Fréderic Beltra, un combat en mémoire de son fils Maxime, décédé le 26 juillet 2021 à 22 ans
ENTRETIEN ESSENTIEL - Fréderic Beltra est président de l’association Verity France, regroupant les familles de victimes des vaccins Covid-19. Ses apparitions médiatiques sont très rares et il n’a jamais donné d’interview à un média. Son fils Maxime est décédé lundi 26 juillet 2021, quelques heures après avoir reçu sa première dose Pfizer. Il avait 22 ans.
Dans cet entretien essentiel, Frédéric Beltra prend le temps d’évoquer le début de la pandémie. Il avait quelques interrogations sur les interdictions de certains médicaments car, intuitivement et à titre personnel, il aurait préféré avoir plus d’options. Il évoque sa situation d’entrepreneur et la mise en place des mesures et gestes barrières pour protéger ses clients. Travaillant beaucoup, il faisait confiance au gouvernement et à sa communication jusqu’au moment où s’est posé la question de la vaccination de son fils, courant 2021. S’il avait préalablement téléchargé la notice du vaccin du site de l’ANSM, il n’en prendra connaissance que trop tard. Depuis le décès de son fils, malgré le drame et la dévastation, Frédéric a dévoué son temps à sa famille et son association, Verity. L’association a mis en place des cellules de soutien aux victimes des effets secondaires devant la faillite du système à proposer une réponse adéquate dans ce domaine ou même à considérer les victimes comme tel. En tant que père d’une victime, il n’a jamais été contacté par les officiels du gouvernement. Pire encore, il a dû subir les attaques de certains médias tentant de justifier que la mort de son fils n’avait rien à voir avec l’injection. Aujourd’hui, malgré plus de 200 000 effets secondaires recensés dont 25 % de grave, les injections Covid-19 sont toujours autorisées. Le ministre de la Santé Aurélien Rousseau est d’ailleurs visé par une plainte de Verity France (d’autres associations lui ont emboîté le pas) en rapport avec ce qu'on peut considérer comme un délit d’extorsion du consentement libre et éclairé. Les mots de Frédéric Beltra sont tranchants, sa détermination entière. Il demande simplement à ce que le statut des victimes soit reconnu et protégé par la loi.
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