Une censure institutionnalisée
On craignait un attentat. Le seul à s'être produit durant cette sordide cérémonie d'ouverture des J.O., fut celui qui a été perpétré contre le bon goût, l'élégance et la pudeur. En un mot (quatre) la France de naguère. Celle exécrée par un lobby LGBT en constante expansion qui défient l'hétérosexualité comme norme et l'avenir commun. Emmanuel et Brigitte Macron s'en sont faits les figures de proue.
En même temps chantre et chancre. (1) Le grand chantre, précisément. (2) Puisque dans la cathédrale de France où il a mis le feu, c'est lui (Maître du « Champ » de Mars) qui préside au chant du cygne : la mort annoncée des valeurs ancestrales de la France qu'on croyait à tort éternelles, avant l'avènement désormais plus que simplement « En Marche », en place, de leur « Parce que c'est notre projet ! ». D’ailleurs, tel le joueur de flute d'Hamelin, quand il déclare « la République en Marche » il se garde bien de vous dire « dans quel sens ». Celui propre à ses intérêts et ceux d’une caste minoritaire (objectif couvert et non déclaré hormis de manière subliminale) versus l’intérêt général (objectif qu’il déclare, mais qui n’est bien sûr pas effectif).
D'où la censure permanente et féroce au possible, exercée par le pouvoir contre quiconque s'insurge publiquement (et même également en privé, dorénavant) contre cette hégémonie abjecte, car complètement contre-nature. Elle entraine une perte de repères si essentiels aux individus. Repères qui permettent de savoir comment s’orienter vers le bon sens avec l’usage de l’esprit critique longtemps enseigné dans les familles et à l’école. Tout cela a été remplacé par un narratif infantilisant, débilitant, voire suicidaire pour la nation et ses valeurs.
Et, c'est une censure qui a été institutionnalisée au plus haut niveau. (3)
Je parle ici de la censure donc « institutionnalisée » des Jeux olympiques.
Une censure institutionnalisée au plus haut niveau. Cela démontre l'importance de la place de JO et du narratif des jeux dans le dispositif globaliste et macronien pour augmenter le contrôle. L'histoire des droits d'auteur est un faux prétexte, idem que pendant la période covid,… https://t.co/yqw42RXaA9
— Xavier Azalbert ◻ (@xazalbert) July 30, 2024
Officiellement, si le C.I.O. a retiré de son site la vidéo de la cérémonie d'ouverture, c'est, je cite, « pour des raisons de droits d'auteur. »
C'est du pipeau. Un faux prétexte. De la poudre de perlimpinpin.
La réalité est que, comme pendant la période covid, le message ne correspond pas à ce que Youtube appelle « les règles de la communauté. » Leur communauté, pas celle du peuple. Et leurs règles.
Quelles sont-elles ?
Pas les règles de la science - Diable non ! - mais du consensus. Le dogme, délétère et pervers (imposé au peuple captif par la patrie mondialiste), de la vérité de groupe : « The end is near. »
Oui, le vrai rôle des Jeux olympiques est finalement en train de sortir au grand jour.
Et, c'est peut-être cela « la bête de l'événement » qu'Emmanuel Macron nous a annoncée être là.
Du coup, cela risque fort de tanguer dans les prochains jours. Et, copieusement.
Et, je ne vous parle pas encore de la censure que le président a mis en place avec sa trêve olympique, du tout benef pour lui avec les selfies qu'il fait avec les médaillés dont nous saluons les performances sportives et déplorons l'instrumentalisation politique associée.
1) définition de « Chancre » : « Ulcération de muqueuse d'origine vénérienne. » C'est exactement ainsi que la cérémonie d'ouverture décidée par Emmanuel Macron a été vue partout dans le monde, par quiconque est pris de nausées devant la débauche, le vice et la luxure : une ulcération « propre » aux maladies vénériennes, en l'espèce transmissibles à l'homme par la bête. Celle de cet événement dans lequel les observateurs au fait de l'occultisme, ont vu eux en sus toutes les références possibles au culte de Lucifer.
2) définition de « chantre » et de « grand chantre » : « Chantre : celui dont la fonction est de chanter dans les cérémonies religieuses. Grand chantre : maître du chant, préside au chant dans une église, une cathédrale et quelques monastères. »
3) en droit français, « institutionnaliser » signifie donner à quelque chose « la valeur officielle », conférée et encadrée par l'organisme officiel suprême qu'est l'état français, pris en les autorités constitutionnelles françaises créatives de normes, respectivement par des décrets et par des lois, que sont le Gouvernement et le Parlement. Sans oublier le souverain théorique, seulement, hélas, qu'est le peuple français, autorité constitutionnelle qui elle aussi devrait pouvoir édicter des normes, à savoir par la voix du référendum. Mais, malheureusement pour les intérêts, à la fois de la France et de ses habitants, dans la pratique républicaine constante depuis le 4 octobre 1958 (date d'adoption de la Constitution française justement par référendum), le peuple français est rarement consulté s'agissant de cette matière pourtant fondamentale au possible qu'est l'établissement de la norme, puisque c'est la norme qui régit la vie des habitants de la France, et durant toute leur vie. Pire ! Quand le peuple français est consulté par référendum, il arrive qu'ensuite il soit renié, trahi, bafoué. Je fais céans référence à l'adoption du Traité de Lisbonne par le Parlement, députés et sénateurs réunis en Congrès à l'initiative du Gouvernement, 3 ans après que le peuple français a dit « NON » par référendum à cette norme qui concerne l'entièreté de la vie politique, économique, sanitaire, et sociale du pays. Et surtout alors que cette norme qui s'impose au peuple français, l'a complètement dépouillé de la souveraineté que l'article 4 de « sa » Constitution lui confère. Et (là, c'est mon avis), c'est l'application de cette norme qui est responsable de la quasi-totalité des problèmes que la France et ses habitants rencontrent, tout particulièrement depuis qu'Ursula Von der Leyen est la Présidente de la Commission européenne : l'autorité européenne suprême instituée par ce satané traité.
Cette censure démontre l'importance de la place des Jeux olympiques et du narratif qui va avec, dans le dispositif globaliste européen en général, et macronien en particulier, pour ce qui est d'augmenter le contrôle du pouvoir centralisé. Tant sur les peuples européens que sur les ennemis des grandes entreprises (commanditaires de l'adoption du Traité de Lisbonne), que sont les artisans et les petites et moyennes entreprises.
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