"Mad Max : Fury Road" : faites chauffer les moteurs (VIDEO)
©Warner Bros/TwitterA moins de dix jours de sa sortie en salle, le 14 mai prochain, la pression monte autour de Mad Max: Fury Road, et pour cause. Ce quatrième épisode de la saga, qui arrive 30 ans après le dernier Mad Max, réunit tous les ingrédients pour faire bouillir d'impatience les cinéphiles.
D'abord il s'agit de la suite d'un grand classique, le premier Mad Max de 1979 avait lancé la carrière de Mel Gibson. Et de Star Wars à Jurassic Park en passant par Terminator, on sait que les suites des grandes sagas sont à la mode. En prime, c'est l'Australien George Miller, le père des trois premiers films qui réalise ce quatrième. De quoi rassurer ceux qui craindraient que Max perde son âme.
Autre argument: le spectacle. Mad Max: Fury Road devrait mériter son nom, à en croire les premières images diffusées. Explosions, tempêtes de sable, courses-poursuites et fusillades à gogo: au moins le spectateur est assuré de ne pas s'endormir.
Mais le film ne devrait pas se contenter d'effets spéciaux. La boule à zéro de Charlize Theron et ses quelques répliques dans les bandes-annonces suscitent déjà l'intérêt. On a également hâte de voir la performance de Nicholas Hoult, complètement déjanté sous son maquillage dans les premiers extraits. Enfin, il appartiendra à Tom Hardy de créer un nouveau Max, après Mel Gibson.
Surfant sur l'impatiente des fans, la production a dévoilé lundi 4 mai pas moins de six nouveaux extraits d'environ une minute chacun. On y retrouve aussi bien des dialogues que de l'action ou du suspense, au risque de se spoiler. Un jeu a même été mis en ligne pour permettre aux internautes de gagner des lots. Dans le décor post-apocalyptique du film, les joueurs doivent traverser le désert le plus vite possible en évitant les pièges et l'impitoyable secte d’Immortan Joe.
Le film sera présenté hors compétition lors du prochain Festival de Cannes.
(Voir ci-dessous la bande-annonce de "Mad Max: Fury Road"):
À LIRE AUSSI
L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.
Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.
Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.
Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.
Tous les vendredis, recevez la newsletter hebdo de France-Soir
