Epidemic of Fraud – réaction du Pr Raoult « un film à voir sans faute – ils ont été aussi stupides chez nous que chez vous !»
Debriefing spécial sous forme d’échange avec le Professeur Didier Raoult et John Davidson le réalisateur du film documentaire « Epidemic of Fraud » que l’on peut voir sur www.epidemicoffraud.com. Un film de deux heures qui retrace l’histoire de l’hydroxychloroquine, de son utilisation, de ses usages depuis de nombreuses années.
Le Professeur Raoult a vu le film et il paraissait intéressant de faire un débriefing pour avoir son avis sur cette nouvelle production et aussi ajouter quelques précisions si besoin est. Pour le professeur Raoult, ce film est à voir par tous, car il documente de manière très claire ce qu’il s’est réellement passée.
Une des questions évidentes est pourquoi donc le gouvernement français n’a pas autorisé ce traitement malgré les études de l’IHU et l’expérience avec cette molécule qui ne présente pas de profil de toxicité depuis des décennies.
Pour le Prof. Raoult, « nous avons perdu beaucoup de crédibilité médicale auprès des pays africains en essayant de dire que l’hydroxychloroquine était toxique ». Il évoque aussi l’étude sur les données des 30 423 patients soignés par l’IHU intégré au CHU de Marseille.
Sollicité par le réalisateur du film, Xavier Azalbert présente les résultats de l’étude Lounnas et al auquel il a participé en tant qu’économétricien. Ils concluent à l’absence d’efficacité des vaccins covid-19. Alors que la première étude concluait à la supériorité sans appel de la bithérapie en diminuant de 58% le passage en soins intensifs et décès. Cette seconde étude est probablement la plus importante, car elle arrive à relier la vaccination avec les traitements précoces et les auteurs concluent que « la vaccination antérieure (à la maladie) a un effet aggravant sur la maladie dans nombreux cas, soulevant ainsi la question de la pertinence et de la légitimité de la vaccination de masse ». Cette étude est unique puisqu'elle allie la pluridisciplinarité scientifique qui devient critique pour l’analyse des données médicales. Dans le cas présent, la cohorte de l’IHU est la seule qui permette, après traitement statistique, de mesurer les interactions entre la maladie, la vaccination et les traitements précoces.
En sus, Xavier présente les estimations sur le nombre de vies qui auraient pu être sauvées avec la systématisation des traitements précoces : 90 000 pour la France et plus de 4 millions pour le monde. Une estimation basse.
Le debriefing en version française sous-titrée
Le debriefing en VO
Le film Epidemic of FRAUD doublé en français :
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