Un violeur zoophile jugé pour avoir imposé des relations sexuelles à un bœuf

Auteur(s)
La rédaction de FranceSoir.fr
Publié le 19 juillet 2017 - 19:42
Image
Après quatorze ans d'embargo, la Chine ouvre officiellement ses portes au boeuf américain
Crédits
© DANIEL GARCIA / AFP/Archives
Le pervers violentait l'animal directement dans son étable.
© DANIEL GARCIA / AFP/Archives
Un homme a été jugé lundi en Suisse pour des faits particulièrement sordides: il est accusé d'avoir violé à trois reprises un bœuf dans son étable, sans pouvoir réellement expliquer son geste.

C'est un fait divers particulièrement pervers et sordide que devra juger le tribunal du district de See-Gaster, dans le canton de Saint-Gall en Suisse (nord-est du pays). Un individu d'une soixantaine d'années est en effet poursuivi pour actes de cruauté sur un animal. Il est soupçonné d'être rentré par effraction dans une étable et d'avoir violé un bœuf. L'audience s'est tenue lundi 17, rapporte la presse locale.

En tout, l'homme est soupçonné d'avoir perpétré ces actes odieux à trois reprises, toujours sur le même animal. L'accusé, qui reconnaît les faits, explique qu'il a choisi cette victime en particulier car le bovin restait immobile.

Le violeur zoophile a été identifié par le paysan qui, constatant que des objets de son étable avaient été déplacés, a fait installer un système de vidéosurveillance. Il n'imaginait sans doute pas la nature des faits que les images allaient révéler.

Détail insolite qui laisse imaginer le déroulé des actes, un panier de commissions a été découvert dans l'étable. Devant ses juges, l'homme a expliqué utiliser l'objet pour avoir "la bonne hauteur" lorsqu'il se positionnait derrière l'animal pour lui faire subir les différents outrages.

"Je m'excuse pour ce que j'ai fait. Je ne peux pas m'expliquer comment j'en suis arrivé là" a déclaré le sexagénaire pour tenter de justifier ses actes. Une déclaration étrange qui met d'ailleurs a mal son système de défense, puisque son avocat essayait justement de plaider le bénéfice du doute, affirmant que la mauvaise qualité des images ne permettait pas de confondre avec certitude son client.

Le tribunal rendra son verdict ultérieurement. L'homme encourt une peine de 12.500 francs suisses d'amende, soit 11.360 euros. En France, il aurait encouru jusqu'à deux ans d'emprisonnement.

À LIRE AUSSI

Image
Une allégorie de la Justice.
Corse : zoophile et pédophile, le grand-père se "réjouissait" de la naissance à venir de son petit-fils
Un quinquagénaire résidant à Bastia a été condamné pour détention de photos pédophiles et zoophiles. Il s'est également masturbé devant sa petite-fille, et expliquait ...
10 juin 2017 - 16:04
Société
Image
Un chaton à l'entrée d'un temple bouddhiste dans la banlieue de Shanghai, le 3 décembre 2015
Draguignan : une "bande de jeunes" torture à mort un chat et lui arrache les yeux par pure cruauté, des témoins décrivent un "supplice"
On aurait peine à imaginer le supplice qu'a vécu le malheureux animal. Un chat apprivoisé est tombé entre mardi et mercredi dans les mains de barbares qui lui ont fait...
01 juin 2017 - 10:16
Société

L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.

Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement  car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.

Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.

Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.

Je fais un don à France-Soir

Les dessins d'ARA

Soutenez l'indépendance de FS

Faites un don

Nous n'avons pas pu confirmer votre inscription.
Votre inscription à la Newsletter hebdomadaire de France-Soir est confirmée.

La newsletter France-Soir

En vous inscrivant, vous autorisez France-Soir à vous contacter par e-mail.