"Effets secondaires : la face cachée des vaccins" le documentaire de Raphaël Berland

« Il y a une invisibilisation des victimes, on ne veut pas les voir ni les entendre ». Journaliste et réalisateur, Raphaël Berland vient nous présenter son documentaire sur les potentiels dommages causés par la vaccination contre le Covid-19 : « Effets secondaires : la face cachée des vaccins », sorti le 11 février.

Produit avec le magazine Nexus, le documentaire revient sur plus d’une année de débats autour de la vaccination. Reprenant des extraits d’émissions de télévision ou d’allocutions gouvernementales, le documentaire met en avant des incohérences entre les discours et la réalité.

Un extrait de "Guadeloupe la 1ere" montre Priscillia Loferne, soignante et victime présumée ayant développé une péricardite, maladie cardiaque souvent mise en cause depuis le depuis de la vaccination notamment avec les produits Pfizer et Moderna. Elle fait face au Dr Antoine Talarmin, qui pense qu’il faut vacciner même si les risques sont difficiles à estimer : « même si on faisait une enquête on ne pourrait pas savoir, donc dans le doute on préfère vacciner. Mais les gens qui viennent dans les vaccinodrome sont au courant de ces risques » suggère le médecin. « Non ! » Répond la victime présumée, « Non, non ce n’est pas vrai, pas du tout ». La soignante a en effet raison, l’Agence régionale de santé de Bretagne avait demandé au vaccinodrome de retirer sa fiche d’information qui pouvait « dissuader les patients de se faire soigner ». Le médecin de Guadeloupe reprend : « Je pense qu’ils hésiteraient à vous faire vacciner, à cause de votre péricardite », et Pricisllia Loferne rétorque : « ma péricardite a été diagnostiquée la semaine dernière. Mais avant, avec mes symptômes, on m’a toujours dit que je pouvais faire une deuxième dose. » Le Dr Talarmin n'en démord pas : « les gens sur les vaccinodromes n’ont pas le temps de faire des consultations ».

Le film met en avant les scandales qui touchent les laboratoires pharmaceutiques. Le narrateur rappelle que Pfizer a été condamné à près de 10 milliards d’amendes sur les 20 dernières années, et que « le laboratoire n’est pas un cas isolé ».

Les victimes présumées d'effets secondaires interviennent vers la demi-heure du documentaire. Peu après avoir reçu l’injection, Bénédicte se retrouve paralysée du bras gauche puis d’une partie du visage. Elle décrit son arrivée à l’hôpital : « quand ils ont entendu qu’on était vacciné, parmi tous les professionnels qui m’ont aidé, la moitié ont tiqué, en disant que ça faisait quand même le troisième cas qu’ils avaient ».

Des victimes développent des effets secondaires moins graves, mais tout aussi perturbants au quotidien : Vincent, informaticien est pris de migraines, fortes douleurs au bras, endormissement, diarrhée et constipation, perte de voix. Parmi ces témoignages, Céline Caron que nous avions interviewée est présente.

Voir aussi : Son fils a frôlé la mort à cause du vaccin Pfizer - debriefing avec Céline Caron

Beaucoup de scientifiques ont accepté de s’exprimer dans le film de Raphaël Berland : on y retrouve la députée européenne Michèle Rivasi, le sociologue Laurent Mucchielli, la biostatisticienne Christine Cotton, ou encore le Dr Jean-Pierre Eudier, président de la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations.
 

Le film, disponible en intégralité : Effets secondaires : la face cachée des vaccins – Covid-19 : ces injections sont-elles réellement « sûres »