Ricardo et Nehuda : les marques les boycottent suite aux soupçons de violences sur leur petite fille (photos)
Ricardo et Nehuda n'en ont pas fini avec les ennuis judiciaires, que des problèmes financiers viennent maintenant s'ajouter. Les deux starlettes du petit écran, parents d'une petite Laïa, qu'ils étaient jusqu'à présent soupçonnés d'avoir maltraitée, ont perdu en début de semaine le soutien des marques pour lesquelles ils faisaient du placement de produits sur les réseaux sociaux. C'était d'ailleurs leur source principale de revenus.
Ainsi, ce mercredi 12 au matin, toutes les photos sponsorisées qui avaient été publiées avant que les soupçons de violences ne surgissent ont été supprimées de leur compte Instagram respectif. Ne restaient que les clichés de couple et de famille, avec leur bébé, dont ils n'ont jamais dévoilé le visage.
Des semaines difficiles se profilent donc (aussi) sur le plan financier puisqu'ils ne devraient pas non plus refaire de la téléréalité. W9, qui avait déjà censuré certains passages de l'émission Moundir et les apprentis aventuriers (que l'équipe de Ricardo a remportée), ne les veut plus sur le tournage des Marseillais et des Chtis vs le reste du monde. L'engagement a semble-t-il été rompu.
Après plusieurs jours d'hospitalisation, la petite fille a pu rentrer chez elle mardi 11, dans les bras de sa maman. Elle avait été admise au CHU de Dijon le 26 juin dernier, après avoir été blessée par un jet de téléphone lors d'une dispute en voiture entre ses parents. C'est Ricardo qui avait eu ce geste"accidentel", mot sur lequel la défense de lui et sa compagne Nehuda s'était concentrée.
Pour rappel, le juge des enfants de Tarascon a prononcé lundi 10 la fin du placement provisoire de Laïa, dont la garde a donc été rendue à Nehuda. Ricardo, qui reste mis en examen pour "violences volontaires sur mineur de moins de 15 ans", pourra continuer à la voir sous présence d'un tiers. Il a cependant interdiction, pour l'instant, de vivre sous le même toit. Il a été placé sous contrôle judiciaire avec injonction de soins. A noter cependant que l'expertise du médecin légiste indique que son "geste ne voulait pas causer de dommages aux occupants du véhicule".
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