Le microbiologiste Sucharit Bhakdi alerte sur les conséquences potentiellement dévastatrices de l'utilisation de bactéries dans la production des vaccins Covid-19 à ARNm
SANTE - Le Dr. Sucharit Bhakdi, médecin spécialiste en infectiologie et microbiologiste, a acquis une expérience significative en tant qu'enseignant-chercheur, notamment au prestigieux Max Planck Institute, avant de prendre sa retraite. Sa carrière a été marquée par un engagement constant pour l'éthique médicale, et il s'est fait connaître pour ses positions critiques sur la gestion de la crise sanitaire liée au Covid-19. Lors d'un discours au Parlement allemand le 12 novembre, le Dr. Bhakdi a remis en question le principe d’approbation des vaccins, soulignant que l'utilisation de chromosomes bactériens dans les injections n'a jamais été testée.
Selon lui, les autorités réglementaires telles que l'Agence européenne des médicaments et la FDA américaine ont approuvé ces vaccins sans avoir réalisé les tests adéquats. Il a évoqué le risque potentiel de "crime médical gigantesque" lié à la vaccination de masse.
Le microbiologiste explique que l'administration de vaccins à ARNm utilisant des chromosomes bactériens déclenche d'innombrables attaques immunitaires qui persistent jusqu'à la fin de la production de la protéine étrangère. Il a souligné une "découverte alarmante" montrant la présence persistante de protéines Spike dans les fluides biologiques six mois après la vaccination.
Dans le processus de fabrication des vaccins à partir de bactéries, il est impératif de retirer les chromosomes bactériens miniatures afin de prévenir toute contamination de l'ADN bactérien. En l'absence de cette mesure, il existe un risque que l'ADN étranger se retrouve à proximité des chromosomes humains, déclenchant ainsi une production ininterrompue de protéines étrangères susceptible de causer des infections prolongées et des dommages aux organes.
Le Dr Bhakdi a souligné les dommages potentiels aux organes, notamment le cœur, incapable de remplacer les cellules mortes, et le cerveau, exposé à divers troubles neurologiques. Des études ont signalé des complications neurologiques chez près d'un tiers des personnes vaccinées.
Il a mis en garde contre les risques sur l'ADN reproductif, soulignant que les séquences d'ADN fragmentées peuvent être incorporées dans l'ADN chromosomique, ce qui peut entraîner des cancers, des troubles du développement et des mutations héréditaires.
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