Liberté d’expression quand tu es encore la….
Tribune de Vincent Cortes de Haviland, petit fils du Général Carlos Cortes-Vargas, colombien et américain vivant en France.
Mais quelle honte. Je suis américain, né à New-York et d'une famille par tradition Démocrate. A propos des élections, il faut qu'on m'explique comment on peut déclarer partout, sur tous les médias, radio, télévision, journaux, un candidat "gagnant" alors que le d'escompte des bulletins de votes est toujours en cours dans plusieurs Etats, et qu'une procédure judiciaire pour fraude qualifié est acté . Donc si je comprends bien, ce sont les chaines de télévisions aux usa, qui décident qui est le nouveau président. Je suis désolé, mais Joe Biden n'est pas le nouveau Président. Il transgresse la constitution en se proclamant vainqueur, en agissant en toute hâte, mettant en place une task force de lutte contre le Covid etc.. Mais de quel droit ?
Et pratiquement tout le monde trouve ça normal ! Même le Président Macron a félicité Joe Biden et combien d'autres chefs d'Etats ! L'Amérique est en danger. Que l'on soit pour Biden ou Trump ou N'importe qui, il est triste de constater des fraudes massives révélés heures après heures. On se croirait dans une république bananière où les bulletins de votes sont jeter, où les observateurs agrées sont tenu à distance derrière des barrières, obligé d'utiliser des jumelles ! D'autres salles de vote ont les vitres dissimulées par des plaques de cartons pour que les observateurs ne voit rien . Même en Russie ou dans des pays d'Afrique ou d'Amérique du sud on n'a jamais fait ça. Dans deux états à 4h du matin le 4 Novembre sont apparu plus de 100 000 votes pour Biden et 0 pour Trump , inversant évidemment le score qui était pour Trump. C'est vrai il y a 4 ans des accusations de fraudes ont été imputées à Trump, mais après enquêtes minutieuses et longues, rien n'a été confirmé ni prouvé. Je suis vraiment triste de constater que le processus démocratique des Etats-Unis, si respecté auparavant et montré en exemple soit dans un tel état. Et tout ça, que l'on soit pour un candidat ou l'autre. Je ne fais que constater avec sidération les malversations de certains, persuadés qu'il faut empêcher Trump d'être réélu, par n'importe quel moyen. Les démocrates qui ont porté Kennedy au pouvoir dans les années soixante ne sont plus. La machine "démocrate" est devenue une entité surpuissante et incontrôlable. C'est un peu comme l'OSS en 1940, indispensable et en croisade contre le Mal à sa création, et qui est devenue, après la guerre, cette institution inhumaine et dangereuse, la CIA. La démocratie est blessée à mort, dans ce pays qui est le mien, ou je suis né, ou mon père est né, c'est consternant.
Comment ne pas être effaré devant le comportement totalitaire de chaines de télévisions coupant carrément la retransmission en direct, du discourt d'un Président en exercice. Et ça ne choque pas plus que ça. En agissant ainsi, le parti démocrate a perdu sa crédibilité, comme la démocratie. Combien de démocrates doivent pleurer, honteux pour leur parti, honteux de l'agissement des fanatiques prêt à tout pour faire gagner Joe Biden. Comment apprécier une victoire volée. Les preuves s'accumulent d'une fraude sans précédent qui déshonore et disqualifie irrémédiablement ceux qui y ont participé, qui l'ont imaginé et orchestré.
La statue de la liberté est en deuil et pleure elle aussi.
A propos de l’auteur
Vincent Cortes de Haviland est Colombien par son père, Français et Américain par sa mère. Il est né à New-York dans le quartier de Manhattan en 1958. Arrivé en France en 1962, il y a fait toutes ses études jusqu’à la terminale. En 1979 il passât le Concours du Conservatoire Nationale Supérieur d’art dramatique à Paris. Admis, promotion 1979 /1982. Etrangement, c’est la musique et non le théâtre qui le submergea, le conservatoire étant muni d’un piano dans chaque salle de répétition. « C’est à cette époque que la composition a pris possession de moi. » Mettre en musique des textes, des poèmes (Charles Baudelaire), travail qui lui a offert la possibilité d’en faire un spectacle. Joué en 1999 et 2000 au théâtre Les Déchargeurs à Paris « De Rilke à Baudelaire » s’est transformé en « Moi c’que j’en dis » titre d’une des chansons du spectacle. A présent auteur-compositeur, interprète il décline la composition en multiples services. Lecture musicale et concert à domicile, enregistrement de mémoire mise en musique de personnes âgées, intervention dans les collèges en 3eme avec une lecture musicale d’un rapport militaire écrit par mon grand-père maternel en 1940, et bien d’autres Il habite dans le Berry, une maison collée à la forêt, dans un petit village célèbre pour son réseau de résistance durant la seconde guerre mondial. Il nous dit :
« Je vous ai envoyé ce « billet » sur les élections américaines, car je crois que c’est le moment de prendre position individuellement, tant que c’est encore possible. L’histoire a fait que ma famille, tant du côté de ma mère que du côté de mon père, a pris part et position face à des évènements tragiques et incontournables. Mes deux grands-pères ont eu à faire un choix, face à ce qui semblait inacceptable à leurs yeux. Leurs décisions ont influé considérablement sur mes prises de positions politiquement. Mon grand-père paternel était le Général Carlos Cortes-Vargas. Courant Décembre 1928 il reçut les pleins pouvoirs pour mettre fin à la grève des bananeraies de Cienaga au Nord de la Colombie. Des civiles américains étant bloqué par les grévistes, Les Etats-Unis allait intervenir si le gouvernement Colombien ne faisait rien. J’ai appris récemment la façon dont il avait solutionné le problème. Il n’a pas obéi à un ordre. Ayant été fait commandant en chef de l’armée et gouverneur de la région, il a ordonné à ses hommes et a ses officiers de tirer dans la foule des grévistes réunis sur la grande place de Cienaga, le 6 Décembre 1928. Le chiffre exact des victimes oscille selon les sources. Entre 1500 et 25000 morts. Selon les versions et les positions, c’est un criminel qui aurait dut être jugé et fusillé pour cet acte de barbarie. Des femmes, des hommes, des enfants exécutés froidement, méthodiquement, durant des heures, tout de même ! Pour d’autre, c’est un héros qui a pris seul une décision horriblement difficile, qui a permis de sauvegarder l’indépendance de la Colombie face aux Américains. IL a même été décoré pour cela et a été promu général en chef de l’armés et de la police durant plusieurs années. Le péril d’une contagion communiste avait été anéanti et tout « un certain monde » s’en réjouissait, l’autre monde pleurait ses disparus pour des générations. Mon grand-père maternel, Harold Haviland avait 32 ans en 1940. Américain vivant en France près de Limoges, il s’engagea dans la SSVA (section sanitaire des volontaires américains) du 25 mai au 8 Juillet 1940. Arrêté puis libéré car non combattant et ressortissant d’un pays neutre encore en 1940, il partit en Afrique du Nord et fût formé comme agent OSS durant 2 années, puis de Londres il planifia de nombreuses opérations en Allemagne et fut agent de terrain en France, particulièrement dans la région de Limoges qu’il connaissait bien, y ayant vécu depuis son enfance. La désinformation durant ces périodes était utilisée comme arme de guerre, loin du front. Semer le doute, propager des peurs infondées afin de faire accepter comme légitimes des lois et des décrets injustes et dégradants. En ce moment, 80 ans après tout ça, rien n’a changé, au contraire. L’art de transformer les faits, de désinformer, de suivre aveuglément des directives venu des gouvernements, relayé par la presse et les médias, a atteint un niveau jamais imaginé par aucun auteur de science-fiction. C’est pour cette raison, pour cette désinformation écœurante et omniprésente qui a conduit à décorer un général ayant commis un génocide au nom de « l’intérêt supérieur du Pays» que je prends position et écrit ma consternation et mon dégout face aux mensonges planifié, institutionnalisé, étatisé en ce qui nous concerne en France. Le temps est aux révélations, « le vent se lève, il faut tenter de vivre », en écoutant son cœur et sa raison. »
Des documents historiques comme le récit de deux américains prisonniers des allemands qui rentrent à Paris et racontent leur odyssée le 21 juillet 1940.
Ainsi que le laisser passer de Harold Haviland en 1944
Ainsi que la citation du Général de Gaule d’Harold de Haviland
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