Clap de fin

Oui. Ça y est : les jeux du cirque sont enfin terminés. J'entends par là tout le cirque qui a été fait autour des Jeux olympiques, par la macronie en général, et par Emmanuel Macron en particulier. Jupiter 1er, le grand architecte de cette mascarade qui continue encore et encore. L'opération de communication démagogique qu'il a orchestrée à cette occasion. L'accaparement permanent et outrancier de l'événement « J.O. » en une forme de censure institutionnalisée « pour et par » sa petite personne. Toujours là, il fut, à s'afficher en embrassades obscènes avec les vainqueurs, et en moments de réconfort infantilisant des vaincus (eux aussi scénarisés, ultra-propagandistes dans un but de s’accaparer ce moment de gloire), par une « câlinothérapie » condescendante et pareillement dégradante au possible pour la fonction de président de la République, et pour une image de la France déjà copieusement dégradée, salie, défigurée par le contenu woke de cette salsa du démon, pathétique, insane et vulgaire, de la cérémonie d'ouverture.

En outre, vu les attentions totalement à l'opposé dont le mari de Brigitte a fait montre depuis 7 ans   envers les Français (citoyens lambda qu'il s'emploie à « emmerder » dans tous les domaines, et cela qu'ils aient ou non cédé à l'escroquerie intellectuelle, sanitaire et financière de la vaccination « anti-covid »), ces cajoleries publiques grotesques qu'il a imposées aux athlètes français vedettes durant ces jeux olympiques, sont une insulte faite aux Français que sa politique a mis sur la paille. Une de plus. Un crachat à la face immonde, malheureusement très bien illustré par ce dessin de Sié (@sie_dessine).

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— Sié (@sie_dessine) August 3, 2024

En effet, bien que, certes, dans la cérémonie de clôture, Thomas Jolly nous a fait grâce des scènes concupiscentes à tendance sodomite revendiquée (avec des Drag-queen, travestis et autres iel mâles affichant fièrement leur homosexualité), dont la cérémonie d'ouverture, de dilatation, donc, plutôt, était truffée, débordante à vomir, qui est-ce qui va l'avoir une nouvelle fois et encore plus profond dans l'os (le coccyx en l'occurrence), maintenant que les jeux olympiques sont terminés ? Les Français de base. Les 40 millions de Français qui déjà, avant les J.O., avaient du mal à boucler leurs fins de mois, et les 8 millions de Français qui n'y arrivent déjà plus, au terme (série en cours) de ces sept années de gouvernance du « Président des riches ». Des « ultrariches », plus exactement. Les patrons du CAC40 (et propriétaires des médias mainstream) qui l'ont mis en place à l’Élysée, pour opérer le transfert de richesses en cours d'achèvement auquel « Robin des Riches » s'emploie sans relâche, avec méthodologie et méticulosité : voler aux pauvres pour donner aux riches. Paris 2024 devait être les jeux de l’inclusion, enfin, c'est ce qui était annoncé, cependant, la clôture s’est passée comme si les JO handicapés n’allaient pas avoir lieu.  Rangés au rang des absents. Avec un nouvel accaparement d’éléments de langage pour l’as de la récupération et communication qui aura bien réussi à imposer une trêve à ses opposants politiques.  Bien sûr, tout le monde est tombé dans le panneau. La France aura réussi à briller par sa cinquième place aux tableaux des médailles, derrière la petite Australie, sans que personne ne s'interroge sur les règles antidopages qui s'appliquent à " géométrie variable à certains athlètes " dans ce qui n'est qu'un secret de polichinelle. J'en reparlerai prochainement.  

Le cirque habituel va reprendre. Le show politique parfaitement huilé, cynique et « vil » (parce que détruire la France, c'est cela son « Parce que c'est notre projet ! ») auquel Emmanuel Macron convie de force 68 millions de spectateurs : les 68 millions de Français que nous sommes, qui assistons impuissants à la dégénérescence en tous points de la France. Et nous sommes d'autant plus les lésés, dans ce jeu de bonneteau auquel il se livre à nos dépens, depuis la dissolution de l'Assemblée nationale, les élections législatives anticipées qui ont suivi, ayant abouti à une impossibilité d'avoir un gouvernement qui ne sera pas renversé à coup sûr par une motion de censure.

Cette impossibilité permet à Emmanuel Macron de diriger illégalement le pays lui-même, tout seul. Ceci sans avoir de comptes à rendre à personne, ni politiquement ni devant un tribunal, ses amis du Conseil constitutionnel l'autorisant, par leur inaction et leur silence coupables (2), à violer ouvertement la Constitution ; à savoir par violation de son article 5, celui-ci imposant au président de la République d'assurer « le fonctionnement régulier des pouvoirs publics. »

Car, c'est précisément l'inverse que fait Emmanuel Macron.

Et par ces jeux, qu'il avait déclaré ne pas vouloir politiser, Emmanuel Macron a aussi fait exactement l'inverse, en s'accaparant un des derniers espaces de liberté offert par le sport. Politiquement parlant, il ne restait plus que cet espace depuis le moment où on l'avait vu au Qatar dans un état qui en avait choqué plus d'un, donnant une piètre image de la France.

1) ne vous risquez pas à lui dire (calquée sur la définition de « zoophilie »), que « l'haltérophilie » est une « Déviation sexuelle poussant à avoir des rapports sexuels avec des poids et haltères », mademoiselle risquerait de s'énerver. Et attention ! Quand elle s'énerve, elle doit envoyer du lourd. J'en veux pour preuve les performances énormes qui lui ont permis de décrocher la médaille d'or : 136 kg à l'arraché, et 173 kg à l'épaulé-jeté. Et elle était on ne peut plus calme quand elle a fait ça. Donc, imaginez ce que ça peut donner quand elle est en colère. Non-suicidaire s'abstenir !

2) ils ont fait un « A.V.C. » : un Arrêt Volontaire de Constitutionnalité. Je reviendrai sur le sujet dans un prochain édito.