Adolf Hitler n'avait qu'un testicule
Adolf Hitler, le chef du régime nazi responsable du plus grand conflit armé de l'humanité et de l'extermination massive de cinq à six millions de Juifs lors de la Seconde Guerre mondiale, n'avait qu'un seul testicule.
C'est ce qu'a révélé le journal allemand Bild, qui cite le professeur Peter Fleischmann, de l’Université d’Erlangen-Nuremberg. Ce dernier serait en effet parvenu à se procurer un rapport médical datant de novembre 1923, l'époque à laquelle Hitler fut arrêté pour son coup d’Etat manqué à Munich et emprisonné à la prison de Landsberg, où il rédigea Mein Kampf.
Si la rumeur disait que le Führer avait perdu un testicule durant la Première guerre mondiale lors de la Bataille de la Somme, il semblerait en fait, qu'il souffrait de "cryptorchidie du côté droit", l'absence de son testicule dans sa bourse. En d'autres termes, le testicule droit d'Hitler ne serait jamais descendu au cours de sa croissance. Le docteur de l'établissement pénitencier Josef Steiner Brin nota cependant qu'hormis cette affection, "Adolf Hitler, artiste, récemment auteur", était"en bonne santé et bien portant".
Ces déclarations, retrouvées à l'occasion d'une vente aux enchères en 2010, viennent contredire celles du médecin traitant du dictateur qui affirmait, en 1943, que ses parties génitales étaient "complètement normales".
À LIRE AUSSI
L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.
Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.
Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.
Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.