Présidentielle : après sa défaite, Marine Le Pen se déhanche sur le dancefloor (vidéo)
Malgré sa défaite, elle a souhaité profiter de sa soirée. Alors qu'Emmanuel Macron était sur l'esplanade du Louvre, dimanche 7 au soir, pour fêter sa victoire et remercier les Français pour son élection, Marine Le Pen, elle, a tenté de s'amuser au Chalet du lac près du bois de Vincennes où elle avait réuni ses soutiens. Et sur place, pour oublier sa défaite et célébrer la fin de la campagne présidentielle, la candidate du Front national s'est laissée aller à quelques pas de danse sur le dancefloor.
En salle de presse, retransmission sur grand écran du numéro de danse de Marine Le Pen ! pic.twitter.com/WJMZGHN3dB
— Louis Hausalter (@LouisHausalter) 7 mai 2017
Sur les vidéos, immortalisées par les journalistes présents sur place, les internautes peuvent la voir en train de danser sur Quand la Musique est Bonne de Jean-Jacques Goldman et I Love Rock 'n' Roll de Joan Jett & the Blackhearts. Des images, relayées sur les réseaux sociaux, qui ont beaucoup fait rire les internautes.
Nettement battue par le candidat d'En Marche au soir du second tour de l'élection présidentielle, Marine Le Pen a tout de même récolté près de 35% des suffrages. Un score historique pour le Front national qui n'avait jamais, jusqu'à présent, réuni autant de voix (plus de 10 millions). A titre de comparaison, son père n'avait gagné que 700.000 voix en 2002 face à Jacques Chirac au second tour de l'élection.
Juste après l'annonce de sa défaite, Marine Le Pen a pris la parole annonçant qu'elle entendait "proposer d'engager une transformation profonde" du Front National, "afin de constituer une nouvelle force politique que de nombreux Français appellent de leurs voeux". "Le Front National, qui s'est engagé dans une stratégie d'alliances, doit se renouveler profondément afin d'être à la hauteur (...) des attentes des Français", a-t-elle déclaré appelant "tous les patriotes à (les) rejoindre afin de participer au combat politique décisif qui commence dès ce soir".
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