Une brèche de sécurité au Conseil de l’Ordre des sage-femmes – le dossier de Mathilde Revolon potentiellement consulté. Interrogations.
DEBRIEFING - Mathilde Revolon est sage-femme et soucieuse de la santé de ses patientes. Ayant observé de nombreux effets secondaires suite à la vaccination Covid, elle s’est inquiétée des études menées sur les femmes enceintes pour s’apercevoir que les données n’étaient ni très disponibles et peu fiables.
Avec un collectif de sages-femmes et de victimes des injections, elle a déposé plainte contre le ministre de la Santé Aurélien Rousseau suite à ses propos mensongers tenus sur France-Inter le 3 octobre dernier sur des effets secondaires qui seraient selon lui n'existeraient pas ! Et ce, d’autant plus que le professeur Delfraissy, ancien président du Conseil scientifique, a lui-même déclaré que le ministre Rousseau "avait tort de dire qu’il n’y avait pas d’effets secondaires.”
La semaine dernière, Mathilde Revolon reçoit un courriel inquiétant du Conseil de l’Ordre des sages-femmes lui indiquant que des brèches de sécurité concernant son dossier ainsi que celui d’autres soignantes avaient été constatées. N’ayant à ce jour toujours pas reçu à une explication cohérente du Conseil de l’Ordre, elle a décidé de porter plainte contre X.
Rappelons que la plainte déposée contre le ministre de la Santé par le professeur Christian Perronne et le directeur de la rédaction de France-Soir Xavier Azalbert a elle été classée.
À LIRE AUSSI
L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.
Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.
Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.
Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.