Victoire de Macron : le fils de Trierweiler se moque d'Hollande et de Royal sur Twitter

Peu après l'annonce de la victoire d'Emmanuel Macron, le fils de Valérie Trierweiler a commenté son élection avec une certaine ironie. Dans une série de tweets publiés dimanche sur Twitter, le jeune homme de 20 ans s'est moqué de son ex-beau père, François Hollande, mais aussi de Ségolène Royal.

La victoire d'Emmanuel Macron a fait réagir des milliers de personnes sur les réseaux sociaux. Et parmi les tweets postés lors du second tour de l'élection présidentielle dimanche 7 se trouve celui de Léonard, le fils de Valérie Trierweiler. Agé de 20 ans, le jeune garçon n'a pas la langue dans sa poche et n'a pas hésité à tacler Ségolène Royal, l'ancienne compagne de François Hollande.

Présente à la soirée électorale sur France 2, la ministre de l'Ecologie était accompagnée de François Bayrou et Gérard Collomb. Et tous les trois, soutiens de Macron, n'ont pas cessé de féliciter la victoire du candidat d'En Marche, ce qui n'a pas manqué de faire rire Léonard Trierweiler. Car jusqu'à présent, Emmanuel Macron a toujours appelé à "un renouvellement de la classe politique". Il en a d'ailleurs fait l'un des axes forts de sa campagne. C'est donc avec une certaine ironie que le jeune homme a commenté la scène. "Le changement c'est maintenant…", a-t-il écrit en légende de sa capture d'écran.

Le changement c'est maintenant... #Presidentielle2017 pic.twitter.com/i5VzjfmTjs

— Léonard Trierweiler (@trierweiler3) 7 mai 2017

Très actif sur les réseaux sociaux, Léonard Trierweiler avait déjà, le matin-même, tweeté le même message avec une photo de sa carte d'électeur. Une façon de tacler son ex-beau père, François Hollande, qui avait quitté sa mère quelques années plus tôt pour se mettre avec Julie Gayet.

Et ce n'est pas la première fois ces dernières semaines que l'apprenti cuisinier fait parler de lui. Début février dernier, il avait posté un message sur son compte Twitter en pleine conférence de presse de François Fillon. Avec second degré, il s'était adressé à Pénélope Fillon, soupçonnée d'avoir bénéficié d'emplois fictifs. "Courage à Péné­lope qui n'a pas démé­rité, qui se bat aux côtés de son mari depuis tant d'années dans un enga­ge­ment désin­té­ressé" avait-il écrit sur le réseau social suivi du hashtag "Ou presque".