Cadeaux de Noël aux animaux : Nemo, le chien d'Emmanuel Macron, n'est pas le seul à être gâté
Nemo, le chien du couple Macron, est particulièrement gâté à l'approche de Noël, selon Le Parisien. Le croisé labrador et griffon recevrait même plus de présents que le président de la République lui-même.
Le quotidien cite par exemple, parmi ces cadeaux, plusieurs colliers dont un est destiné à l'identifier au cas où il s'enfuirait. Il y est donc écrit "Je m'appelle Nemo, je vis à l'Elysée".
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Mais si Nemo est gâté pour Noël, ce ne serait pas uniquement en raison de son "rang". Les Français sont en effet nombreux à considérer que leur animal de compagnie, chien ou chat, a lui aussi le droit à un cadeau lors des fêtes.
Ainsi, une enquête réalisée par le comparateur d'assurances Animaux relax.com en septembre dernier montre que 88% des chiens et 85% des chats recevront un cadeau à Noël. Et leurs maîtres sont aussi prêts à mettre en scène ce moment puisque les animaux seront très nombreux (82% pour les chiens et 73% pour les chats) à découvrir leur cadeau au pied du sapin.
Les paquets ne devraient cependant pas être trop gros, les Français restant assez économes lorsqu'il s'agit de gâter leurs animaux, selon l'étude. Ainsi la majorité des chiens et chats qui recevront un cadeau de leur maître (respectivement 47% et 48%) devront se contenter d'une babiole à moins de 5 euros. Moins d'un tiers recevront un présent entre 5 euros et 15 euros. Mais 24% des chiens et 20% des chats seront tout de même comblés avec un cadeau de plus de 15 euros.
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Le plus souvent il s'agit simplement d'une friandise. Viennent ensuite les niches, paniers ou arbres à chat et enfin les jouets.
A noter que si les Français aiment gâter leurs compagnon à quatre pattes à Noël, ils sont majoritairement contre le fait d'offrir un animal. Ainsi, 58% d'entre justifient cette opinion par le fait qu'un animal "n'est pas un objet", 27% qu'il s'agit d'un engagement auquel il faut réfléchir, 18% trouvent cela tout simplement "aberrant", et 12% qu'un tel choix peut favoriser l'abandon.
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