Claude François détestait Johnny, et c'était réciproque (vidéo)
De nos jours, il y a Katy Perry et Taylor Swift, ou Kim Kardashian et Beyoncé, qui se haïssent publiquement. A une autre époque, les célébrités rivales se détestaient tout autant, mais savaient rester un peu plus discrètes.
En France par exemple, dans les années 70, Johnny Hallyday et Claude François se disputaient le cœur des Français, et ne s'appréciaient vraiment pas du tout. Mais ils n'ont jamais exposé leur haine face caméra.
Michel Drucker, grand ami de Johnny Hallyday, a révélé dimanche 21 dans Les enfants de télé que les deux chanteurs "se détestaient vraiment".
Lire aussi: Moix fustige la présence de certaines personnalités aux obsèques de Johnny
Pendant la diffusion d'un extrait d'une vieille émission, où l'on pouvait voir le présentateur de Vivement dimanche prochain demander à Claude François de chanter un extrait de Johnny Hallyday -Les portes du pénitencier- Michel Drucker a ainsi confié à sa voisine de plateau (l'actrice Mélanie Doutey): "Regarde comme ça l’emmerde".
Lire aussi: Johnny Hallyday - Tom Hanks "fasciné" par l'artiste
Sur cette séquence, Claude François est visiblement fortement ennuyé de devoir reprendre face caméra un tube de son ennemi juré. Après un refus poli, il se plie finalement à l'exercice. A contre cœur.
Après l'extrait, Laurent Ruquier a demandé des précisions à Michel Drucker, qui a ainsi expliqué: "Il y avait une telle rivalité entre Johnny et Claude. Ils se détestaient vraiment. (…) Un jour Johnny m'avait dit +Claude François, tu enlèves les claudettes qu'est-ce qu'il reste?+ Ils se surveillaient et s'observaient".
À LIRE AUSSI
L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.
Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.
Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.
Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.