Valérie Trierweiler : un rappel à l'ordre pour avoir giflé un homme
Valérie Trierweiler peut s'estimer chanceuse. L'ex-première dame, a reçu un simple courrier de rappel à la loi dans l'affaire de la gifle du 11 mars dernier. Ce jour-là, la journaliste avait été apostrophée par un homme, Mohamed Rizki, qui lui avait demandé, dans un café du XVème arrondissement de Paris, comment allait François Hollande. Face à son refus de lui présenter des excuses, Valérie Trierweiler, auteur du best-seller Merci pour ce moment, était alors sortie de ses gonds, le giflant.
"J’étais attablé à une terrasse de café avec un ami dans le XVe arrondissement. Il était aux alentours de 14h30. J’ai vu arriver Mme Valérie Trierweiler vers nous. Je lui ai simplement demandé: +Comment va François?+ Honnêtement, c’était une simple question, sans arrière-pensée", avait-il déclaré au Parisien après l'altercation.
La victime, âgée de 33 ans, avait donc porté plainte pour coups et blessures, avant que Valérie Trierweiler soit convoquée au commissariat pour donner sa version des faits. Très en colère après les révélations de l'incident, l'ex-première Dame avait tweeté: "Un seul mot #stopalamuflerie".
Malheureusement pour la victime, l'ancienne première dame, séparée de François Hollande depuis janvier 2014, n'aura pas à s'expliquer devant un tribunal. L'affaire a ainsi été classée sans suite par le Parquet de Paris.
Diplômé de l'Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ) et de l'Ecole de guerre économique (EGE), l'ex-candidat UMP Mohamed Rizki, avait reçu une médaille pour avoir sauvé la vie d'un homme des flammes d'un incendie remontant à 2005.
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