Les survivantes, un film « très important » qui « remplit les salles sans publicité », Georges Glatz et Pierre Barnérias
Dans ce Debriefing, le réalisateur Pierre Barnérias nous explique ses difficultés à faire programmer Les survivantes par les gros réseaux de distribution, malgré l’enthousiasme que le film suscite auprès du public, et ses plus de 30 000 entrées dans « un nombre de salles ridicule ».
Nous avons aussi interviewé dans la foulée Georges Glatz, président et fondateur du Comité International pour la Dignité de l’Enfant (C.I.D.E) en Suisse, qui qualifie le film de « très important ».
« C’est extraordinaire d’avoir d’un coup plusieurs personnes qui témoignent à visage découvert », explique Georges Glatz qui espère que cela va participer à une prise de conscience collective.
Georges Glatz, en deuxième partie d’interview, raconte aussi que le type de témoignages exprimés dans Les survivantes n’est pas une nouveauté pour lui. En 30 ans d’existence du C.I.D.E, il en a entendu beaucoup de similaires qui dénoncent notamment les crimes perpétrés au sein de « sectes sataniques ».
Il revient sur des vérités interdites à dire, comme l’existence de charniers d’enfants, qu’Interpol lui a pourtant confirmée.
Le militant de la protection de l’enfance témoigne aussi que des détenteurs de preuves tendent à disparaitre subitement.
Pour trouver les salles où le film est distribué : https://lessurvivantes-lefilm.com
Fondation le C.I.D.E : https://www.cide.ch
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