A moto et aux fraises, quand Marion Maréchal-Le Pen s'attire les moqueries des internautes (photos)
Cheveux au vent ou à moto, Marion Maréchal-Le Pen a mis en scène une sortie à Carpentras, dans le Vaucluse, dimanche 23 durant laquelle elle est allée acheter des fraises. Les images de cette ballade dominicale, publiées sur Twitter, ont été la risée de nombreux internautes.
Pour patienter "en attendant les résultats" du premier tour de l'élection présidentielle, la députée du Vaucluse a entrepris d'aller acheter des fraises à Carpentras, une sortie qui a fait l'objet de photos, cheveux au vent, à moto ou encore devant un étal de fraises. Une mise en scène "évidente" qui a beaucoup faire rire les utilisateurs du réseau social.
En attendant les résultats... petite sortie en moto pour aller chercher des fraises de #Carpentras. pic.twitter.com/MWG91htt8D
— Marion Le Pen (@Marion_M_Le_Pen) 23 avril 2017
"Tellement naturel de se balader avec un photographe" a commenté un internaute alors que d'autres agrémentaient leur réaction d'images animées ou de photos.
"En attendant les résultats...petit arrêt lavage en toute simplicité en rentrant des fraises de Carpentras" pic.twitter.com/6GSgdKDNQd
— Guillaume Blardone (@gblardone) 23 avril 2017
moi quand je sors acheter des fraises à Carpentras pic.twitter.com/1pzxrU00nq
— Vincent Daniel (@VincentDanie_l) 23 avril 2017
Pour autant, les soutiens de Marion Maréchal-Le Pen l'ont défendue, vantant sa beauté, reprochant aux moqueurs leur sexisme et parfois leurs insultes.
Les mises en scène du genre ne sont pas uniquement l'affaire de la députée du Vaucluse. Emmanuel Macron avait ainsi fait la Une du magazine Paris Match, accompagné de sa femme. En avril 2016, le candidat avait d'ailleurs reconnu cette "maladresse", alors qu'il avait livré un interview à l'hebdomadaire. "Mon couple, ma famille, c'est la chose à laquelle je tiens le plus, ce n'est pas une stratégie de l'exposer, c'est sans doute une maladresse, je l'assume pleinement et ce ne sera pas une stratégie que l'on reproduira", avait par la suite avoué Emmanuel Macron, avant de réapparaitre en Une du journal quelques temps plus tard.
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