi que l'heure exacte de sa naissance.
Mais avant que le monde entier ne soit au courant, la reine Elizabeth II, et les deux familles respectives seront les premières informées de l'heureux événement.
À LIRE AUSSI
L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.
Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.
Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.
Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.