Najat Vallaud-Belkacem : le bac est "un événement pour la France entière"
Le début du bac
"Oui, tout est prêt".
"C'est un événement pour la France entière (…). C'est un moment décisif pour les élèves".
"Un bug peut toujours exister mais tout va bien".
Le contrôle continu
"Il y a une part de contrôle continu".
"C'est important d'avoir ce moment de vérité du contrôle final".
Le coût du bac
"On estime que c'est 80 euros par candidat. Ce qui fait 60 millions d'euros pour les frais de déplacement, l'organisation et la rémunération des correcteurs. Ça les vaut, pour une grande nation comme la notre".
"Il y a un sujet, la reconquête du mois de juin qui est important. Avec le nouveau calendrier scolaire on fait en sorte que les cours ne s'arrêtent pas au milieu du mois de juin".
Les correcteurs auraient des consignes d'indulgence sur l'orthographe
"Non, ça fait partie des mythes".
"La société évolue. Oui, ce ne sont pas exactement les mêmes exigences qui sont évaluées aujourd'hui par rapport à il y a cinquante ans. Mais on a d'autres compétences, d'autres exigences qui se sont ajoutées. Je ne peux pas laisser dire que le bac d'aujourd'hui est moins difficile qu'il y a quarante ans, c'est faux".
"Je suis une amoureuse de la langue française, j'adore les dictées et je pense qu'il faut être très vigilant avec le niveau en langue française. C'est pour ça que, dans l'ensemble de la scolarité, je veuille à réintroduire des évaluations en français, à avoir des programmes plus exigeants. Il n'y a pas de doute sur ce sujet".
"L'orthographe est une courtoisie, une politesse".
"Dans tous les lycées de France les 10% des meilleurs bacheliers pourront, grâce à une mesure que nous avons adopté, pourront désormais accéder aux classes préparatoires ou à un certain nombre de grandes écoles. On sait à quel point ces grandes écoles étaient jusqu'à présent homogènes socialement et si l'on veut créer davantage de diversité (dans leur) accès, y compris pour ceux qui n'avaient pas pensé à s'y inscrire, il faut permettre aux élèves qui ont fait preuve de mérite d'y accéder".
La réforme du collège
"Il y avait un débat qui était pour beaucoup assez éloignées des défis de la réforme".
"Aujourd'hui, les interrogations sont de nature professionnelles, portées par les enseignants. Le travail est devant nous pour former, accompagner ces enseignants".
"Il y a des syndicats qui ont dit leur position".
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