Après l’élimination des vieux dans les Ehpad, le massacre des innocents et la fabrication de « Frankenstein »

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Nicole Delépine pour FranceSoir
Publié le 14 août 2020 - 12:16
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Loi bioéthique
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Un scandale de plus, le vote en catimini en 2 ième lecture de la loi bioéthique au parlement un 1er aout à 3 H du matin

Devinez quelle a été l’urgence parlementaire de cette fin de juillet pendant que le gouvernement alimentait le mythe de la deuxième vague Covid19 à coups de mensonges itératifs[1] et bâillonnait la population en la masquant[2] ?

La légalisation de la Procréation Médicalement Assistée pour les couples lesbiens était le paravent de cette loi soi-disant attendue par les français (combien ?). Mais derrière ce sujet déjà clivant, se cachent des choses beaucoup plus graves, telles que l’autorisation de fabrication de chimères homme-animal à partir d’embryons humains sacrifiés et plus globalement la marchandisation du corps humain qui ouvre la voie vers la création en éprouvette d’être sans origine, sans âme. Au passage un cavalier législatif introduit dans la loi dite de Bioéthique l’avortement jusqu’au 9ème mois de grossesse.

La commission spéciale chargée de ce projet de loi a réintroduit des mesures supprimées par les sénateurs lors de leur première lecture. Votées pour l’essentiel en deuxième lecture, elles devront être revues par le sénat puis par l’assemblée nationale après concertation entre les deux chambres. Les opposants à cette loi ont encore quelques mois pour se faire entendre, mais l’ensemble de la situation tant politique qu’économique laisse craindre que la population ait d’autres chats apparemment plus urgents à fouetter.

 

 RETOUR AU TEXTE INITIAL QUI EFFACE LE TRAVAIL DU SENAT

"On revient au texte initial", assume le rapporteur, député LREM Jean-Louis Touraine. L'examen du texte en deuxième lecture et en séance plénière par l'Assemblée nationale, qui devait commencer début juillet, a été repoussé à cause de remaniement gouvernemental. Le texte a fait son retour devant les députés à partir du lundi 27 juillet, avant une trêve estivale.

Le Sénat s'était prononcé, in extremis en février, en faveur de l'ouverture de la PMA aux lesbiennes et aux femmes célibataires, après avoir expurgé le projet de loi d'une partie de ses mesures emblématiques. La commission spéciale de l'Assemblée nationale s'est attelée à réintroduire des mesures supprimées par les sénateurs. Voici les principales mesures restaurées ou ajoutées par les députés de cette commission.

 

La filiation par déclaration anticipée

La commission bioéthique a rétabli la filiation par déclaration d'intention devant notaire. Si cette disposition est votée en l'état définitivement en 2021, les femmes qui ne porteront pas l'enfant au sein d'un couple lesbien pourront, avant la naissance, faire une déclaration anticipée devant un notaire afin d'être reconnue comme la mère de l'enfant dès sa naissance.

La filiation sera établie pour la femme qui a accouché via sa désignation dans l'acte de naissance, et celle qui n'a pas porté le bébé par la reconnaissance conjointe. Cette réforme, votée en deuxième lecture par 62 voix contre 15, découle de l'ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires. Les couples de femmes devront passer par une reconnaissance anticipée de l'enfant devant notaire, comme peuvent le faire les couples hétérosexuels non mariés.

Des élus LR ou UDI se sont émus d'une "véritable révolution des droits de la filiation", cassant "le lien avec la vraisemblance biologique", Annie Genevard (LR) reprochant au gouvernement d'être "obsédé" par l'idée d'égalité. Notons que ce principe d’égalité oublie les droits de l’enfant, objet et non sujet de cette loi.

 

La PMA remboursée par la Sécurité sociale

Transforme une technique médicale en instrument social du droit à l’enfant

L'Assemblée nationale a validé à nouveau la délicate réforme de la filiation liée à l'ouverture de la PMA pour toutes les femmes, la droite dénonçant un "bouleversement en profondeur" résultant d'un "bricolage". C'est l'une des modifications du Sénat les plus critiquées par les partisans mêmes de la loi de bioéthique. Les députés de la commission spéciale ont restauré les dispositions ouvrant droit au remboursement de la PMA. Les sénateurs avaient réservé ce remboursement aux seuls cas d'infertilité. N'auraient donc pu être remboursées de leur parcours de PMA que les personnes ayant été formellement diagnostiquées infertiles. Elle excluait donc les couples de femmes et les femmes seules ne souffrant pas d'infertilité.

 

Cette décision appliquait l’esprit des fondateurs de la sécurité sociale en réservant les remboursements aux traitements des maladies. Il est invraisemblable qu’en période de déficit chronique de la sécurité sociale entraînant de plus en plus de déremboursement, on augmente ses charges pour satisfaire des désirs sans rapport avec des problèmes médicaux.

 

Le don d'ovocyte au sein d'un couple lesbien

 Le don dirigé d’ovocyte pour sa conjointe aussi appelé ROPA avait été écarté en première lecture. Cette méthode, dite Ropa (pour "Réception d'ovocytes de la partenaire") permet de prélever les ovocytes d'une femme et de déclencher la grossesse dans l'utérus de sa compagne. Elle a été votée par la commission, qu'il y ait, ou non, infertilité de l'une ou l'autre des femmes du couple.

 Cette proposition avait suscité de vifs débats, la ministre de la Santé l'assimilant à une procédure de gestation pour autrui (GPA) déguisée. Le gouvernement y reste "défavorable" a rappelé son successeur, Olivier Véran, le 10 juillet. La technique implique "une stimulation hormonale et des ponctions d'ovocytes qui ne sont pas des gestes neutres, à une femme qui n'en relève pas forcément", qui ne souffre pas elle-même de problèmes de fertilité, a-t-il déclaré. Sur un "sujet complexe, c'est la santé qui doit primer".

 

 

Cette mesure dite sociétale aura des conséquences médicales lourdes mais satisfait des supermarchés juteux.

Faire porter aux deux femmes lesbiennes un enfant par chacune des deux à son tour ! Immense danger médical pour les deux et pour le futur bébé.

Cette mesure dite ROPA acronyme incompréhensible sort du chapeau et personne n’en a entendu parler précédemment. Sans indication médicale évidemment. On prend l’ovocyte fécondé d’une des deux femmes, porté par l’une. On l’extrait pour le réimplanter quelque temps plus tard chez l’autre partenaire.

On montre qu’on est sans limites, qu’on manipule tous les couples de lesbiennes en faisant croire qu’on peut faire ce genre de pratiques extrêmement lourdes sur les deux femmes et l’enfant à venir. Chocs d’injections hormonales pour l’une comme pour l’autre à haut risque qui parfois arrivent au décès. La folie n’a plus de limites. L’enfant s’il nait ne saura jamais quelle est vraiment sa mère.

 

L'élargissement du diagnostic pré-implantatoire

Le diagnostic pré-implantatoire (DPI) est actuellement réservé aux couples qui ont "une forte probabilité de donner naissance à un enfant atteint d'une maladie génétique d'une particulière gravité reconnue comme incurable". Il permet de sélectionner des embryons non-porteurs de la mutation mise en cause, pour éviter la naissance d'un enfant atteint. La commission s'est prononcée en faveur de l'extension de ce diagnostic à la recherche du nombre de chromosomes, afin de repérer les éventuels cas de trisomie lors de l'implantation d'un embryon conçu par PMA.

"Il s'agit, en pratique, d'éviter aux femmes ayant recours à la PMA, qui est une procédure assez lourde, de découvrir après l'implantation de l'embryon que leur enfant est atteint de trisomie", explique Jean-Louis Touraine. Une mesure d'autant plus légitime, pour le député, que le dépistage de la trisomie est autorisé quelques semaines plus tard, pendant la grossesse. Mais cette mesure suscite beaucoup de protestations chez les parents de trisomiques et également chez les trisomiques adultes qui multiplient les vidéos pour dire qu’on peut être trisomiques, heureux et avoir le droit de vivre. On atteint ici les limites dangereuses de l’eugénisme d’autant que de nombreuses futures mamans subissent de lourdes pressions pour accepter l’avortement qui n’est plus un droit, une exception mais devient une norme.

 

 Le bébé médicament validé

Le projet de loi amendé par la commission a également autorisé et renforcé le recours à un autre type de diagnostic pré-implantatoire, dit DPI-HLA. Cette méthode permet aux parents d'un enfant malade de choisir, lors de la conception d'un deuxième enfant par PMA, l'embryon porteur de cellules-souches capables de soigner leur aîné. Une technique dite du "bébé médicament".

Les députés ont permis qu'une deuxième série d'embryons soit créée, lorsqu'aucun embryon de la première série ne permet la récolte de cellules-souches susceptibles de soigner l'enfant malade. Quant à l’avenir psychologique de l’enfant médicament devenu adulte, personne ne semble s’en soucier.

 

Une meilleure protection des enfants intersexes

 La commission a réinscrit dans la loi les dispositions qui demandent que les enfants dits "intersexes", c'est-à-dire nés avec des variations sexuelles des deux sexes, soient reçus et examinés dans des centres spécialisés dans ce domaine. "Il s'agit d'éviter les abus d'opération, les opérations précoces", explique le député LREM.

Il existe en France quatre centres de référence sur la question des enfants nés intersexes. Les députés ont estimé qu'en confiant les diagnostics à ces instituts, les parents des enfants se trouvant dans cette situation seront prévenus des conséquences réelles d'une opération d'assignation sexuelle. "Il peut y avoir des conséquences graves à faire des opérations irréversibles de façon prématurée. Si les parents ou les médecins décident d’un changement de sexe trop tôt, dans une grande partie des cas, ils se trompent et l'enfant ne s'identifiera pas au sexe choisi pour lui", prévient Jean-Louis Touraine. Il nous semble que cet article soit le moins contestable de cette loi.

 

Droit à l'enfant, cellules souches

A ces mesures s'ajoutent la suppression d'un nouvel article 1er rédigé par le Sénat, qui précisait que "personne n'a de droit à l'enfant".  Cette suppression est fort symbolique de la place de l’enfant dans l’ensemble de ces réflexions et c’est le plus grave.

 

Les chimères commerciales

Cette loi autorise des aberrations inhumaines que 99 % des français ne peuvent même pas imaginer.

« L 'article 17 du projet de loi bioéthique autorise la création de Chimères ...les députés LRM vont voter ce texte en douce... Il ouvre la porte aux apprentis sorciers qui vont pouvoir mêler nos gènes avec ceux des cochons, des rats, et des singes. La planète des Singes en live ! Dit @OSTERElizabeth1. Il autorise l'expérimentation sur les cellules souches humaines et animales mélangées.

L’encadrement strict de la recherche embryonnaire a également été sacrifié sur l’autel du scientisme et de l’éthique « low cost » d’une gauche libertarienne qui a pris le pas sur la raison gouvernementale, affirmée la main sur le cœur en première lecture » selon un groupe de députés contestataires. (Tribune du figaro du 22 06).

Cette loi institutionnalise le marché du corps vivant en pièces détachées et de l’embryon.  Le nom de bioéthique n’a plus de sens dans cette négation de l’être vivant, cette néantisation de l’embryon et marchandisation accélérée du corps. Le but est de fabriquer et de vendre évidemment des organes de remplacement pour les riches milliardaires, pendant que de plus en plus de pauvres sur la planète mourront de faim. Un énorme marché mondial.

 Ces expérimentations ne sont plus réservées aux services publics, aux universités. N’importe qui est habilité à faire toute expérience sur l’embryon humain, ce qui le tue évidemment. 150000 embryons congelés non réclamés, dont personne ne se sert, sont donc utilisables pour les expériences par n’importe qui. 

 

Folie vaccinale, folie marchande, répétons-le, tout pour la Bourse

Mise en garde explicite contre la marchandisation de l’embryon. Ecoutez la vidéo exceptionnelle d’un médecin honnête Alexandra Cause-Henrion nous parle de la loi bioéthique https://youtu.be/tH6qwnxk2lE : « Loi de Bioéthique Sont-ils devenus fous ? » A Caude-Henrion

Le début de cette vidéo pose le problème.  L’écrit des sénateurs : « nul n’a le droit à l’enfant » a été supprimé : l’urgence a été de faire sauter cette phrase pourtant capitale. Mme Caude- Henrion présente son expérience de la commission à laquelle elle a participé avec beaucoup de déception parce qu’elle en espérait beaucoup et qu’il n’y a pas eu de discussion réelle.

 

 Des prémices de la marchandisation du corps depuis des décennies sur les marchés asiatiques en particulier

 Certes, on avait connu, dans certains pays asiatiques, le marché aux os de rechange en direct [3] puis sur vidéo. Vous voulez celui-ci ? Et le gamin disparaissait mystérieusement. Le marché des reins, des yeux est également bien connu de ceux qui acceptent d’ouvrir leurs oreilles, soit par volontariat du donneur pour quelques roupies, soit par des méthodes plus brutales[4]. Cela, aussi horrible que cela représente sur le respect de la nature humaine, restait à la marge et non reconnu par des « lois ». Cela restait à nos yeux sûrement naïfs, le « privilège de pays » lointains ne se limitant pas au tourisme sexuel bien connu par un ancien ministre au nom célèbre…

La PMA et la GPA représentent un marché bien développé dans des pays proches (Espagne, Pologne) ou plus lointain, mais là aussi le phénomène, interdit en France, restait marginal même si les programmes de télévision visaient à faire croire que c’était le problème des français alors que la plus grande partie de la population est manifestement plus préoccupée à boucler ses fins de mois…

  

Loi de rupture

Seul point sur lequel nous serons d’accord avec le rapporteur JL Touraine, il s’agit effectivement d’un renversement moral, éthique, et social, une rupture brutale avec les principes fondateurs des civilisations monothéistes, le respect de l’Homme et de son humanité, que l’on soit croyant ou non.  Car si les sénateurs n’arrivent pas à corriger le texte en deuxième lecture, et surtout si à nouveau les parlementaires censés représenter leurs électeurs persistent et signent dans la version définitive, nous aurons bien franchi sur le plan législatif une marche dangereuse vers l’eugénismes et le « transhumanisme » revendiqués par quelques individus de « l’élite » au pouvoir.

 

Par cette loi l’embryon humain ne devient qu’une source de cellules à vendre, et à transformer pour mieux vendre. Quel mécanisme politique peut-il conduire à de telles dérives, même pour beaucoup d’argent ? La loi a été votée le 1 er aout par les quelques députés présents. 

Alors oui, ils ont voté, à quelques-uns, dans la torpeur de l’été assombri par des mesures sanitaires iniques[5] et la perspective d’une crise économique supérieure à celle de 1929, ils ont voté des modifications majeures de notre droit et du respect de la personne humaine. Ils ont voté ou se sont cachés, se sont abstenus en restant loin du Parlement, malgré la responsabilité que leur ont donné les français qui les ont élus.  Même opposés, et pensant que leur présence en séance ne changerait rien, ils pouvaient hurler sur les ondes, les députés y arrivent mieux que le français moyen. 

 

Le rôle des masques ? Simple, vous masquez les horreurs votées au Parlement

Les masques imposés par un pouvoir autoritaire seront-ils objet de débat à l’assemblée nationale censée nous représenter ? Non, taisez-vous, vous êtes masqués. La PMA et la marchandisation de l’embryon auront été à l’ordre du jour des discussions avec les députés qui auront bien voulu être présents, c’est-à-dire nettement moins d’une centaine sur 577 !  Les masques sont utilisés pour nous sidérer à nouveau, comme le confinement, et bloquer toute réflexion sur ce qui est en train de se passer dans le silence, en l’absence de toute manifestation en dehors de quelques efforts symboliques de membres de la Manif pour tous et quelques lancers de grappes de ballons blancs.

Le masque nous fait taire, c’est sa fonction réelle[6] et comme dit cette remarquable et courageuse biologiste, je ne sais plus si vous me tirez la langue ou si vous me souriez pendant que je vous explique tout cela ».

Néanmoins il faut réagir à cette loi si peu « discutée » bien que le mot ait perdu son sens à l’assemblée nationale « en urgence ».[7]

Des juristes pourraient-ils approfondir la légalité de cette dérive pour nous sortir du marasme actuel ?  En tout cas, il est clair que ces nuages de fumée covid alors que l’épidémie est terminée MASQUENT effectivement les monstrueuses évolutions sociétales qu’on voudrait nous imposer depuis cette décennie.

 

Loi dite de bioéthique, « urgence sanitaire » au temps d’Orwell ? 

 Clairement, cette loi n’a rien de « bio » ni d’éthique ! Elle en est tout point son contraire, en bonne représentante de la dictature orwellienne qui se met en place et dans laquelle l’inversion du sens des mots est une astuce classique largement utilisée par nos gouvernants.

Le Pr Jean -Louis Touraine, son rapporteur (comme celui de la loi Touraine avec Olivier Véran) ose dire qu’il s’agit d’une « urgence sanitaire » en pleine crise organisée du Covid19 et obligation de port des masques, interdiction de la chloroquine etc.  [8]

C’est d’après lui, une loi de rupture. C’est ce même rapporteur qui explique sur les médias qu’on portera le masque tant que le fameux vaccin anti-coronavirus ne sera pas injecté à plus de 80 % de la population et pour imposer la vente de deux fois sept milliards de vaccins.  C’est lui aussi qui proclame et répète à plusieurs occasions « qu’avoir un père n’est absolument pas un droit de l’enfant … » Il fallait y penser, le conceptualiser et surtout oser le dire ...


Rappelons que le rapporteur de cette loi dite de bioéthique actuelle était aussi le rapporteur de l’épouvantable loi Touraine votée à vingt députés en fin 2015 avec son co-rapporteur O. Véran, maintenant devenu ministre et toujours en place malgré l’interdiction invraisemblable de la chloroquine[9] et le décret Rivotril. Cette équipe poursuit son œuvre de destruction de l’humain. Ils n’y arriveront pas, mais combien feront-ils de victimes entre-temps ?

 

Cerise sur le gâteau, le cavalier législatif

L'avortement est désormais autorisé pour “détresse psychosociale” jusqu'au terme de la grossesse [10] [11] ,

 Par un amendement adopté, « à la sauvette en pleine nuit à la fin de l’examen du projet de loi bioéthique ». Cet amendement, porté par plusieurs élus socialistes dont le secrétaire général du PS Olivier Faure, autorise en effet l’interruption médicale de grossesse permis pendant neuf mois, pour cause de « détresse psychosociale », un « critère invérifiable ».

Que vont-ils faire de ces enfants parfaitement viables ? Une injection létale de produits via le cordon ombilical semble-t-il…  Trouve-t-on des Mengele si facilement ? il parait que 40 % des médecins allemands des années 30 étaient nazis … On peut se poser des questions en tous cas sur le grand silence qui a suivi ce vote, qui rappelle le silence des soignants après la parution du décret Rivotril permettant l’euthanasie active des ainés dans les EHPAD à la moindre suspicion de signes de Covid…

Et comment une telle loi peut-elle être votée dans ces conditions, à cette date, sans aucun débat public ? Déjà, toutes les décisions liberticides comme le port du masque obligatoire, puis les obligations diverses (vaccination...) sont prises sans même un débat et encore moins un référendum !

Ce sont les infanticides (oui, à 9 mois de grossesse, ce n’est pas un avortement, c’est un infanticide !) décrits dans Ecoscience, ce plan présenté par John P. Holdren, ex-conseiller de la Maison Blanche sur la science et technologie, sous Obama.[12]

Et changer les mots ne changera pas le sens… Protestation des députés favorables, qui ne veulent pas que cet acte abominable soit nommé IVG, mais IMG, interruption médicale de grossesse avec accord médical attestant de la souffrance de la future mère ! Mas ce bébé pensant, bougeant, réagissant aux voix, aux musiques, quelle sera sa souffrance de ne pas pousser ce premier cri dans ce monde sordide qu’il peut rêver encore magnifique ?

Les députés parlent d’égalité à tous bouts de champ, mais considèrent l’enfant comme un simple objet comme le malade cobaye sous essai.  Cinquante ans et plus de formation des pédiatres, gynécologues, psychiatres, et des futures mères à l’importance de la qualité de la vie fœtale pour l’avenir de l’enfant effacés par ce vote, impensable. Tuer un enfant prêt à naitre ne serait-il plus un homicide ?

 

Quelques politiques sauvent l’honneur

Cette loi votée en deuxième lecture au Parlement en ce premier aout à 3 h du matin par de rares députés présents a tout de même suscité quelques réactions qui ont sauvé l’honneur des politiques trop soumis au pouvoir qu’ils soient officiellement de la majorité ou de l’opposition.

« L’accélération de l’examen du projet de loi bioéthique est indécente »

 - Dans une tribune[13] collective publiée le 22/07/2020 dans Le Figaro, quinze députés dénoncent la confiscation par la majorité, de l’indispensable débat politique et parlementaire sur le projet de loi bioéthique :

 « La révision de la loi bioéthique programmée depuis deux ans méritait un débat parlementaire approfondi, un débat transparent et serein, un débat sans passion et sans faux-fuyants. Avec ce projet de loi, nous touchons en effet à l’intime, à la conception de l’être humain, au corps et à la relation si complexe entre technologie, science et progrès. Nous touchons à ce qui constitue chacune et chacun d’entre nous.[14]

 

Fait révélateur de l’attitude plus qu'ambiguë de la majorité sur ce projet de loi : l’annonce par le président de l’Assemblée nationale qu’il n’y aurait pas de vote solennel sur ce texte ! Se contenter d’un vote à main levée au petit matin du samedi 1er août ou durant le week-end en dit long sur l’affront fait au peuple.

 

Le gouvernement et la majorité d’En Marche portent la lourde responsabilité de la confiscation de l’indispensable débat politique et parlementaire. Les députés macronistes ne sont pourtant pas les seuls. Trop peu de voix politiques, scientifiques et intellectuelles se font entendre actuellement pour mettre en garde les apprentis sorciers marcheurs qui nous font courir à la catastrophe éthique et sociétale.

Les choses sont claires malheureusement : l’abaissement des barrières éthiques opéré par le projet de loi ouvrent la porte à la gestation pour autrui, même si les protagonistes du texte s’en défendent. Ainsi, plus qu’un simple déni de démocratie, ce triste épisode représente « un basculement anthropologique majeur où le vouloir et la toute-puissance de la science à visée marchande dominent désormais la réalité humaine ».

Emmanuelle Ménard s’en émeut : « Un hémicycle avec deux députés de la majorité (les autres sont au cocktail donné par le Premier ministre) pour discuter de la loi #bioéthique, prétendument prioritaire et à discuter en plein été ! Quel mépris ! Emmanuelle Ménard » (sur le fil tweeter de Robert Ménard car elle est privée de tweet direct !)

 Elle n’est pas seule à protester dans le vide : la député @brigitte_kuster  conseiller de Paris écrit en direct de l’assemblée nationale le 27 juillet 2020 « discussion de la #loi #bioéthique, reprise de la séance, la majorité gouvernementale est absente de l’hémicycle ! Explication : retenue par un cocktail dans 1 ministère avec @EmmanuelMacron ! #inadmissible et on nous fait siéger en urgence !! De qui se moque-t-on ? #mepris ! »

 La député Sandra Boelle regrette également cette procédure invraisemblable, en urgence, de nuit, fin juillet alors que le premier ministre et le président reçoivent les députés. Ils accumulent les provocations : » Présente séance de nuit débat 2e lecture #projet loi #Bioethique que le gvt veut faire passer en catimini en session extraordinaire avant la fin de la session parlementaire. Seuls 2 députés de la majorité présents lors de la reprise -sans commentaire #DirectAN @Republicains_An »

 

Un régime spécial Parlement

Alors que pour tout conseil d’administration, toute assemblée de copropriété toute association 1901, le vote d’une décision nécessite la présence d’un quorum minimum (la moitié des membres ou les 2/3 selon les statuts), les votes parlementaires, qui régissent l’ensemble des français, ne nécessitent aucune présence minimale des députés (au nombre de 577).

Les salariés qui ne n’honorent pas leur poste de travail ne sont pas payés lors de leurs absence (sauf maladie), et les administrateurs de société sont habituellement rémunérés selon leur nombre de jetons de présence au conseil d’administration. Mais nos députés peuvent, en bons courtisans, aller faire leur révérence au premier ministre et au président au lieu d’assister et de participer aux débats parlementaires tout en étant payés pour un travail qu’ils n’effectuent pas. L’élaboration des lois constitue pourtant leur fonction première, celle pour laquelle ils ont été élus et pour laquelle ils sont (bien) rémunérés.


C’est ainsi que la terrible loi dite de modernisation de la santé de Marisol Touraine fut votée par vingt députés environ, un 17 décembre 2015 alors que l’ensemble des représentants de la nation assistait aux hommages pour les victimes des attentats du 13 novembre. Le président de l’assemblée était sûrement au courant de la tenue de ces cérémonies. Qu’importe la démocratie agonisante depuis si longtemps !

Comme ceux qui ont étudié la loi Touraine ou la subissent au jour le jour, en témoignent, cette loi a modifié considérablement les pratiques médicales et dans le mauvais sens, aggravant les aspects négatifs de la loi Bachelot dite HPST hôpital santé territoire votée en 2009 qui avait créé les néfastes agences régionales de santé dont il faudra reparler.

Une vingtaine de députés et basta.  La santé démantelée livrée officiellement par son article 1 à la bureaucratie. L’état ne se contente plus de contrôler les choix médicaux, il en décide désormais avec toutes les dérives déjà constatées, comme les 11 vaccins obligatoires chez le nourrisson dont l’Hépatite B de transmission purement sanguine et sexuelle. Peu importe, ce ne sont plus des discussions médicales et scientifiques mais bien politiques dictées par les lobbys.

 

Rebelote : la terrible loi dite de bioéthique

 Vu par le ministre O Véran, celui-là même qui a interdit l’usage de la chloroquine aux généralistes et signé le décret Rivotril, et chargé son épouse Coralie Dubost de défendre cette loi au parlement, cette loi est belle !

« Le Ministre de la Santé, à l'AN, déclare "belle" une loi bioéthique qui prive un enfant de père, organise la Ropa, promeut l'eugénisme par le DPI-A et les embryons transgéniques, abolit la frontière entre l'homme et l'animal (chimères) : source de fierté ou cause de scandale ? »[15]

 Elle n’a d’éthique que le nom et a été voté en deuxième lecture, en urgence !

Quoi de plus urgent à discuter avec les députés, quand dans le même temps on prive la France de liberté, on la musèle avec une mascarade de protection plus dangereuse qu’utile, on ralentit la reprise économique en bloquant les acheteurs qui renoncent à se rendre dans les magasins affublés de ce masque qu’ils sentent tout de même inutiles, même si la propagande gouvernementale entretient la peur et menace de sanction. Donc restons chez nous et tant pis pour le commerce !

Bref, en cette très chaude journée de plein été on fait voter les députés (enfin ceux qui restent) en urgence une loi capitale qui si elle est appliquée, modifie gravement le rapport à la vie, à l’enfant.

« Et ce sont les mêmes députés qui se répandent sur les ondes pour dire que "tous les Français attendent cette loi" ! Honte à eux ! » Rejet du #PJLBioéthique ! Non à la #PMAsansPère « tweete un représentant de la manif pour toutes. @lmpt63

 

Des mises en garde en septembre 2019

Déjà en septembre 2019, le sociologue Yves Darcourt Lézat attirait l’attention sur la gravité des modifications projetées de la loi bioéthique, et de l’artificialisation de la reproduction. Il soulignait quelques points importants : le lien social se fragilise. Les lois sur la PMA vont-elles améliorées ce lien ? [16] Quelques exemples cités dans sa vidéo :

 « La mémoire est structurante pour faire société. Casser les traditions de mémoire met en danger le lien social. La PMA rompt le lien social avec le géniteur. Pour la PMA, il ne s’agit pas de procréation naturelle ni médicale, mais d’ouverture de marchés. L’offre stimule la demande. On emballe tout cela sous le nom de progrès. Confusion de la loi et de la conscience.

Tout le monde utilise le mot don. Appliqué à la transmission de la vie, ce mot est fallacieux. Le mot don pour les gamètes gomme les antécédents familiaux. Nous ne sommes pas propriétaires de la vie mais nous la transmettons au mieux. »                       

La banalisation forcée de l’exception depuis la loi Weil en 1974 est abordée par comparaison avec ce qui est en train de se passer avec la PMA. Le recours à l’IVG était une exception. Elle s’est transformée en norme et en droit. C’est ce qui est d’advenir avec la PMA qui conduit à une transformation de la condition humaine. Est-ce fidèle au serment d’Hippocrate ? La reconfiguration de la condition humaine en cours, mériterait réflexion.

 Que faire ?  Insistons sur la question des politiques et des stratégies. Ecoutez la vidéo liée et lisez la lettre ouverte de ce sociologue aux députés : « Madame la députée, Monsieur le député,

A observer l’assemblée en peau de chagrin qui a participé au lancement de l'examen du projet de loi bioéthique, la société civile est en droit de se demander si la représentation nationale a pris la mesure du tournant de société dans lesquelles s'inscrivent les dispositions projetées. »[17]

 "Le projet de ceux qui courent après le progrès sans regarder où il les mène est une fable destructrice". Jf Poisson

 Dans Boulevard Voltaire, JF Poisson met en garde contre cette terrible loi : les travaux de la commission spéciale augurent d’un texte proprement monstrueux. Non seulement elle est revenue sur les quelques corrections de bon sens  votées par le Sénat mais, en plus, elle a inscrit dans le texte qui sera présenté en séance plénière des mesures auxquelles le gouvernement lui-même s’est opposé précédemment. Et pour cause : fabrication d’embryons chimères mélangeant des cellules humaines à des cellules animales, suppression de la condition thérapeutique pour l’accès à la PMA, dispositif ROPA (réception de l’ovocyte du partenaire) permettant à deux femmes de se revendiquer mère d’un enfant en faisant disparaître toute trace d’un père biologique… Tout laisse à penser que si ce texte est voté en l’état, le « monde d’après » n’aura rien du monde plus humble et plus respectueux tant évoqué et espéré durant le confinement.

 

Au contraire, tout porte à croire que la France va céder.

« Quelle priorité y avait-il à faire voter ce projet de loi en urgence alors que la crise économique frappe d’ores et déjà et que la précarité grandit ? Tandis qu’au même moment, quarante députés – majoritairement élus sous l’étiquette LREM – déposent une proposition de loi visant à prolonger le délai légal de recours à l’IVG et à supprimer la clause de conscience spécifique à l’avortement, comment ne pas y voir une forme d’acharnement idéologique ?Depuis des années nous suivons avec inquiétude les évolutions des lois touchant à la bioéthique, mais il nous semble qu’avec ce texte, un cap dont on peine à mesurer pleinement la portée risque d’être franchi, un cap dont les effets de courant pourraient nous porter bien loin des prétentions françaises à être la patrie des droits de l’homme. 

 

 

En conclusion

Ne nous étonnons plus : les députés LREM ont rejeté la mention qui devait être insérée dans l'article 1er de la Loi Bioéthique

"L'enfant a droit à la protection. Toute atteinte à sa dignité, à son intégrité physique et morale est interdite. Il n'existe pas de droit à l'enfant."  29 07 2020

 HONTEUX


[1] Comme il n’y a presque plus de malades de Covid19 et que les services spécialisés sont presque vides, le ministère multiplie les tests pour découvrir des cas positifs qu’il médiatise pour faire croire qu’il s’agit de malades, et comme cela ne suffit pas, il comptabilise les consultations pour « suspicion de Covid » qui ne sont pourtant que les témoins de l’efficacité de sa campagne de peur.

[2] Les masques auraient pu être utiles en février, mars et début avril lorsque le gouvernement expliquait qu’ils ne servaient à rien pour protéger la population, interdisait aux forces de l’ordre d’en porter et était incapable de tenir ses promesses d’en fournir aux soignants. Ils ne servent médicalement à rien en fin d’épidémie et d’ailleurs les pays nordiques comme les pays bas n’en recommandent pas l’usage. En France l’obligation actuelle du port du masque sert à bâillonner la population et à faire croire qu’il persiste une menace Covid19

[3] Lors d’un congrès international sur les banques d’os à Bangkok en 1982 ou je faisais part des difficultés que je rencontrais pour trouver des os de taille adapté à la chirurgie de sauvetage des membres des enfants (car les donneurs d’organes en France étaient quasiment toujours des adultes) on m’a proposé la fourniture « sans problème » d’allogreffes de toutes tailles. Mes confrères européens et américains en ont conclu qu’on bannirait les os de provenance non parfaitement déterminée.

[4] Comme cela a été suspecté au Kosovo durant les guerres des Balkans

[5] L’obligation du port du masque qui s’étend actuellement en France est totalement refusée par les pays nordiques. Comment les français descendants de Descartes peuvent-ils croire qu’un masque interdit et déclaré inutile pour la population en mars et avril devienne salvateur et obligatoire en aout alors que la maladie a quitté l’Europe ?

[6] Aucune étude randomisée n’a pu démontrer qu’un masque courant pouvait limiter la diffusion des virus.

[7] Au minimum un débat sur le décret imposant un masque obligatoire aurait pu au moins y être débattu Ne serait-ce que pour savoir ce que devient le jugement du conseil d’état d’avril 2020 extrait : "De plus, en laissant entendre qu’une protection couvrant la bouche et le nez peut constituer une protection efficace, quel que soit le procédé utilisé, l’arrêté est de nature à induire en erreur les personnes concernées et à introduire de la confusion dans les messages délivrés à la population par ces autorités. "  https://www.actu-juridique.fr/administratif/port-du-masque-obligatoire-devant-le-conseil-detat-la-neutralisation-du-pouvoir-de-police-des-maires-dans-le-cadre-de-letat-durgence-sanitaire/

[8] Pendant ce temps-là personne ne se penche sur le rapport du conseil d’état désavouant le ministre au sujet de la chloroquine. Voir à ce sujet l’interview de Maitre Krikorian qui dissèque l’avis majeur du conseil d’état. Le ministre ne pouvait interdire la prescription libre par les généralistes et donc le conseil de l’ordre n’avait pas d’argument pour sanctionner ceux qui ont souhaité traiter leurs patients.

http://www.francesoir.fr/politique-france/le-communique-de-presse-du-ministre-des-solidarites-et-de-la-sante-laisse-intacte    La liberté de prescription des médecins est intacte.

[9] La France a été le seul pays au monde à interdire la prescription de la chloroquine par les médecins alors qu’actuellement plus de 20 pays regroupant plus de la moitié de l’humanité (dont l’Inde, Chine, Russie, Maroc, Algérie, Corée, Malaisie.) la recommandent contre le Covid19

[10] https://www.valeursactuelles.com/societe/loi-bioethique-lavortement-desormais-autorise-pour-detresse-psychosociale-jusquau-terme-de-la-grossesse-122330

[11] Et donc, en cette discrète nuit de juillet 2020, l'Assemblée Nationale adopte l'amendement n°524 au #PJLBioethique qui autorise l'interruption dite médicale de grossesse (c'est à dire jusqu'au terme !) pour "détresse psycho-sociale"... et qui décidera ? Il est là le progressisme ?

[12] Cette interview expose les façons véritables de l'agenda des satanistes mondialistes, le génocide dans le monde entier et la formation d'un gouvernement mondial. Bref, précisément tout ce que nous vivons présentement activement depuis déjà 6 mois. On laisse la responsabilité aux auteurs, mais comment ne pas se poser de questions, comment un pareil amendement peut-il tomber du ciel un jour de juillet ?

https://www.youtube.com/watch?v=vKdhPNe7CA0&t

[13] Cette tribune est signée par: Pascal BRINDEAU, Député (UDI et Indépendants) de Loir-et-Cher ; Patrick HETZEL, Député (LR) du Bas-Rhin ; Annie GENEVARD, Vice-Présidente (LR) de l’Assemblée nationale ; Marc LE FUR, Vice-Président (LR) de l’Assemblée nationale ; Jean-Christophe LAGARDE, Président du groupe UDI et Indépendants ; Thibault BAZIN, Député (LR) de Meurthe-et-Moselle ; Xavier BRETON, Député (LR) de l’Ain ; Béatrice DESCAMPS, Députée (UDI et Indépendants) du Nord ; Fabien DI FILIPPO, Député (LR) de Moselle ; Olivier MARLEI, Député (LR) d’Eure-et-Loir ; Alain RAMADIER, Député (LR) de Seine-Saint-Denis ; Frédéric REISS, Député (LR) du Bas-Rhin ; Jean-Louis THIÉRIOT, Député (LR) de Seine-et-Marne ; Agnès THILL, Député (UDI et Indépendants) de l’Oise ; Nathalie BASSIRE, députée de la Réunion.

[14] https://amp.lefigaro.fr/vox/societe/l-acceleration-de-l-examen-du-projet-de-loi-bioethique-est-indecent-20200722?fbclid=IwAR21sQod1uQLxfXgE0T01wKIeZwes8xnGVR2OUUjGpeBIDGDqNTw1juYQV8&__twitter_impression=true

[15] @MgrMAillet 23 juillet 2020 tweeter

[16] https://www.dailymotion.com/video/x7anmqg

[17] https://drive.google.com/file/d/1wnVf3u9pg0UJvTbnnca6urhog_UILCrV/view

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